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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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37 Février 1916

GAZETTE DES ARDEMMES

3

responsabilité ne l'est pas. SU se rencontre des homme»
qui n'ont non prévu, ou qui ont paralysé les efforts utiles,
eu qui se sont lourdement trompés faul-li leur continuer,
par camaraderie ou par habitude, une munon dont ils ne
(«ont pas digues 7.... Si rau.itjon française n'est pas à la
bailleur de sa tAcbc, la faute n'en ebt pas au* aviateurs ;
ils ont le rouingc, la volnnle d'agir, le patriotisme et
l'héroïsme. Mais quelle tnstesse dons leurs confidences 1 Les
interroge-l-on ? LeR écontp-t-on 7 Jamais, ou presque, on les
tient au dehors, II semble qu'ils gênent. Us ont pourtant
beaucoup a dire. Craint-on qu'ils ne disent trop '.' »

NOUVELLES DIVERSES

Un article censuré do Gustave Téry. -
Dnns 1' o Oeuvre » du 20 février, M. Gustave Téry publie ua
article inlilnl»; a L'inutile Mt/stere * Nous on tutrayonii Ifs pns&bgoi
suivants :

« Sans dotilc, de temps a autre, M. hibol nous dit bien'
» quelque* milliard» près ce que nous, coûte la guerre. Il
nous dit au moins ce qu'elle nou& coiiU: en argent. Mail
<pi'«*t-oc que In perte d'argent auprès de l'antre ! Si forte
que soit l'addition, ce n'est pns celle-là qui sera la « dou-
loureuse n. .. .

<■*)(■ quelle hécatombe ter* pavée I* victoire ! Combien
It France R-t-elle deji perdu de ses fils 1 C'est la première,
linon la seule question qui nom tienne au cœur ; et l'on
continue à 110 pas vouloir y ripohure....

n Pourquoi t

<( Les Allemand» ne craignent pan plus de publier leurs
perte* q*e les «ommnnlquû de notre Etnt-ftnjor.

« Nous savons mui les perles anglaise», le* pertes
russes. Pour quelle raison juge-t-on nécessaire de nous ca-
oher les nôtres 1 Sommes-nous moins capables d'en ressen-
tir une émotion vengeresse ? A-t-on peur de naus démora-
liser 1 On de mnse-igner l'ennemi ?"

(( Puériles précaution», qui ont toujours même résul-
tat! Voici qu'un journal américain, le u New-York Times »,

publie le total des pertes fan ça ït es :......a

Toi larpe coup de citcaux, d la place des rlu{[ret I Et plu»
loin l'iraaique question :

a damnent ce pauvre M. Gantier (le directeur da la
onusurc. — La Red.) vn-l-il t'y prendre pour c/npicher la
BMuée entier de **y*ht la. nouvelle ? Et si le monde entier
1> sait dtjk, resteraas-aaus le» seuls a l'ignorer, nous qu'elle
Intéresse le plu» f

v Matua quand il s'agit de cet effroyable sujet, Anaslasie
(roure eocare le unovea de parartre nonfionne..... h

Un* campagne paediate enfance.

C'eat Hervé qui U 4évoile. Il écrit dnns sa « Victoire »
«ki a> février :

et des messieurs continuent.

tt Ha recommencent à nom inonder de leurs papiers
pleurnichard*. ...

a Dans le papier que j'ai sous les yeux, ils insistent sur-
tant sur l'inutilité- de coaliiHitr la guerre, à cause de l'im-
psnsilsilit de-vaincre l'Allemagne ; reprenant la thèse des
natalistes allemands de U nuance Licbknecht, ils viennent
ttaus chanter qu'en somme il n'y a actuellement ni vain-
queur» m vaincu* ; que ai tes Allemand» sont vainqueurs
on Europe, nou» autres, nous pommes vainqueurs sur mer
«s-aux oulstuMs cl que, par conséquent, on peut traiter sans
déshonneur, a

Hervé altuquc vioJaoamenl ce* il fimes de vaincus s. Par
cxjs alUuui* <ui apprend cependant que ces alarmistes
V pieurntOTiards n doivent être nombreiw, puisqu'ils ic inon-
dent ii la France de leurs papiers.

Les opérations des caisses d'épargne.

