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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0011
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GRELOT

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Charivari..............

Civilisation......••....

Constitutionnel.......

Défense...............

Dix-Neuvième Siècle. .

Droit..................

Evénement.............

Estafette.............

Figaro..........-.......

Français...............

France.................

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Gaulois................

Gaz. des Tribunaux..

Globe..................

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Illust. London News.

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OU EN SOMMES-NOUS ?

Telle est la réflexion que m'inspire la chute
du cabinet ?
Où en sommes-nous?

Sommes-nous devenus absolument ramollis
et la France entière n'est-elle plus qu'une
vaste succursale de Sainte-Anne ?

En effet, je lis dans les journaux réaction-
naires, et — il faut bien le dire — dans un
certain nombre de feuilles soi-disant républi-
caines, ceci :

— On a révoqué M. de Saint-Vallier, l'am-
bassadeur de France en Allemagne I

Mais, y a-t-on bien songé?

M. de Saint-Vallier était du dernier bien
avec le prince de Bismarck ;

L'empereur d'Allemagne ne cessait de faire
des mamours à M. de Saint-Vallier ;

On enlève M. de Saint-Vallier à l'ambas-
sade d'Allemagne;

Qu'allons-nous devenir? —•

***

Et là-dessus; les susdits réactionnaires et
les journaux républicains de nuance orgeat et
groseille, de se iamenter,

Et de pousser des holà à fendre l'âme la
plus endurcie.

***

Ah ça! voyons, qu'est-ce que cela si-
gnifie ?

Il est bon d'être piudent,

Et de ne pas s'en aller en guerre comme
des Don Quichotte, avec des sabres de bois et
des casques en carton ;

Mais, sapristi,

Il faut avoir un peu de sang dans les veines
et ne pas baiser le derrière de ses ennemis
pour éviter une chiquenaude !

Sommes-nous, oui ou non, les maîtres chez
nous?

Quelqu'un a-t-il le droit de s'occuper de
nos affaires personnelles?

Si nous avons du linge sale à laver, qui est-
ce qui se charge de nous fournir le savon?

***

Nous sommes déjà bien assez aplatis sans
donner à l'Europe, qui nous regarde en se
moquant de nous, le spectacle de ces terreurs
ridicules.

Un ministère tombe,

Naturellement les gens qui le servaient
prennent leurs contremarques.

Cela n'a rien d'extraordinaire.

M. de Saint-Vallier, qui ne paraît pas au
nouveau ministre suffisamment représenter
les idées du gouvernement actuel, est prié de
boucler sa valise.

Qu'est-ce que cela offre de surprenant ?

On change M. de Saint-Vallier,

Eh bien, après ?

On change bien de chemise.

Est-ce là une raison de s'épou vanter et de
croire que les hulans de M. de Bismarck vont
aller, après-demain, manger une friture à As-
nières ?

Allons donc !

Ceux qui manifestent de semblables terreurs
sont de mauvais citoyens et des Français de
vingt-cinquième catégorie !

Ce jeu-là, nous le connaissons !

C'est celui des gens qui saluaient de leurs
bravos les Cosaques de 1815, et qui vendraient
leurs femmes et leurs filles au premier venu
s'ils étaient sûrs que ce premier venu leur
ramenât Henri V.

C'est le jeu des royalistes,

Des bonapartistes,

Et des ennemis du pays, quelque cocarde
qu'ils portent 1

***

Nous ne cherchons querelle à personne,
Nous ne revendiquons rien du tout,
Nous laissons chacun tranquille et libre chez
soi,

Qu'on en fasse autant pour nous !

Derrière l'ambassadeur que nous allons en-
voyer à Berlin, il y a la France !

La France, calme, impassible et forte 1

Et nous avons meilleure opinion de nos
ennemis que de ceux des nôtres, qui ne cher-
chent "qu'à jeter le trouble et l'épouvante dans
les esprits à chaque changement de notre po-
litique intérieure !

Nous sommes convaincus que M. de Bis-
marck ei son illustre maître recevront à mer-
veille l'homme, quel qu'il soit, qui s'en ira
vers eux, revêtu de la confiance du gouver-
nement français, et qui leur dira : « N'ayez
souci de ce que je puis être, mais songez bien
qui je représente !

