QAZBTTB DES ARDENNBB
1» eonilernetlon,
lutte qu'i
atlon *t !i lletre Dilllquniie du
>■ ici uMnai de t'iperotrolr toat de
«sill qu'on lu avili jOBéa, quoique, toit dit entre psrea-
ÎJeeee, troll mlnlitree démlnlonnérent ; M n'ait mima
<t»e pluiieurt mol) plus Uni que les llbérsui comprirent
M'as lu mit nndui a l'oppotilion.
Sbaw expliqua ilon par it menu comment Aiqullb
ipniUaa contervitriee pour la eu où certains libéraux Ici
■ «on!tôt ibmdonnéi. La gouvernement itcrillt lai réfor-
anu toclalaa du programma 11 Lion I i la condition qua !•■
tonte rn te un priaient 1'engagiment da loulenir la potl-
,' WJM balllqoauia.
t En irei-toul la preuve a, s'écria Beterldge.
''i Certainement i, (Il Sbait. • Quelquee mola après,
Sonar Lut publia la lelirs par Itquelli Lord kanidowne
at lui e'étatént mgtgés (ormeUement a re tujet. Il l'igii-
Mil uniquement da l'obligation da leconder la France ; 11
n'y (tait nullement queallou ds la Belgique. C'aal a 11
«(ma époque que Churchill vantait l'organisation parfaite
•ta la flolta et ligna lait Itiriurca de munirions $w l'An/te-
ttm omoisail dieii» in axmti.
a Aiqullh at LIojd George pinlslèrenti prétendra que
(Veut n'iurioni pu décltré la guerre à l'Allemagne, il aile
rtitit paa violé la neutralité de U Belgique, maie la
ftucbiae da Jlngolime fougueux de Cburebill ma semble
■ni tacllqaa préfénble, Car, iprts notre entente avec la
Fnaot, rtluatr da faire la guerre 1 l'Allemagne, s'eût e'.a
corn mettra une Inlama (rahlaon politique, et lea unionistes
oct profil* da celle déduction logique pour prendre le
feuternement i ion propre piège, u
1-XllLETEIIIE VIOLE LA lEtlTIULITt t"EC,UE
"L'Angleterre Tient de nouveau da commeltre une fla-
grante Tialitlon da la neutralité d'un de cei petite Eltta,
dont son hjpocrlsle la dit ia protectrice. Ella a informé
la Grèce qu'elle prenait ta liberté d'occuper, pour de!
raisons militaire*, l'Ile tracfiie de Uylilcne, comme elle a
déjà, (ait de Lemnot. Ella affirme vouloir respecter la
laGreceet t'engagea évacuer l'Ile, quand
file :,
-. ftm i
Celle façon d'agir miment anglaise tient s'ajouter à
toute une aérle de vlolationa dit droit des gens commises
par l'Angleterre à l'égard dea petite Neutres et de leur
commerce naval, qui ae Toit contraint i subir le contrôle
anglais, avec la haute approbation de tous lea n champions
du droit et da la justice a, de ceui-li même qui ont su
exploiter avec la plut perfide habilaié le fait qu'il y a un
ta l'armée allemande te lit obligée de t»varier la Bel-
gique, pour ie préserver d'une attaque de liane anglo-
août I9H, m gouvernement belge (voir la dernière édl-
tlon lllutlréo de la « OaitUi a] la gouvernement allemand
déclarait tolennellement ce qui tull :
Qui ne t'aperceirtlt pat combien l'analogie eilérieure
da ce derolircoup de force anglais avec la a Tiolatioo n
da cette neutralité belge depuit longtemps compromise
par l'intrigue anglaise, tourne, lorsqu'on y regarde de
plut près, an grand désavantage de l'Angleterre, laquelle
«'a put l'excuse d'avoir agi en légitime détente? Et qui
.uurriil ne pu a'indigner en cuntlataot le nitnct oppro-
■MltHr, (font la • cAam^unu du Droit », ti prompts d accuser
.'«deeriatre, «ouvrent lea mélail* d'un de» leuraî
LA GUERRE NAVALE
[t record de l'activité lom-msrlne. Depuis samedi dernier,
pu molnl de ïl bateau i anglais otit Hé coulia. Le commerce
ils contrebande lit également dérangé par le torpillage de
>. L'équipage a cul taure
Ont aie co'ilés ces joura darnlen ; a chtluliera ds Louea-
toit, plutleuea batciui de pèche et le paquebot lèerun de ta
Lajrltûd-Line qui jaugeait S.300 tonnai, 1 personnel ont péri,
Tl ont été sauvées. Kn outre, le vapeur icglslt Fuljence lut
omit. L'équipage de .!G hommet lut iiuvû.
HOUVELLES DIVERSES
Ëchot d'Angleterre.
A la Chambre des t'ont m unes.
Malgré loul, la liberté "n'est pai enlièrentenl morle en
.«lelerre, comme elle l'est en France. Ainsi la possibl-
W de poser aux ministres des questions désagréables est
nliel profil par ce rlains membrea du Parlera en t. Itec ent-
rent encore, les ministres èloient embarrassés pour
■pondre 1 quantité de questions et demandes loiliscruies.
vernement a prélére se soustraire a ces embarras
, du i
L Asquith i
I l'est encore révélé maître incoutrfié dans l'art de l'cu-
'liémlsinc officiel. Qu'on ]ugi i
• La dernière fols que je ma suis adreaté ou Parlement,
bifrau su IsdiatraDta al aoui ai noonailailona pu lacTifl-
UdU eflurta qui font ictiallaraent BOB alllél ntuu pont
lion poiEtlou [(|. Je ni eroli'pu qui! j ait Jimala il daei
lai scnilea ullllllraa on plua maguroqul «ampli il endu-
Francala et Anglaia.
