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De Taeye, Edmond-Louis; De Taeye, Louis [Hrsg.]
Méthode intuitive pour la représentation réelle des corps: pratique du dessin par projections, avec applications élémentaires aux métiers qui dépendent de l'architecture, de la sculpture et de la peinture — Namur, 1884

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https://doi.org/10.11588/diglit.18718#0269

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CHAPITRE XI

I. - PROJECTIONS DE LA SPHÈRE. - II. - SOLIDES DE RÉVOLUTION

1.

De ce qu'une sphère a tous ses points également éloignés de son
centre, il résulte que ce corps, quelle que soit sa position, est toujours
représenté prqjectivement par une circonférence de cercle dont le
diamètre est égal à celui de la sphère elle-même. Rien n'est donc plus
simple que de déterminer les projections de ce solide de révolution. Il
suffit de déterminer, sur une perpenpiculaire à la ligne XY, les deux
centres o et o' (figure I, planche LXV1) et de tracer deux circonférences
égales.

On sait qu'un grand cercle de la sphère est un plan sécant qui passe
par son centre; or, si nous le prenons parallèle à PH, il est évident que
sa projection horizontale se confondra avec celle de la sphère elle-même,
tandis qu'en projection verticale, ce grand cercle se projettera suivant
le diamètre de, parallèle a la ligne XY.

Réciproquement, sachant qu'un méridien est un plan qui passe par
l'axe de la sphère, il est naturel que, si ce méridien est principal, c'est-
à-dire parallèle à PV, sa projection verticale se confondra encore avec
celle du corps rond lui-même, tandis que sa projection horizontale sera
 
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