Donc, bon voyage à M. de Saint-Vallier, si
M. de Saint-Vallier ne fait plus notre affaire !

Et marchons carrément !

Sans peur, sans forfanterie... mais surtout
sans faiblesse !

Et soyons plus fort que Pion Pion...

Respectons le fond de notre culotte !

Nicolas Flammèche.

lue— dans les districts du Nord-Est de cette
principauté.

Leurs victoires n'ont pas, comme on voit,
sauvé de là misère ces braves gens.

Les lauriers sont bons, mais suffisamment
nourrissants seulement quand il y a un bon
ragoût et pas mal de pommes de terre,' frites
autour.

Grtngoibb.

I

BLAGUES ET GNONS

Le nouveau président de la Société protec-
trice des animaux est le baron Larrey.

On ne pouvait faire un meilleur choix.

Le fils d'un charcuteur d'hommes empêchant
de charcuter les animaux : toute l'humanité
moderne est là-dedans.

Jeudi, on célébrait cinq messes pour le re-
pos de l'âme de Badingucl.

Soit. Aussi bien, sommes-nous d'avis qu'on
ne doit pas troubler ce repos,

11 est des choses qu'il ne faut pas remuer.

Le Journal des Débats reconnaît aujourd'hui
que le ministère Waddington aurait dû, pour
vivre, mettre le personnel des diverses admi-
nistrations en meilleure harmonie avec les
nouvelles institutions existantes.

Il nousu/appelle les gens qui s'aperçoivent
qu'il est temps de marier la fille quand elle
est enceinte I

Le Journal de Génère blârriè le choix de
Freycinet comme ministre des affaires étran-
gères.

— Il fallait un danseur pour cette place,
dit-il, c'est un calculateur qui l'obtient.
Il y a du vrai là-dedansl._ m
Mais cela indique peut-être tout simplement
que les diplomates de l'avenir vont devenir
moins sauteurs.

Le relit Caporal déclare que, vu leur quan-
tité, il est impossible de connaître les assas-
sins impunis, sous la R. F.

Vu leur qualité, on no connaissait que
trop cette intëresssante classe de gens, sous
l'empire I

Le prince Nikita n'est plus le seul souverain
de Monténégro.
La famine règne aussi, — souveraine^abso-

GAZETTE DE MONTRETOUT

Petits Jours d'un pâtissier.

La nuit même de la naissance d'Alexandre,
— 3a6 ans avant J.-C — rien de Jules Clare-
tie! — un sieur Erotsrate, voulant se rendre
encore plus immortel qu'un académicien, pé-
trola la septième merveille du inonde, le
temple de Diane à Ephèse...

Eût-il vécu,de nos jours, cet enragé Ephé-
sien, affamé de célébrité, aurait fait emplette
d'un révolver de 13 fr. 50, et se serait em-
busqué sur le passage d'une tête couronnée.

Bien entendu il eût manqué son coup.

Et le Grelot de s'écrier : Heureux monarque,
Eros te rate!

Or, sans attendre i'Kpiphanio, une demi-
douzaine d'Erostrates de pacotille, se sont
amusés à tirer les Rois sur tous les points du
globe.

Un demi-Erostiate a même, aux Indes an-
glaises, « tiré un Vice-Roi 1 »

S. M. Alphonse n'est certes pas une des
sept merveilles du monde.

Et pourtant deux aimables toqués, Moncasi
et Otero Gonzalez, ont essayé de le démolir,
histoire de se l'aire une petite réclame devant
la postérité.

A l'instar de Hoëdel, de Nobiling, de Solo-
\vi®ff et dePassanante le jeune Gonzalez a fait
four...

Il est vrai qu'en sa qualité de pâtissier la
chose est assez naturelle.

Mais une fois l'assassin pendu, que résulte-
ra-t-il de sa tentative?

Sa majesté espagnole imitera son collègue
de Russie : on tombera sur les républicains
qui n'en peuvent mais!

C'est bôte comme tout, cette régicidomanie!

L'histoire de Louis-Philippe, qui a été assas-
siné dix-huit fois dans sa vie, devrait bien
dégoûter messieurs les Ravaillacs et Jacques
Cléments contemporains.