Quant aux Dardanelles, M. Alquith prélend jutt* la
contraire de ci qui le trouve dans la dépêche pessimiste
du général Hamillon. n Notre confiance dani le résultat
des opi-rallons n'est nullement diminuée », dit M. Asquith,
Qu'on compare caa mots k l'opinion certainement plua
fondée du général llamllton, que noua ci ton» ailleurs:.
Quant i la (lotte anglaise, M. Aaqulth regrette qu'a un
combat sérieux lui ail été refuté Jusqu'Ici a. On ne Toit
pas 1res bien commentune flotta, qui te cache soigneuse-
ment dans tes ports, risquerait un combat! U. Asquith t
continué sur ce (on hautain ; c'était un discours d'encou-
ragement, plein de phrases mail absolument rid* de fills.
Par contre, le dlicouri de .M. LIojd George, qui élatt
une apologie poaltlve du ministère de munitions, fit une
impression plut profonde. Aptes ce discours, on sut
aeparé et le gouvernement ne icra plus Incommodé tu
moins pendant ilx semaines. Ajoutons que le n limti »,
oritlquanl cet discours, parla du a admonestations
solennel Ici de Llovd George « et des « déclarations pleines
deautlisance d'Asqullb a. Dans le même article, le journal
conslats que, lora des débals sur le service obligatoire,
un mot épouvantable a été prononce pour la preinièro
fois, fa mot n d/faiie ». C'est l'unioniste Amory qui a
commis celte énormllé.
■ ffuajfi Jomore» rl ciel gtit i).
Dans une grande assemblée à Londres, où on s'est
entretenu des suites fâcheuses de la diminution de Ex-
traction de houille diminuée de 3 millions de tonnes par
mois, sir Simou exprima le désir qu'on travaillât tous les
jours aux minet (quel attentat contre le «n eek-end »,
considéré Comme « aacré u en Angleterre) et qu'an sup-
primât la loi det huit heures de travail pour la durée de
la guerre. Le gouvernement lll do son cùté un appel pres-
ralentisssnt les travaux nécessaires. A cette occasion,
Lloj'd George dit s
n Toute personne qui lit les journaui ne peut douter
1 HtilJ
e dit
tremblant. Je ne suis ni pesslmisti
mais j'aperçoil 1res bien les lombrcs nuages qui t'agglo-
mèrent a l'Est et te ciel gris qui pèse luurdement sur les
Flandres et la France t,
Voila un iveu qui contratle singulièrement avec lea
paroles optimistes du cullAgue Asqullh, citées plut haut.
Lei perles totale) anglaiiet.
9.400
"i.Titf
ci.set
[j-i o-,0
M .^5
manda du sud-01
CL:-lT
th.in^c :
respondants des pertes françaises, l'aspect
imagoe ÏCS.OOO François prisonniers 1 Aux
pertri (otoiti do l'Angleterre qui sont de J3t>,'Ji)5 hoiuines,
t'oppose le nombre des Français morti, nombre formida-
ble qui aelon Us évaluations varie entre 4bJ,G0l> etS00,U0U.
La simple aonpiralton de ces cbillrcs devrait ouvrir lei
yeux aux Français II En tout cas le fait que le minisire
anglais publie un tel tableau devrait contraindre le guu-
'----ais a en faire autant I
t'ne nourtfft perfidie.
s Allemands ont du. couler
Cet derniers jo
contrebande de guerre. La presse danoise Bnni su cun
nallro la raison : Elle exprime l'opinion que l'Anglelern
ne délivre du charbon oui bateaux neutres que si ceui c
consentent d'apporter de la contrebande eu Angleterre
L'Angleterre n'aime pas eiposur ses propres bateaux ni
danger, elle priilére se servir de bateaux neutres, dont li
cou age a encore l'avantage de causer de l'lndignatlo[
nloge qui, cependant, dOTlen
Empiète monte.
Le gouvernement français se permet, depuis quelque
temps, d'ouvrir des correspondances neutres adressées
de la Suisse en tl<pagno et vice versa. Cela n'a rien
d'élonnant, puisque la seule ambition de ce gouvernement
parait élce l'obéissance absolue aux ordres optait et aux
beaux exemples donnes par l'Angleterre, qui ouvre dea
lellret d'Amérique en Noritge, etc. Kous enregistrons ce
lait avec tant d'autres, qui lonl det échantillons du
a Droit » et de la « Justice », etc., des Alliés.
Beaucoup plus louche, voire mi'nit terroriste, est lo
procédé de la Chambre de commerce française de Gi
CtiKve
;e plaint
ocumentt prouvant qu'ils ne sont plus sujets allé-
ainds. Le département politique a constaté que ladite
Ihimbre de commerce a établi une liste donnant ta
rationalité des hétellers. On j fait mémo une ditlèrenci
tTn til procédé, de It ptri d'une Cbtmbn de commerci
étrangère dani notre paya, doll étn mira an pilori. SI
l'on druti une lltte noIre'dVfroiUiTT réildint dtnt notre
pivi, dent l'Intention de lu boycotter, cela sufUt déjà.