Nou» lisons dans le « Temps » du 21 février :
Voici le relevé des opérations des caisse» d'épargne or-
dinaires nvee la Caisse des depuis et coutignuLions :

Dupûls de fonds............ i,a3a,o83 09

Hetiuils de fonds........... 8,5a8,8oo 3o

Excédents de retraits..... 7,300,817 ai

Excédents de retraita du 1" janvier au ao février j
i5,086,608 fr. 30,

Le prix du charbon en Italie.

Nous tisons dons io s Journal rie Geneue » :

« La Suisse ne peut vivre sans blé ; elle ne peut vivre
sans charbon. Les Alliés lui font parvenir Te blé qu'elle
achète par delà les mers; les empires centraux lui four-
nissent le charbon. La Suisse en consomme 1,000 wagons
par jour, soit 10,000 tonnes. Un mineur pouvant extraire
une tonne par jour, il résulte que 10,000 ouvriers allemands
travaillent exclusivement pour la Suisse. Moyennant quoi,
nous avons la chance de payer ie charbon un sixième du prix
qu'il coûte en Italie, n

Donc le chnrbon est six fois plus cher en Italie qu'en
Suisse. L'IinIic qui recevait, nuint sa trahison, son charbon
de l'Allemagne, est obligée de l'acheter aujourd'hui fl son
alliée l'Angleterre.

Le « feu mal rie Gêneur 11 ajoute encore que l'Allemagne
n'exige pes de compensai ion directe «m échange de
son charbon.

Méthodes anglaises.
On mando de Stockholm nu u tierlinaske Tutende » paraissant
a Copenhague :

« Déjà au commencement de l'année, le Lmit courait
que de* personnes favorables a 1 [intente avaient tenté de
«'assurer la majorité des actions de trois grands journaux
suédois qui critiquaient énergiquement In politique de blo-
cus de l'Angleterre. H est certain aujourd'hui que ce bruit
était fondé, mois les plans ont définitivement échoué, mal-
gré l'importance de la somme offerte par le? intéressés. » .

La « Gazette de Hollande ».

TTnc dépêche de La Haye Hil • K "Dons une réponse écrite
au rapport provisoire de la première Chambre sur l'état du
Ministère des iiffuires étrangères, le roinislre <!é< lare qu'il
donne suite 0 la plainte des deux Chambres et qu'il retire
l'abonnement du gouvernement à la fl ftazeffe de Hollande »,
en raison de son attitude conhaire h la neutralité, »

La « Gazrttc de Hollande » est un journal «violait, pi.
raissajal ou Hollande et écrite en français. Sa valeur morale
égale celle du 1 TtlegraaJ ».

Une n répétition générale » à paria.
Nou» lisons dans l' <t 7;ei|o c/r PnrM • du Ï3 février :
« Paris a eu encore hier soir une alerte, qui ne fut, i
vrai dire, qu'une expérience rie rapide exlinclion de l'éclai-
rage. A neuf heures un quart le gouvernement militaire
téléphona de faire réduire Léclfiiragc dansUaJwnlîcue cl dans
les diverees voica pnrisienncs. Des ordrfs^frurent aussitôt
donné* aux diverses compagnies qui assurent l'éclairage,
électrique ou iiu gc», dans Pari* et fa banlieue, pour qu'elles
fassent l'obscurité complète, et, progressivement, le per-
sonnel de la compagnie et les agents procédèrent S l'extinc-
tion du luminaire de La ville, on ne laissant subsister qu'un
nombre exti ornement restreint de becs de gaa masqués de
l'abat-jour. »

L' m espoir du public, d'assister à une chasse au Zeppe-
lin h Tut oependani déçu, aucun dirigeable ne s'est montré.

Un Discours de M. Sasonolf

Lors de la réouverture de la Douma russe, M Susonoff,
minjglre des nff,nres étrangères, a prononcé le discours d'u-
sage. Il a répété une fois de plu* ce que le monde a entendu
tant de fois déjà, sans que ces éternelles répétitions
changent en vérités les affirinahons et les IjuuAUAtiosta faus-
se» destinées a justifier la politique funeste de* gouverne-
ments alliés.

En affirmant l'innocence de la Russie et la culpabilité
de l'Allemagne, alors que toul le monde sait aujourd'hui
que c'est la mo(>ift.«alitm ruaste qui donna le signal de la
crise fatale, M. Sasonoff a toutefois forcé la note de telle
façon, qu'on peut se demander s'il a vraiment rendu
service à la cause alliée. Pour tout observateur critique il
n'a fait que révéler les moyens extrêmes auxquels se voit
réduit le gouvernement russe pour soutenir le moral de son
peuple tant éprouvé, Il a démontré en outre que la propa-
gande alliée n'hésite pas d'avoir recours au racontars les
plus grotesques.