Si ces messieurs veulent à toute force de-
venir immortels, ils n'ont — comme Granier
de Cassagnac père, qu'à acheter une bonne
bouteille d'encre et à éreiter Racine, Corneille,
et Molière...

ILes Reportèr •».

Impossible d'ouvrir un journal sans y trou-
ver le récit d'une entrevue quelconque avec
un personnage plus ou moins en vue. On ap-
plique à la politique le système des 'indiscré-
tions parisiennes, inventées jadis par Adrien

On'nous dépeint l'intérieur de Vinterwiev
avec une fidélité naturaliste ; on apprend aux
populations anxieuses que Son Excellence
Un Tel porte des gilets de flanelle; on nous
divulgue combien il a de boutons à sa redin-
gote ; on nous dit a quelle heure il se se lève,
a quelle heure il se couche, s'il a des puces,
s'il est bien avec sa belle-mère, s'il fait gras
le vendredi, s'il a dans sa table de nuit un pot
de chambre manufacturé à Sèvres, combien d»
fois par jour il va au Cabinet, s'il est constipé
ou s'il a ladiarrhée, le nombre de morceaux
de sucre qu'iL met dans son café, si sa bonne
est jolie, si son concierge est grincheux; s'il
a rêvé chien ou chat, et si ses enfants font
pipi au lit...
Et on appelle cela du journalisme 1
Veuillot, dans ses Odeurs de Paris, a lance
jadis une bien spirituelle boutade contre
un des t Passepartout » qui l'avaient in-
terwieuvè. Avec quelle verve il raconte la vi-
site du reporter : — « J'ai cru, dit à peu près
Veuillot, à l'entendre parler français, que c'é-
tait un domestique qui venait me demander
une place; je n'aurais jamais supposé qu'il
pût être journaliste... j'avais cependant re-
marqué qu'il regardait mes pantoufles. Le len-
demain je lis dans le Figaro : » Veuillot porte
des chaussons de lisière. » Il les avait reconnus !
C'est sans doute lui qui les avait labriquôsl »

lîlagjn» ama,

Je ne suis pas content de la façon dont a
distribué les portefeuilles,

Si les conseils du Grelot eussent été suivis,
c'est un Faire qu'on aurait dû donner à la
marine. ...

A la direction des théâtres Ferry eût régné
souverainement.
Et enfin le char de l'Etat eût d'autant mieux

marché que le Cochér//!

Cela m'est Freycinet question que de bas
Varroy aux travaux publics.

Quant au commerce, il n'ira pas fort si tout
le monde, eii parlant de l'argent, s'écrie : Eh !
Tirardl

La pipe et les curés.

Le Bulletin du Sacré-Cœur publie de temps
en temps quelques amusantes souscriptions
pour la fameuse église de Montmartre.

Entre autres :

Un père de famille, sur son tabac à fu-
mer . ,................... 6 fr-

Quel exemple pour les priseurs et les chi-
queûrsl

Ce ne sont pas eux, les égoïstes, qui écono-
miseraient 0 francs sur leur consommation 1

Les fumeurs, eux, sont charitables par tem-
pérament. Espérons que leur argent ne s'en
ira pas en fumée t

Encore les Reporters.

On lit dans le journal « le mieux informé de
Paris» :

«Nous avons été les premiers à annoncer
l'arrestation de Walder; nous sommes «gaie-
ment les premiers à démentir le fait. »

Triomphe de l'information !

Pudeur et impudeur.

— Où demeurez-vous, ma belle enfant?

— Rué de Larochefoucauld, monsieur.

Ce n'est pas Nana qui eût trouvé cet euphé-
misme; file à qui l'on demandait :

— I -a rue Condorcet, s'il vous plaît.
Et qui répondit :

— Monsieur, je ne connais que le quail

Cour d'assises.

lu président?. — Enfin, accusé, vous ne pou-
vez justifier de l'emploi de votre nuit du 6
au 7 octobre. Donc, vous êtes coupable.

— le prévenu. —Mais, monsieur le prési-
dent.. ..

— Vous avez commis l'assassinat.....

— Je vous jure.....