Un boyeotttg* de ptncmrui <j*i ont acquit la naruinallU
luîiieeet un procédé Ineonvanmt qui déptiii celui qui
enuttrippé. Noua ne conniluont pat dans Hpecct de
Sultiii. Noua tvona le même devoir de protéger la*
Suluai né* comme teli et lu Sulitu nalunlttéi, et non*
■ilgiooa qut det Chtmbrtt de commerça étrangères,
qui jouistent de notre hospitalité, renoncent t ItiredCl
dlOérencu lnjnriaUte* u.
Repr&aiiKei tupprlmési.
.L'intorlté militaire allemande ayant appiia, (1 y a quelque
temps, que 50 officiera allemands environ, prlaonnfera iu
France, étalent enfermée au fott d'Entrevsui dana dea Iodmx
tenut continuelle min t clos, qu'fla ne pouvaient en sortir
qu'une heure par jour pour te promener dint une petite cour
•t n'avalent pu II permission da te rendre ittlte lu une aux
aulrei. 50 ofUdert français avaient été soumis, par mesura
de rapréeilllu, à un traitement intlosue an Allimagna.
Depuis Ion, le gouvernement allemand a reçu, par l'en-
tremise d'une pulieance neutre, une communication da gon-
al>„
irda li
r libre-
di Déronti.
idrusé j l'Angleterre une
demande concernant une nouvelle tubvenlion de S00
millions de francs, fl a teçu du gouvernement anglais la
réponse, que la somme demandée terait payée en quatre
échéances mensuelles, k la condition louteloia qut lei
troupes serbes transpireraient auparavant leur* opéra-
tions tur le théâlre do ia guerre proprement dit, e'éet-i-
dire on Bosnie et eu Hongrie. Cour une (nuasiun serbe en
^ioani^, ife» suiceniions anqiaitet ta seraient pas donnée».
Le puissant groupe Tinancier allemand et austro hon-
grois 1 la té'.e duquel te trouva la uDisconlogetellschilt i>
et mquel appartiennent égtlement quelques banques
belges, a eiercu" le 1" août, malgré la lourdeur générale
lions de francs de l'emprun ^bulgare Util de rlOÛ million!.
d'action auitro allemand. C'est doue L
et éclalante de la force économique des
en mCme temps qu'un tigno politique
auslro-boogrolt
in ces temps de
lehort du rayon
PETITES NOUVELLES
Pour défendr» la, elflllMUon t
Par ta Hollande la nouvelle noua parvient que 10.000
de l'Yaer, défendu par lea Anglaia. On ne ■'étonnera donc paa
ds lira les mots • Anglsls noln j dans lei bnlloUns olEolels.
Noureaux désordres !□ FortujaL
On mande de Lisbonne tu • Projn1.'. : Le gouvernement
produits dans U région du Lluero.
Ua dirigeable a1aio.tetque.
On mande do Madrid : L'ingénieur Salaa veut iiécuter, le
4 août, un vol avec un nouveau dirigeable, capable de trans-
porter 50 peraonnoi. 11 fera le voyage mérlin do Madrid k
Darceloue. Ilientot après il entreprendra un vol d'Espagne en
Amérique. Attendons I
Le a Journal ■
t M. Humbert.
Le • Journal > i été acheté par ua groupe lll Ut* duquel
se trouve 1s sénateur Cbarlna Humbert, M, Humbert prendra
la rédaction en chef du • Journal a 1 partir du 15 août.
Le colonel Meialmy blétsé.
n de Reimt7
La ïVibuni de Goniue annonce de Pirli ; i Sous l'Impres-
sion do l'ollenslve continuelle de l'artillerie allemande contre
Reims, la gouvernement français a décrété l'ordre k li popu-
lation civile de Reims d'évacuer complètement la ville. »
Le gouvernement françai» t ordonné une sévère turvell-
ance dû courtier venant do Hollande. On a tcqult U convie-
Ion que dea coupure, de journaut (Ma fa triducfion dit
:ommuTiiquéi de rcla!-me;or général allemand, ont été
Appel du Ptps an faveu
Ll GUÉ-GUERHE DES PETITES DfltiES
^ d'un mobiliié ■ publiées rar
On a beaucoup remarqué l'aulre semaine un dessin
d'iribo publié par lo « Jouina! u et qui représentait une
jolie dame l'adressant a un poilu loul ahuri de te trouver
munieutjuéincnl eu si élégante compagnie i •
a Et bien, mon chéri — demanda la jolie dame-•
La n ftafi jatrre » ! Ce mot rétume a merveille ce que
"fa LAoti jnnfilc tire (Jftrtae fi.ur (?rrainn ifame». Let pre-
miers jours elles furent admirables! Elle» sentaient brûler
en elles la Bèrre du dévouement aaaa Itnatte» et det
hérnitmei éperdus. Elles voulaient « partir aussi i it t'en,
aller soigner les blessés jusque tur les champs de bataille,
mies n'eurent plus que dea toiletlet modestes, elles décli-
nèrent les invitations, désertèrent lu Eve o'clocli,
Oui,.... mais 11 n'y a rien de laligant comme da
garder pendant des mois la même attitude — fut-elle
héroïque. Dl tout de nu'tuo, aicc let beaux jours revenu!