Si d'une part il a baissé le Ion, en niant l'intention des
Alliés d'anéantir le peuple allemand, et en qualifiant d'in-
senaée celte prétention chère il M. Barrés et à ws amis, il
n'a d'autre part, pas héijté à affunier par exemple que c'est
en état d'éhriélé que les soldai* allemands remportent leur
victoire ! Quel compliment pour les soldats rusaes I

Mais c'est en se posant en défenseur des « droits sacrés 11
et de la liberté des peuple* que le représentant officiel du
tsarisme a le plus gravement compromis la cause de ses
Alliés.

Dans cet ordre d'idée M. Saaonoff n'a même pas hésité
de plaindre U pauvre Pologne, celte u nation sseur », vic-
time de l'invasion allemande. Alors que personne n'ignore
que ce sont 1rs liusses ctix-mCines qui ont — et irs s'en eont
vantés I — détruit les village* et brûlé les nwuMons Ions de
la retraite de leur armée vaincue ; alors que personne
n'ignore (voir ou dernier numéro de h « Gaulle « l'article
« Hypocrisie libérale de la politique alliée ») lu premières
libertés politique* et intclUcUielles dont jouit- aujourd'hui
la Pologne russe, ce sont 4es Allemand* et les Austro-Bon-
y rois qui let lui oni apportées-, symbolisant celte œuvre
libératrice par la réouverture solennelle de la vieille uni-
versité polonaise de Varsovie.

Mois qu'importe à M. Sasonofï I Au point ou en est
arrivée la propagande alliée, on n'en est plus à une coulre-
vérité de plus'ou de moins.

Menus Propos

ON CHERCHE UNE TETEJ

Nous empruntons aux * Propos d'un Parisien 1 du « Afaim s
fanecdotp que voici :

Une Purisierma, femme du monda, m'écrit :
u Nous sommes 250 dames et demoiselles qui préparron*
notre examen d'infirmières. On nous demande 4 savoir
raser et couper les cheveux. Mon mari se reluse énergique-
ment k me confier sa tCte. hèa outre» dames sont dans le
môme cas. Je n'ai pas d'enfant. Ma concierge n'a qu'une
fille. Mon valet de chambre est sur ie front Je suis allée
chez mon coiffeur, qui pourtant u.e cormaM depuis des
années. Jl ne veut pas me cuuikir davantage 1* téte de ses
clients. Alors je suis désespérée et viens demander votre
aide pour uous tirer de ce mauvais pas......

Aûxuible Dalila, je ne puis que dépusor u vos pieds mes)
hommages et ma tète. Encore celle-ci est-elle passablement
déplumée par les ajis.

Du temps de la bonne Deshoulicres, je vous eusse con-
seillé, sur l'--t> bords DourU qu'arrose la Semé, de paître les
moutons, — bon prétexte pour les tondre. Mais les moutons
sont partis faire la chasse aux loups....

Je ne vois qu'un accours : allez trouver l'un de ces prati-
ciens eo plein vent, Figaros de la berge, Diogènes du bord
de l'eau, qui, soua les ponts, accommodent aux ciseaux les
toutous. Il vous donnera bien volontiers des leçons de coupe.

Mais j'y pense : si vous voua adressiez tout bonnement
à la censure ? $

Zola prophète.

Dans son roman u Tmuait n, Zola écrit (page 664) :

v Chaque jour il y avait encore de la chair humaine
pour le» balles et les boulets. On ne prenait mime plus la
pems d'enlever les morts, les fa* faisaient des murs, der-1
nère lesquels dei régiments nouveaux, intarissables, ve-
naient se faire tuer. Lu nuit n'arr£Uut pas U combat, on
i'èijorgeait dans l'ombre. Le soleil a chacune de ses aurores
éclairait des mares de sang élargies, un champ de carnage
où l'horrible moisson entassait les cadavres en meules. Et de
partout c'était la foudre, des corps d'armée entiers dispa-
raissant dans un coup de tonnerre. Le:, combattants n'avaient
même pas besoin de s'approcher et de voir, rrs canons ti-
raient de l'autre côté de l'horizon, lançaient des obus dont
l'explosion asphyxiait, empoisonnait. Du ciel lui-même,
des ballons jetaient des bombes, incendiaient le* villes au
passage. La science avait inventé des explosifs capables de
porter la mort & des distances pxocVigieusc*. »

Question de goût.