— Alors, si vous n'êtes pas coupable, dites-
nous ce que vous avez fait pendant la nuit
du.....

l avocat. — Mais enfin, monsieur le prési-
dent, vous devez comprendre la délicatesse
de mon client : il ne peut pourtant pas vous
dire en pleine audience qu'il a couché cette
nuit-là avec votre femme?...

Tête du magistrat.

Un Nana-thème.

Nana vient de rompre avec le comte de
Muffat.

Celui-ci revient a la charge et lui envoie dix
mille balles.

Nana, après avoir examiné les billets, prend
la plume et, de sa plus belle bâtarde écrit au
comte ce seul mot désinfecté par l'histeire :

— M....1

— Mais, ma chère, ne trouves-tu pas que
c'est un peu vif? lui dit une amie Satin.

— Tu as raison, répond Nana, je vais atté-
nuer...

Et elle ajoute :

« A vous de cœur. »

Puis elle envoie la lettre...

montretout.

COUPS DE BEC

Les personnes qui ne savent pas ce que c'est
qu'un homme fameusement satisfait, n'ont
qu'à se donner la peine de passer aux bu-
reaux du Grelot, et ils y verront leur serviteur
leur sourire avec tout l'enthousiasme qui peut
se refléter sur la figure d'un citoyen français
qui vient d'apprendre qu'il y avait ûne
commission nouvellement formée pour étu-
dier les

Mesures à prendre
contre les dangers de la débâcle sur les voies
navigables

Comme ledit citoyen connaît les commis-
sions comme sa poche, il a la certitude que

vers le mois de juillet.....1921», on aura trouvé

le moyen de rire des dangers pouvant résul-
ter des débâcles les plus formidables. Ces far- .
ceuses de commissions se donnent un tel mal
pour étudier les questions à elles soumises,
que pour peu qu'on soit bon père de famille, j
on est tout de suite rassuré dès qu'il y en a
une qui s'acharne à trouver un remède quel-
conque, car on a la certitude que les enfants de
la dix-huitième génération pouront profiter
de la découverte desdits commissionnaires —
pas un calembourg, commissionnaires.

C'est, en effet, excessivement amusant, dès
qu'on veut examiner le rôle des commissions,
quelles qu'elles soient.

Tantôt c'est en plein cœur d'été, pendant
que tout le monde cuit et recuit sous les
ardeurs de la température , qu'on nomme
une commission pour avoir frais dans les om-
nibus.

La commission, qui a bien chaud, trouve
dans le thermomètre, une mesure pour re-
mettre à plus tard le moment des réunions.

Alors l'hiver arrive, et la commission déclare
que dès lors, comme tout le monde a le nez
gelé, il n'y a pas lieu de poursuivre un travail
accablant.

En hiver, on nomme une commission pour
trouver le moyen de remplacer la flanelle par
un calorique scientifique.

La commission n'a pas asseif chaud, la che-
minée du local de réunion i'urhte avec frénésie,
alors on remet à l'été suivant la première
séance.

Les gens soufflent, suent, donc la réunion
est sans objet.

Pour la débâcle, c'est encore le même sys-
tème, les rivières vont bientôt couler de l'eau
tiède d'ici quelques mois ; vu l'affluence des
' canards sur la Marne, on la trouvera transfor-
mée en bouillon pour malades; la commission
se trouvera ridicule, et les dangers futurs se-
ront ce qu'ils pourront.

Le meilleur serait de déclarer que nous
sommes des malheureux, tous plus bêtes les
uns que les autres, incapables de pourvoir à
notre bien-être, sous quelque forme qu'il se
présente, qu'il ne nous reste que la ressource
de nous en tirer le mieux possible ; mais nom-
mer des commissions qui ont l'air de vouloir
nous mettre du beurre des deux côtés de la
tartine, quand, en réalité, elles ne nous don-
nent même pas de tartine sans beurre, il y a
là une blague abominable qui sent la jésuiterie
d'une lieue, et quand on veut le faire à la fran-
chise, il faudrait lâcher de ne pas le l'aire au
roublard, ou alors d'arriver rapidement à un
remède certain, ce qui n'arrive jamais.
Voir plutôt le Phylloxéra.

Charles Leroy.
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