(et mémo un peu avant), elles consentirent a l'occuper
- de Tl mode ; tt comment résister quand lu couturier*
loua offrent cet amouri *■ fobea t plia, trèa implei du
bat, mite tt courte», nu chtrt, qu'elles latuent jeAr la
DDttlBt) tt un paa du mollet'.'.,. C'ett d'an chic ~ tt
quand an ■ nni robe nouvelle, n'est-ce point ua devoir
que de l'aller montrer aux amies ','
Kt c'est ainsi - car on s'habitue a tout sE on se laut
de tout — que dans ces petite* têtes, trop grandes encore
ponr le un cervelle*-, I* Guerre «t devenue la gué-guerrel
Mais ce n'eet pli lotit. On noua apprenait récemment
— c'est la Remalttane* qui dénonce ce petit' scandale
qu'elles ton! quelques-unes, aux noms aristocratique! et
hautement ipptnnUei, qui, par la grAca d'olBcliri de
leurs amis, tt tout fait conduire au front. JJ« Ici* etlei
ont ojjisU d tint vraie oataiUi, elles ont éprouva' de
délicieux frissons an entendant de vrais canons, et elles
ont tu de trait bleue*. Naturellement, ellet ont conté
cette partit dt plaisir k leurt arclea qui enrageaient de
jalousie. Faut bien pauer le temps, pas tral7-
H cure use ment qu'elles ne sont pat toutes comme ca.....
DERNIERES NOUVELLES
Angleterre et la Croix rouge.
■trlta. I aaét IMI.
Un ordre du Jour'anglais, ligne da général ■ B. H. H.
Allenbey, K. O. B , Commandlng S corpa ., daté du î nul et
publié par le général de brigade Ascberley eat tombé antre
lea mains du Allemands. De cet ordre da Jour, II réenjt*
que let rroupu in^diiu ont utilité, aux mépru dti riait-
minli inlernatlonaui, dea automobflai d'amftulinci pour
lea trtTuporti dt Iroupta combaltanlii il di malériil dt
BMtrr*.
1.» • neutralité • américaine.
Le . Euenino-Poil ■ qui avait prétindu que loi quantités
de munitions tournlsl 1 l'Entente par lei BMta-Unlt seraient
en réalité peu Importantes, ae volt obligé, lujourd'bui. de
publier une lettre do Sir. AJlan Lie. Bride, qui démontra le
contraire. D'oprti let conniltiementt publié! par le . Jottr-
nil of Commerce ■, an lévrier dernier et dani l'espèce de
t? fours leulemoot les quantités de munitions sulviatet ont
quitté le port de New-York :
10 février : Vapeur . .Vorfhirn r, 1,5» ealises de munitions.
13 février : Vapeur t JViioara >, 3.1» calssas de oartouchei.
i2 février ; Vapeur • Orduna >. t.800 saisies de munldoni.
H février : Vapeur . Jfinneipolii., 3 3ÏT — —
!û février : Vipeur • Hocftimbuu », i,5ÏS — —
!S février : Vapeur < Lutifania>, 7,ttOcali. de eirtoucbei|7)
27 février : Vaptur ■ Ia Tourainti,t.tSIcoli.demuaitlons.
Cell fait ïi.MO caisses envoyée! en quluiejonrs aux Aillés
par des dtoveoj de li nation ■ neutre at picIBita >. El dire
que tjutes les moniilooi invojéei pird'nutrei portietcellei
envolées u Canada par^hemln^do 1er ne sont pai comptées,
«aptéaa
Js ia grands gaerra
1 août 1914. — Laa Russe! sjant déjk pasié la frontière
illeminde, l'Allemigne dédire 11 guerre é la Ruaale it
•dretse uns nota diplomatique i 11 Belgique (voir l'édition
frontière prés de Sept en Alsace,
des bombes sur le Grand-Duché de Bide et la Bavière. L'Al-
lemagne dédire donc officiellement la guerre i le France.
Le Ministre de l'extérieur Italien Dl San Olulltno dèdare que
l'Italie observera une neutralité bienveillante et cordiale *
l'égard de l'Allemagne et de 1*Autriche, ses Alliées,
d'lr'iîrJ^îouirirKuonipr.1 éiW«i"d
It r*jion_de ™*Jj™ *b^'V"
lu'Llli |ug>rait utdaa yc
jifif 1514. — Lt Belgique l'oppoiint lu passage dea
« allemandes, l'Allemagne lui dédtre la guerre. L'An-
re déclare la guerre t l'Allemagne. Le Rekhstag vote
inimité 5 milliards de crédit ds guerre.
jWïroïr de la Press*» Française
(A nofre calendrier résumant lu failt rmpaH*ÀH dt U
uerri nout ajcuteroni dorénauanl uni revui rétrospectifs
li fa prei't ?ran;iisi. En oppoiant aux confre-cériléi el
ux facilei illuiiom répandue! A foison dis tt premier Jaur
le la f/tiern. l« iobrt démenti dea fait; te public tnletligmf
iDurri tnftn it former une idéi de la /non dont cens
I Rujsit, i^pondanl 1 colta I;
il ut pnSSa d'i npoeler, eUt ion n
AI. PUlion Htm i Lt Pitit Jour*
VIEUX JOURNAUX A VENDRE
S'adreuer i l'Imprimerie Àadirw. 1 Cbirletllle.