Le « Figaro n, dans un entrefilet veniieeux, se moque
des Allemands parce que quelques-uns ont donné i
leurs enfants des prénom» qui se rattachent aux grande*
victoire* allemandes. U y aurait des petites n Vilna »,
« Varsouie », « Belgrmit », etc. Le « Kis/aro v trouve cela
de mauvais goûl. Ses lecteurs, malgré le* « victoires » quo-
tidiennes de M. Gapu», ne peuvent évidemment appeler
leurs filles u Cologne », u Mnyonoc », etc. Mais nous ious
souvenons que d'après des journaux français, il y i de*
bourgeois frauçai* qui ont baptisé leurs filles « Poilue ».
El nous comparons simplement : « Vilna » ou <i Poilue n?

Question de goût I

LE CASIER DBS SOTTISES

Au Caire il existe un journal égypUcs» à ht solde des An-
glais, qui pub-lie la* st renseignecnesjts » suivants sur la vie
de Is femme allemande :

u L'on suit que les femmes allemandes mangent autant
que les hommes. La fémane allemande prend son café au lait
habituellement entre 7 et 8 heures du roatm. A 10 heures du
matin eJk prend un repas de viande et i 1 heure elle prend
le dîner arrosé de bière on de vin ou des deux ensemble.
Dans ces dernières années elle s'est habituée de prendre,
l'astres-midi, le thé avec des gâteaux et du chocolat. Le sou-
per a lieu à 8 heures du soir. Il est composé de viande de
porç, de veau, de mouton ou de bœuf. Comme boisson,
elle prend de l'eau~de-vie 0) ou du zhsvnpagne, tandis que
la bière est servie après le souper au *»km. C'est ra série ha-
bituelle des repas de la femme allemande. On comprend faci-
lement quelle influence tes restriction» causées par ln guerre
devaient avoir sur ces femmes, et on ne sera pas étonné
d'entendre parler de TCvohe* et d'émeutes de femmes on
Allemagne 11

Las femmes aUenaanfles 1 fout donc dea émeute* », parce
qu'elles manquent de boisson 1

Et voila comment les AngLus édaireisaont sur l'AHcana-
gne les Etjyptaeas qui n'ayant pas encore tous été a LondrW,
ignorent évidemment quelle est 1* capitale, où ra femme aiajte
le mieux le u whiaky 1>1

LISTE N° 117 CONTENANT 450 NOMS

(Reproduction strictement interdite)

les noms ni tels tfes groupas Ufeifjnenî les endroits vit se trrat tes prisonniers flont les noms Suivent. — Le total des noms pDliés iusqu'aulauraui sb monts a environ 238,750. — Restent i vWfà environ 61,250 noms.

Lm —»f*>»a«ss mi/nanitune* «tant s'inspire la publica-
tion, dans lu u Gazelle des Ai demies », des noms dss
WtjMW prfsonidsrs français oclneUemeiU mtemci en Alle-
magne, n'ont pus été appréciés pur tous avec la même équité.
Qae n«n*f importe J Soi tseteurt tsa pensent pas de tnômt
4J*xVm le tait dans ceriamec nidactlona sut tes bnultvards
pssriflsMS. Nous m sauterons donc pns troubler /Intime
oem tinte ment que ntnu éprouvons d'avnir "pu contrrhuer d
ca*f sv les m, ■M?;udrt d* mi/(ter* de (anuUes français»,
partant un ruynu dm pua dans les foyers laissas dans la plus
«sMnrswe moer<MI%a»e par ie gouvernement français, en
tiasr snnmnçem la aasai neuvelle Qua leur Jtk étmtt sain et
•ot*J, sa svauvoni en eapttt^e* allemande, aussi heureua que
le permettent las circonstance*.

HEIDELEERG

(Otficïers tntemés ces temps derniers.)