1» eonilernetlon,
lutte qu'i
atlon *t !i lletre Dilllquniie du
>■ ici uMnai de t'iperotrolr toat de
«sill qu'on lu avili jOBéa, quoique, toit dit entre psrea-
ÎJeeee, troll mlnlitree démlnlonnérent ; M n'ait mima
<t»e pluiieurt mol) plus Uni que les llbérsui comprirent
M'as lu mit nndui a l'oppotilion.
Sbaw expliqua ilon par it menu comment Aiqullb
ipniUaa contervitriee pour la eu où certains libéraux Ici
■ «on!tôt ibmdonnéi. La gouvernement itcrillt lai réfor-
anu toclalaa du programma 11 Lion I i la condition qua !•■
tonte rn te un priaient 1'engagiment da loulenir la potl-
,' WJM balllqoauia.
t En irei-toul la preuve a, s'écria Beterldge.
''i Certainement i, (Il Sbait. • Quelquee mola après,
Sonar Lut publia la lelirs par Itquelli Lord kanidowne
at lui e'étatént mgtgés (ormeUement a re tujet. Il l'igii-
Mil uniquement da l'obligation da leconder la France ; 11
n'y (tait nullement queallou ds la Belgique. C'aal a 11
«(ma époque que Churchill vantait l'organisation parfaite
•ta la flolta et ligna lait Itiriurca de munirions $w l'An/te-
ttm omoisail dieii» in axmti.
a Aiqullh at LIojd George pinlslèrenti prétendra que
(Veut n'iurioni pu décltré la guerre à l'Allemagne, il aile
rtitit paa violé la neutralité de U Belgique, maie la
ftucbiae da Jlngolime fougueux de Cburebill ma semble
■ni tacllqaa préfénble, Car, iprts notre entente avec la
Fnaot, rtluatr da faire la guerre 1 l'Allemagne, s'eût e'.a
corn mettra une Inlama (rahlaon politique, et lea unionistes
oct profil* da celle déduction logique pour prendre le
feuternement i ion propre piège, u
1-XllLETEIIIE VIOLE LA lEtlTIULITt t"EC,UE
"L'Angleterre Tient de nouveau da commeltre une fla-
grante Tialitlon da la neutralité d'un de cei petite Eltta,
dont son hjpocrlsle la dit ia protectrice. Ella a informé
la Grèce qu'elle prenait ta liberté d'occuper, pour de!
raisons militaire*, l'Ile tracfiie de Uylilcne, comme elle a
déjà, (ait de Lemnot. Ella affirme vouloir respecter la
laGreceet t'engagea évacuer l'Ile, quand
file :,
-. ftm i
Celle façon d'agir miment anglaise tient s'ajouter à
toute une aérle de vlolationa dit droit des gens commises
par l'Angleterre à l'égard dea petite Neutres et de leur
commerce naval, qui ae Toit contraint i subir le contrôle
anglais, avec la haute approbation de tous lea n champions
du droit et da la justice a, de ceui-li même qui ont su
exploiter avec la plut perfide habilaié le fait qu'il y a un
ta l'armée allemande te lit obligée de t»varier la Bel-
gique, pour ie préserver d'une attaque de liane anglo-
août I9H, m gouvernement belge (voir la dernière édl-
tlon lllutlréo de la « OaitUi a] la gouvernement allemand
déclarait tolennellement ce qui tull :
Qui ne t'aperceirtlt pat combien l'analogie eilérieure
da ce derolircoup de force anglais avec la a Tiolatioo n
da cette neutralité belge depuit longtemps compromise
par l'intrigue anglaise, tourne, lorsqu'on y regarde de
plut près, an grand désavantage de l'Angleterre, laquelle
«'a put l'excuse d'avoir agi en légitime détente? Et qui
.uurriil ne pu a'indigner en cuntlataot le nitnct oppro-
■MltHr, (font la • cAam^unu du Droit », ti prompts d accuser
.'«deeriatre, «ouvrent lea mélail* d'un de» leuraî
LA GUERRE NAVALE
[t record de l'activité lom-msrlne. Depuis samedi dernier,
pu molnl de ïl bateau i anglais otit Hé coulia. Le commerce
ils contrebande lit également dérangé par le torpillage de
>. L'équipage a cul taure
Ont aie co'ilés ces joura darnlen ; a chtluliera ds Louea-
toit, plutleuea batciui de pèche et le paquebot lèerun de ta
Lajrltûd-Line qui jaugeait S.300 tonnai, 1 personnel ont péri,
Tl ont été sauvées. Kn outre, le vapeur icglslt Fuljence lut
omit. L'équipage de .!G hommet lut iiuvû.
HOUVELLES DIVERSES
Ëchot d'Angleterre.
A la Chambre des t'ont m unes.
Malgré loul, la liberté "n'est pai enlièrentenl morle en
.«lelerre, comme elle l'est en France. Ainsi la possibl-
W de poser aux ministres des questions désagréables est
nliel profil par ce rlains membrea du Parlera en t. Itec ent-
rent encore, les ministres èloient embarrassés pour
■pondre 1 quantité de questions et demandes loiliscruies.
vernement a prélére se soustraire a ces embarras
, du i
L Asquith i
I l'est encore révélé maître incoutrfié dans l'art de l'cu-
'liémlsinc officiel. Qu'on ]ugi i
• La dernière fols que je ma suis adreaté ou Parlement,
bifrau su IsdiatraDta al aoui ai noonailailona pu lacTifl-
UdU eflurta qui font ictiallaraent BOB alllél ntuu pont
lion poiEtlou [(|. Je ni eroli'pu qui! j ait Jimala il daei
lai scnilea ullllllraa on plua maguroqul «ampli il endu-
Francala et Anglaia.
Quant aux Dardanelles, M. Alquith prélend jutt* la
contraire de ci qui le trouve dans la dépêche pessimiste
du général Hamillon. n Notre confiance dani le résultat
des opi-rallons n'est nullement diminuée », dit M. Asquith,
Qu'on compare caa mots k l'opinion certainement plua
fondée du général llamllton, que noua ci ton» ailleurs:.
Quant i la (lotte anglaise, M. Aaqulth regrette qu'a un
combat sérieux lui ail été refuté Jusqu'Ici a. On ne Toit
pas 1res bien commentune flotta, qui te cache soigneuse-
ment dans tes ports, risquerait un combat! U. Asquith t
continué sur ce (on hautain ; c'était un discours d'encou-
ragement, plein de phrases mail absolument rid* de fills.
Par contre, le dlicouri de .M. LIojd George, qui élatt
une apologie poaltlve du ministère de munitions, fit une
impression plut profonde. Aptes ce discours, on sut
aeparé et le gouvernement ne icra plus Incommodé tu
moins pendant ilx semaines. Ajoutons que le n limti »,
oritlquanl cet discours, parla du a admonestations
solennel Ici de Llovd George « et des « déclarations pleines
deautlisance d'Asqullb a. Dans le même article, le journal
conslats que, lora des débals sur le service obligatoire,
un mot épouvantable a été prononce pour la preinièro
fois, fa mot n d/faiie ». C'est l'unioniste Amory qui a
commis celte énormllé.
■ ffuajfi Jomore» rl ciel gtit i).
Dans une grande assemblée à Londres, où on s'est
entretenu des suites fâcheuses de la diminution de Ex-
traction de houille diminuée de 3 millions de tonnes par
mois, sir Simou exprima le désir qu'on travaillât tous les
jours aux minet (quel attentat contre le «n eek-end »,
considéré Comme « aacré u en Angleterre) et qu'an sup-
primât la loi det huit heures de travail pour la durée de
la guerre. Le gouvernement lll do son cùté un appel pres-
ralentisssnt les travaux nécessaires. A cette occasion,
Lloj'd George dit s
n Toute personne qui lit les journaui ne peut douter
1 HtilJ
e dit
tremblant. Je ne suis ni pesslmisti
mais j'aperçoil 1res bien les lombrcs nuages qui t'agglo-
mèrent a l'Est et te ciel gris qui pèse luurdement sur les
Flandres et la France t,
Voila un iveu qui contratle singulièrement avec lea
paroles optimistes du cullAgue Asqullh, citées plut haut.
Lei perles totale) anglaiiet.
9.400
"i.Titf
ci.set
[j-i o-,0
M .^5
manda du sud-01
CL:-lT
th.in^c :
respondants des pertes françaises, l'aspect
imagoe ÏCS.OOO François prisonniers 1 Aux
pertri (otoiti do l'Angleterre qui sont de J3t>,'Ji)5 hoiuines,
t'oppose le nombre des Français morti, nombre formida-
ble qui aelon Us évaluations varie entre 4bJ,G0l> etS00,U0U.
La simple aonpiralton de ces cbillrcs devrait ouvrir lei
yeux aux Français II En tout cas le fait que le minisire
anglais publie un tel tableau devrait contraindre le guu-
'----ais a en faire autant I
t'ne nourtfft perfidie.
s Allemands ont du. couler
Cet derniers jo
contrebande de guerre. La presse danoise Bnni su cun
nallro la raison : Elle exprime l'opinion que l'Anglelern
ne délivre du charbon oui bateaux neutres que si ceui c
consentent d'apporter de la contrebande eu Angleterre
L'Angleterre n'aime pas eiposur ses propres bateaux ni
danger, elle priilére se servir de bateaux neutres, dont li
cou age a encore l'avantage de causer de l'lndignatlo[
nloge qui, cependant, dOTlen
Empiète monte.
Le gouvernement français se permet, depuis quelque
temps, d'ouvrir des correspondances neutres adressées
de la Suisse en tl<pagno et vice versa. Cela n'a rien
d'élonnant, puisque la seule ambition de ce gouvernement
parait élce l'obéissance absolue aux ordres optait et aux
beaux exemples donnes par l'Angleterre, qui ouvre dea
lellret d'Amérique en Noritge, etc. Kous enregistrons ce
lait avec tant d'autres, qui lonl det échantillons du
a Droit » et de la « Justice », etc., des Alliés.
Beaucoup plus louche, voire mi'nit terroriste, est lo
procédé de la Chambre de commerce française de Gi
CtiKve
;e plaint
ocumentt prouvant qu'ils ne sont plus sujets allé-
ainds. Le département politique a constaté que ladite
Ihimbre de commerce a établi une liste donnant ta
rationalité des hétellers. On j fait mémo une ditlèrenci
tTn til procédé, de It ptri d'une Cbtmbn de commerci
étrangère dani notre paya, doll étn mira an pilori. SI
l'on druti une lltte noIre'dVfroiUiTT réildint dtnt notre
pivi, dent l'Intention de lu boycotter, cela sufUt déjà.