Baron Mau-oet, Gerardruer (Vosges), wus-Ikjui., mlant, 152,
BeiUs Alcscnade, f>r«a«aot>ue (Aude), aous-heuL, infant. 152.
1<puju.mii Armand, De«ancon ;l)ouh6j, oapiUuoe, infant. 152.
OroasMioi Joseph, Gèi-wdmer ^Vosges), soua4ieut,, ini. 152.
Leiaisnie Charles, Paxta, sous-iieulenant, infanterie 152.
Làeury Hobert, \je Havre iSn*-lnfér.J, tieutonant, infant. 152.
MarécàaJlat Heurt, .fcreny lAsn), eous-houlanant, ittfartt. 152,
Perdu stagèna. Annaux <Yoone), WcuUnarrt, uitsuiterie 152.
flavûetet Sugûne, Soitsarea (Jura), s,-ueulenarit, infant 152.
ïtoniMat Charles, G^rexdsaer (Vcagea), aous-anut., infant 152.
Ss*alospurgar HauL, fipmaa (Voageal, omnstaine, infant 152.
Blanchet Loun-Pierre-VKtor, Bourg (Ainj, capitaine, inf. 23.
Chapplain IteoTi-Pttui, Marseille ;Douches-du-Rh.!, infant. 23.
Guriet Eugeiie-Guasava, farts, souu-heutenanl, inranterie 23.
Belugei- Luwan-Hiililjsu-l, Lyon (Rhonal, sous-heut, inf. 23.
Osmàoulm Miuiice, N*u«>a (Snc-et-Marne), aous-heut, inf. 23
Gaujoii Lur-eu-Alpttonse, Malun (Se^ine-e^^4arl)e), infant. 23.
Pailet ManuiL, bourg ;Au»^ 6ous-ueutena.nl, infanterie 2J.

V<t-LIN<5EN VBADEN

\Ol\icicxs internés ées temps derniers.)

Bruit Rug -P., Btiuige» iCher), sous-lieut, mlant terril. 55.
Gauttnrv Léo, MArwa ^S»onc-oi-L.), lieutenant, infanterie SU.
Rieffnl Tony, Mftcon ;Saône-cl-L), capitaine, ïnfanlarie 33*.
SuWnl Tony, LJou.goa (Cher), lieutenant, intanterie tarrit. 55,
Mull'it Victor, Veruan [Meusel, capitaine, chanseur* A p. 5.
Couprse Geoifisti, Villetrauche-a.-Saône (Rhooc), s.-It,chas3.5
Rmere IVirre, Hle» (Cher), aoua-licut, chanseurs à pied 5.
ï*nr»î Lo^iia, Kpmat (Vua^es), iious-lieuL, chuaa. & pied 5.
Jtwrdan Kimwa, iXiimi e» (Var», sous-heulenant, génie 1.
Hacheray Alber*, WngueuK (Doi'dognel, Boua-ueut, inf. 23.
i*e»Ter Ji«eph, St-?*a«i»are't>yî-.-Or.), toua-lieuL, chass. alp. 7.
*s« Mattgoa Cbarsea, ^^iMt»l|\îeusej, «ou*4ieul., chass.alp.7
Q*svuer C'aod^, Ntionoe» Lhorr, siiiis-lieuienoiit, genic 11.
sse Bonoït Th<^u^- e».-Iirfs [Meuse*, * -lient., chas>8. 7.

t«gal Gao:-pei.^enf, Mirweilre, hous-heut., chass. alp. 7.
i>6-Marwil Hhtv, >.v. j . VJnme-et-L.}, sou.i-Ueut., chu.-,*. 7.
CfcauftFf Fram;»»*, Mar*ei,ie, sous-heut, -ohaiB. alp. 7.
Carcau Jean, Si-Jean 1 ied-dft-Port (D.-lJyr.), s.-lieuL, chaas.7
Dormay ÛsjsVsjas Emile, ïremoina [Saône), s.-lieut., chass. 7.

HAMELN * W.

iSmtej

Pouech Firmùi, Burret (Anège), inlunlerie 80.

Deberrtardy Françoia, Toulon (Var^ infamteric 80.

Baudru Axiioine, Celea ^Apiègej, intanterie 80.

DeUunotte Eugène, Maroé (ïncire-et-Loire), ininnterle 80.

Cotte Jean-Marie, Goaaes (indre-cl-LoiTe), ioianlorie 80.

Fahr» Albert, Netflaca (l*yreiJCea-Or»erit.), infanterie 80.

Vidas, Anatele, HaJauat (Tarn-et-Oaronne^, mlanterie 80.

Oupuj Pierre, St-Sardos (Tnrn-et-Garc-onet, m fan te ne 80.

Vidal Augustin, Mantauban (Hte-Garonne), infaule/ie 80.