Un boyeotttg* de ptncmrui <j*i ont acquit la naruinallU
luîiieeet un procédé Ineonvanmt qui déptiii celui qui
enuttrippé. Noua ne conniluont pat dans Hpecct de
Sultiii. Noua tvona le même devoir de protéger la*
Suluai né* comme teli et lu Sulitu nalunlttéi, et non*
■ilgiooa qut det Chtmbrtt de commerça étrangères,
qui jouistent de notre hospitalité, renoncent t ItiredCl
dlOérencu lnjnriaUte* u.
Repr&aiiKei tupprlmési.
.L'intorlté militaire allemande ayant appiia, (1 y a quelque
temps, que 50 officiera allemands environ, prlaonnfera iu
France, étalent enfermée au fott d'Entrevsui dana dea Iodmx
tenut continuelle min t clos, qu'fla ne pouvaient en sortir
qu'une heure par jour pour te promener dint une petite cour
•t n'avalent pu II permission da te rendre ittlte lu une aux
aulrei. 50 ofUdert français avaient été soumis, par mesura
de rapréeilllu, à un traitement intlosue an Allimagna.
Depuis Ion, le gouvernement allemand a reçu, par l'en-
tremise d'une pulieance neutre, une communication da gon-
al>„
irda li
r libre-
di Déronti.
idrusé j l'Angleterre une
demande concernant une nouvelle tubvenlion de S00
millions de francs, fl a teçu du gouvernement anglais la
réponse, que la somme demandée terait payée en quatre
échéances mensuelles, k la condition louteloia qut lei
troupes serbes transpireraient auparavant leur* opéra-
tions tur le théâlre do ia guerre proprement dit, e'éet-i-
dire on Bosnie et eu Hongrie. Cour une (nuasiun serbe en
^ioani^, ife» suiceniions anqiaitet ta seraient pas donnée».
Le puissant groupe Tinancier allemand et austro hon-
grois 1 la té'.e duquel te trouva la uDisconlogetellschilt i>
et mquel appartiennent égtlement quelques banques
belges, a eiercu" le 1" août, malgré la lourdeur générale
lions de francs de l'emprun ^bulgare Util de rlOÛ million!.
d'action auitro allemand. C'est doue L
et éclalante de la force économique des
en mCme temps qu'un tigno politique
auslro-boogrolt
in ces temps de
lehort du rayon
PETITES NOUVELLES
Pour défendr» la, elflllMUon t
Par ta Hollande la nouvelle noua parvient que 10.000
de l'Yaer, défendu par lea Anglaia. On ne ■'étonnera donc paa
ds lira les mots • Anglsls noln j dans lei bnlloUns olEolels.
Noureaux désordres !□ FortujaL
On mande de Lisbonne tu • Projn1.'. : Le gouvernement
produits dans U région du Lluero.
Ua dirigeable a1aio.tetque.
On mande do Madrid : L'ingénieur Salaa veut iiécuter, le
4 août, un vol avec un nouveau dirigeable, capable de trans-
porter 50 peraonnoi. 11 fera le voyage mérlin do Madrid k
Darceloue. Ilientot après il entreprendra un vol d'Espagne en
Amérique. Attendons I
Le a Journal ■
t M. Humbert.
Le • Journal > i été acheté par ua groupe lll Ut* duquel
se trouve 1s sénateur Cbarlna Humbert, M, Humbert prendra
la rédaction en chef du • Journal a 1 partir du 15 août.
Le colonel Meialmy blétsé.
n de Reimt7
La ïVibuni de Goniue annonce de Pirli ; i Sous l'Impres-
sion do l'ollenslve continuelle de l'artillerie allemande contre
Reims, la gouvernement français a décrété l'ordre k li popu-
lation civile de Reims d'évacuer complètement la ville. »
Le gouvernement françai» t ordonné une sévère turvell-
ance dû courtier venant do Hollande. On a tcqult U convie-
Ion que dea coupure, de journaut (Ma fa triducfion dit
:ommuTiiquéi de rcla!-me;or général allemand, ont été
Appel du Ptps an faveu
Ll GUÉ-GUERHE DES PETITES DfltiES
^ d'un mobiliié ■ publiées rar
On a beaucoup remarqué l'aulre semaine un dessin
d'iribo publié par lo « Jouina! u et qui représentait une
jolie dame l'adressant a un poilu loul ahuri de te trouver
munieutjuéincnl eu si élégante compagnie i •
a Et bien, mon chéri — demanda la jolie dame-•
La n ftafi jatrre » ! Ce mot rétume a merveille ce que
"fa LAoti jnnfilc tire (Jftrtae fi.ur (?rrainn ifame». Let pre-
miers jours elles furent admirables! Elle» sentaient brûler
en elles la Bèrre du dévouement aaaa Itnatte» et det
hérnitmei éperdus. Elles voulaient « partir aussi i it t'en,
aller soigner les blessés jusque tur les champs de bataille,
mies n'eurent plus que dea toiletlet modestes, elles décli-
nèrent les invitations, désertèrent lu Eve o'clocli,
Oui,.... mais 11 n'y a rien de laligant comme da
garder pendant des mois la même attitude — fut-elle
héroïque. Dl tout de nu'tuo, aicc let beaux jours revenu!
(et mémo un peu avant), elles consentirent a l'occuper
- de Tl mode ; tt comment résister quand lu couturier*
loua offrent cet amouri *■ fobea t plia, trèa implei du
bat, mite tt courte», nu chtrt, qu'elles latuent jeAr la
DDttlBt) tt un paa du mollet'.'.,. C'ett d'an chic ~ tt
quand an ■ nni robe nouvelle, n'est-ce point ua devoir
que de l'aller montrer aux amies ','
Kt c'est ainsi - car on s'habitue a tout sE on se laut
de tout — que dans ces petite* têtes, trop grandes encore
ponr le un cervelle*-, I* Guerre «t devenue la gué-guerrel
Mais ce n'eet pli lotit. On noua apprenait récemment
— c'est la Remalttane* qui dénonce ce petit' scandale
qu'elles ton! quelques-unes, aux noms aristocratique! et
hautement ipptnnUei, qui, par la grAca d'olBcliri de
leurs amis, tt tout fait conduire au front. JJ« Ici* etlei
ont ojjisU d tint vraie oataiUi, elles ont éprouva' de
délicieux frissons an entendant de vrais canons, et elles
ont tu de trait bleue*. Naturellement, ellet ont conté
cette partit dt plaisir k leurt arclea qui enrageaient de
jalousie. Faut bien pauer le temps, pas tral7-
H cure use ment qu'elles ne sont pat toutes comme ca.....
DERNIERES NOUVELLES
Angleterre et la Croix rouge.
■trlta. I aaét IMI.
Un ordre du Jour'anglais, ligne da général ■ B. H. H.
Allenbey, K. O. B , Commandlng S corpa ., daté du î nul et
publié par le général de brigade Ascberley eat tombé antre
lea mains du Allemands. De cet ordre da Jour, II réenjt*
que let rroupu in^diiu ont utilité, aux mépru dti riait-
minli inlernatlonaui, dea automobflai d'amftulinci pour
lea trtTuporti dt Iroupta combaltanlii il di malériil dt
BMtrr*.
1.» • neutralité • américaine.
Le . Euenino-Poil ■ qui avait prétindu que loi quantités
de munitions tournlsl 1 l'Entente par lei BMta-Unlt seraient
en réalité peu Importantes, ae volt obligé, lujourd'bui. de
publier une lettre do Sir. AJlan Lie. Bride, qui démontra le
contraire. D'oprti let conniltiementt publié! par le . Jottr-
nil of Commerce ■, an lévrier dernier et dani l'espèce de
t? fours leulemoot les quantités de munitions sulviatet ont
quitté le port de New-York :
10 février : Vapeur . .Vorfhirn r, 1,5» ealises de munitions.
13 février : Vapeur t JViioara >, 3.1» calssas de oartouchei.
i2 février ; Vapeur • Orduna >. t.800 saisies de munldoni.
H février : Vapeur . Jfinneipolii., 3 3ÏT — —
!û février : Vipeur • Hocftimbuu », i,5ÏS — —
!S février : Vapeur < Lutifania>, 7,ttOcali. de eirtoucbei|7)
27 février : Vaptur ■ Ia Tourainti,t.tSIcoli.demuaitlons.
Cell fait ïi.MO caisses envoyée! en quluiejonrs aux Aillés
par des dtoveoj de li nation ■ neutre at picIBita >. El dire
que tjutes les moniilooi invojéei pird'nutrei portietcellei
envolées u Canada par^hemln^do 1er ne sont pai comptées,
«aptéaa
Js ia grands gaerra
1 août 1914. — Laa Russe! sjant déjk pasié la frontière
illeminde, l'Allemigne dédire 11 guerre é la Ruaale it
•dretse uns nota diplomatique i 11 Belgique (voir l'édition
frontière prés de Sept en Alsace,
des bombes sur le Grand-Duché de Bide et la Bavière. L'Al-
lemagne dédire donc officiellement la guerre i le France.
Le Ministre de l'extérieur Italien Dl San Olulltno dèdare que
l'Italie observera une neutralité bienveillante et cordiale *
l'égard de l'Allemagne et de 1*Autriche, ses Alliées,
d'lr'iîrJ^îouirirKuonipr.1 éiW«i"d
It r*jion_de ™*Jj™ *b^'V"
lu'Llli |ug>rait utdaa yc
jifif 1514. — Lt Belgique l'oppoiint lu passage dea
« allemandes, l'Allemagne lui dédtre la guerre. L'An-
re déclare la guerre t l'Allemagne. Le Rekhstag vote
inimité 5 milliards de crédit ds guerre.
jWïroïr de la Press*» Française
(A nofre calendrier résumant lu failt rmpaH*ÀH dt U
uerri nout ajcuteroni dorénauanl uni revui rétrospectifs
li fa prei't ?ran;iisi. En oppoiant aux confre-cériléi el
ux facilei illuiiom répandue! A foison dis tt premier Jaur
le la f/tiern. l« iobrt démenti dea fait; te public tnletligmf
iDurri tnftn it former une idéi de la /non dont cens
I Rujsit, i^pondanl 1 colta I;
il ut pnSSa d'i npoeler, eUt ion n
AI. PUlion Htm i Lt Pitit Jour*
VIEUX JOURNAUX A VENDRE
S'adreuer i l'Imprimerie Àadirw. 1 Cbirletllle.