Bonneoauaa Michel, Mas-Grenier {Tara-et-Gar. ^ infant 80,

Chaubet J.-B., Mas-Grentei' ,ï'am et-Garonnel, intortt. 80.

Tapot Jaan, Ptouaane ^"irtiblère), infanterie 6U-

Paraajol Gustave, St-£omue (Lozère), infanterv* 80-

Marty Astred, Capedenac |lx>eÈre), infanterie 80. "^s<»^> ^asw

Aadsin thuuaiune, St-Authéme {Loïère}, inéantene feO^^^"

Mayar Adriaa, Oulod-Fayet (Lozère), infanterio 80.

Barrière Aubin, Monthaaillac (Loziirel, infanterie 80.

l?eyras iules, Courniou (Hérault), caporal, infanterie SO,

Barrau I*ierre, Otrcatisonne {Audei, infaoterio 60.

Galvel Edouard, La Vayssitre (Aude), ùîfanterie 80. '

Brel Jean-i^ecTt, Monbéqui (Tam-ct-Garorine), infanlerie 80.

Poyraa Antoine, Couruiou (Héraulti, infanlene 80.

Maynardier Louia, Fernèret. (Hfcraul), infanterie 80.

Cartel Pierre, Carcaasonne (Aude), caporul, infatiterie 80.

Saurel Sylvain, Rouinac (Aude), intanterie 80.

I Auguste, CcuUj-ae (Audo), infanterie 80.

l'ujol Jean, .VLglus (Anège), infanterie SU.

Pezei Germaïu. Laburçatlc {Loli, ir.fantenf bO

Calmât Pascal, I.u.befisoure (LaU. infanterie 80

Monleil lauL, Molanoier (Audei, mfuntenie 80,

ïzMtté EriMii»t, Saiut-Gory (Aude), tufantenc 80.

liouuat Frtui^oia, Viaca (Pyrùiiees-Onanlaiew), infant. 80.

Carayon Louis, La ■Besnonnu-ie ^-".srunoes-OiiL'Lil.), inf. 80,

MnUlatte Armand, Toulouse (Vitrj, infanterie KO.

flouziès EdouûitL, St-.Marce4 (Pyjwiées-Orient), înfiinlerie 80.

Sauche Hubert, Fonges (Pyfénôeà-Ûnant,), inf:ui(erie 80.

Rouanne Kariiand, Toulouse (Var), infanterie 80.

Combe* Marcel, Carm.iux (Tarni, mfanlcne 80.

Bas Emile, Mous,souïeaa (Aude, infanterie 80

G«»ùt Joseph Les Croiizettc," (Audel, sergent, inf.int. 80.

Boisaière Louis, Moutech (Aude), infanterie 80.

Moral Pierre, Sahorre (Pyi'éné*?s-Orieni.), s«rg., infanterie 80

Raynal Eriîcst, Aibi (Tarn), jwsjfsiAj, mfunlcntf 80.

IMason Fernaod, Violas (Lozère), eergent, infai;!fric 80.

Saler André, Uu-oque (Lozère), infanterie 80

Fourc Sébastien, Ljiroqm? (Lozère), infanterie 80.

MokiM ProspâTi Jjiroque (Lozère), intanterie 80.

MoIiiib Klicitiie, Montes qui eu {l&zkre}, caporal, infant. 80.

figuiereb Je^ui, Sorède (Pyiè-ièes-Oi icntl, infanterie 80.

Toik Anton:.-', i'hùza (Pyrériéea-OriciU.!. ink:alcrio 60.

Vial Alexanuic, l'oipigniin, inlaiîtcns ^0.

Gayial Sylv.ujx, Ciftanet (l'yiiiénées-Ûr.enL.1, iitiuntcriû' 80.

Toui?* Pierre, Alaigne (Autit;, infanterie 80

Mea*e4 Ihinrt.-y^^ Carcnssouii'j (Audej, miaiitenc SU.

Mousquet Imr/jis, Sie-Fou-do-Papolière, m'iint-on* 30.

Dorsn leta, Si-Léo» (Aude), infanlene G0.

Calas Pierra, Belmoatet (Audo), caporal infanterie 80.
Pons Noël," Perpignan (Pyrénées-Orient), caporal, infant. 80.
GerhTflÉ JuHen, OuveiHan (Aude), infanterie 80.

Ducbemeux Gabriel, Brèhan-Loudéac (Morbihan), infaut. 80. .

Pontabes Jean, Puivert (Aude), mlanterie 80.

Sauvagnac Pierre, Vitlentagne (Audel, uitMQlerie 80.

Tcissier Orner, Moadoubelau (Luir-et-Cherl, infanterie 80.

Léom Pierre, Mùsana [Loir-e^Clser), caporal, infentarie 80.,

Simon Alexandre, Château-Lan don (8.-et*M.), infant. 80.

Tagot Viotoc, PnssBagny ^Seuie-el-Marne;, infanterie 80.

Esconde, Ernest, Sorèce (Tarn), infanterie 80.

ConôtortE Jean, Vacquiers (Hte-Garonne), cap., inranterie 80.

Conslana Pierre, Villematier (Hte-Garonnoi, cap-, infant. 80.

Amel Joseph, Mereénac (Hte-Garonne), infanterée 80.

Forguee Jaan, Grenade (Hte-Garonne), caporal, infant. 80.

Fodry Emile, Corbail (Hte-Garonne), infanterie 80.

Respant Finrnn, Le Soler (Pyrénôes-OrieiiL)v aerg,, inf. 80.

Perrier Clemenceau, Paris, infanterie SU.

Marquier Ëhe, Gourviclhu (Pyrénées-Orient), infanterie 80.

Lyon Eugène, Baraigne 'Aude), infanterie 80.

Barthez Jules, Saint-Félix (Aude), infanterie 80.

Cruyssac Jusliin, I-estradM (Aude), infanterie 80.

Papin Auguste, te Mans (Sarlhe), infanierie 80.

Roubichon Henri, Carcassonne (Audel, uifantcrle 80.

Gujllemaut Pauibert, Meurtreuil (Aude), infanterie HO.

Burlbou Gaston, La Rocale (Aude), inl'anberie 80.

Corbault Adrien, Chaunannt-s.-Thftrunne (Aude), cap., inf. 80.

BonneUun Eugène, St-Mnunnes (Aude;, infanierie 80.

Gally Eugène, PauJ'inet (Aude,) infanierie 80,

Culié Henry, Lri-a?£ (Tarn), infanierie 80,

Founaer Charles, N'oizay (Indre-el-Loire), infanterie 80.

Besson Félix, Pans, infanterie 80.

Balu Albert, Choisy-le-Roi (Seine), infanterie 80.

Robert Aimé, Albine (Seine), infimlerie 80.

Chesneau Georges, Gy (Seinel, infanterie 80.

Soler Jean, Reynes (Pyrénées-Orient.), infanterie 80.

Lalché Jean, St?Micliel-de-Laneii (Aude), infanterie 80.

Saisset Etienne, St-Gcrvais-s.-Marc fHirault), infanierie ^0.

Tesaier Lucien, Chaurigny, uifuntctie 80.

Bergé Jeun, Toulouse (Haute-Garonne), infanterie 80.

Borrcil Etienne, Mossct (Pyrénées-Orientales), infanterie 80.

Casenove Pierre, Perpignan fPyrénécs-Oricnlales), inf. 80.

Luan Morceîlm, Vorfeil (Haute-Garonne), infanlene 80.

Fit!« Bertrand, Boulogne-sur-Gosse, sergent, infanterie 80.

Rouannes Léoncd, Lédat (Lot-et-Garonne) Caporal, inf. 80.

Resslgnier Pierre, L'Hanoiwle-Cos, caporal, infanterie 80.

Charlas Finnin, Gassac, infanierie 80.

Sacare Ernest, Sorèze (Tarn), capor.U, fnTanterie 80.

Maisonnier Albert, Montesquieu, caporal, infanlene 80.

David Louis, Sallèles, infanterie 80.

Bareyre Jean, Oaujac (Lot-et-Garonne), fnf.'intene 80.

Pich 5ean, Suillagonsse (Pyrénées-Oneninloi), infanterie 80.

Rancien C^irsiin, Monlreuifle, infanterie 80

Touîfiiie Emile, Cours an (Aude), infanlene 80.

Fraîche Adolphe, Cotrrsan (Aude), -infanterie 80

Crisjlol Albert, Castres, infanierie 80.

Saviard Marwau, Montrcau, infanterie 88

Penol Ai<ialjd>, Rt-Sidpice-îe-GT*ntcna, infimterie 80.

Cnrnèrc Mnui-ice, ^îuurj- "Pyrénécs-Orientaleaj, cap., inf. 80.

Gr.igLU.ro L:mie, BuZiiera ^terault), infanterie 80.

Riveill François, Les Aûgies, infanterie 80.
Laoetut Franvoi», Auayraç, tnfanteru 80.

Rambail Joseph, Pinel [Hérault), infanierie 80.
Deealate Léon, Montuiaier (Tarn), infansenc 60.

Batigne Charles, CaatPee, infanteria 80. -

Ricard Paul, Castres, infanterie *K). , y ■

OUiar Ajwbde, Sarviaa (HaaaalU, iufautorie 80.

Régnier Joseph, Toulon, infanterie SB.

Teaaayre Joseph, Basoege (Haule-Garormet, iulantcrie M

Cbobart Auguatân, Lee Angles, infanterie 80.

Gorofé Joseph, Sijean (Aude), inXantcne 86.

Beautés Jean-Marie, Cavaaac ; Aude.i, infanterie 80.

Garrigues Hippolyte, Loubaut (Ariftge), infanterie 80.

Fabrièa Louis-Victor, Roquevndal (Tarn), caporal, inf. 6v

Alsat Jean, Paitlet-Pomniw (Grroaue), infanierie W.

Bellat André., Mouchy-St-Eloi, inranterie 80.

Eytfhenne Joseph, St-Sulpice, infanterie 80.

Joaanmssan Jeun, Cires (Haute-Garonne), caporal, inf. 80.

Milot Etienne, Laurecjols, infanterie 80.

Sirgont Jean, Bourdeneuve, infanterie 80.

Razés François, Durfort, infanterie 80.

Dejean FrançotB, Jusbniiic (Anège), infanierie 80.

Martin Maximien, Montmaurin (Traute-Guronne), inf. 80

Garrère Bertrand, Poucharritmet (Haute-Gnr.), cap., inf. 8"

Hullet Paul, Lafajollc (Aude), mfanteric 80. _

Roiiche Jnlea, St-Marhn, înfaatcrie 81*.

Prumô Paul, Saverdun (Ariège), infanterie 80.

Baby Léon, St-FIsrm, infanterie 86.

Lajous PiciTC, Ije-Fousaeret ("Haute-Garonne), cap., inf. 80
Ma??t Ktienne, Belpech {Audw, infnnler-ie 80.
Sizès Paul, Castelntiudan- . Aude), infanierie 80.
'Gamère Marcel, Savtgny-sur-Bry, infFtnterie 80.
" Vnchot FnTQan, Pnneay (Vienne), vnffmèerie 80.
Chaussegros BaptiFte, fcnnoaay (Ardeche), infanterie fin
Fromenloux Angustin, 'Rociwpaiile, rn/anleric 80.
Maurin Joseph, Gémenos (Boncbes^n-I'th&nei, iof 80
MazQs Charles, Lyon, infanterie 80.
Ferré Joseph, Moulis (Anëgei, inlanseric 8#.
Casteil Baplista, St-Mtulwl-ies-iotles, mEnnlone 8*
AUary Alfsandre, 'Bouletc>nnerre, infanterie 80.
Carrère Pierre, Fourqnes, caporal, infanterie 86.
Brousse Jacques, St-fc^ève, infanlene 80.
Heoaly Jean, Estagei (Pyrénèes-Orientalee), «eng, inf. £ri
Tanmèi'e Frèdénc, Bè^Hrt. ('Hérault), aergent, infanterie S1
Marsa! Pierre, Marnera (Sarlhe), cafioml, mfaiitene 80.
EaUîvc -Marins, AiVignon (Vaucluseï, infanterie S0.
l-'rudhomme Lucien, St-Dion-Cb.-Lafoi'l, infanlene 80.
Hourry Désiré, Kédan-ides (Vaucluseï, îninriterie 80.
Aulagnon Albert, Viliemaiier, caporal, infanlene 80
Colaoïi Georges, Paris, Hifautene 86.
Muncès Martin, Bauinas, caporal, infanierie 80.
Ségade Je>an, CasteInauilnry (Audel, caporal, mlanterie ■
Albcrl Euiiio, Narbonne iAudoi, infanterie 80.
fiurdon Marcel, Collanges (Pay-de-Dùme), infanterie P
Bordes Guillaume, ViQoneuve-s.-Lot (Lul-el-Giir,), cap ,Jf
S^rera fJrarnanuel, BéKiert (Héraulti, uifituLeiie 80.
Aniouroux Louia, Toulon, ïnfanlarie 80.

(A -suivre. )
 
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