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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0015
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GRELOT

DE CL DE LA.

Saint-Genest est mélancolique.

Il n'a jamais été bien amusant.

Mais enfin, le farouche polémiste a maintes
fois perpétré quelques joyeux articles, qui
avaient le don précieux de divertir la ga-
lerie.

Il est passé à la tristesse.

Et savez-vous pourquoi ?

C'est que son ministère est balayé.

Vous me direz :

— Mais quel est le ministère de Saint-
Genest !
Belle question !

Pardieu, c'est le ministère de la guerre!

Le général Farre a saisi sans la moindre
précaution les quelques vieilles culottes de
peau qui séchaient dans un coin du susdit
établissement et leur a administré un vigou-
reux coup de plumeau,

Un de ces coups de plumeau dont on ne se
relève pas !

Et Saint-Genest crie !

Et Saint-Genest pleure !

Et Saint-Genest se désole 1

A ce point que le lamentable Jérémie est un
comique en comparaison du vertueux saint
Vincent-de-Paul du Figaro.

Il y a de quoi, avouons-le.

Songez donc !... toucher à l'arche sainte !

Prendre des généraux républicains pour di-
riger l'armée de la République !

Ma parole d'honneur, c'est renversant !

Et Saint-Genest est renversé.

Pauvre chéri, va !

Rassure-toi !

Tu en verras bien d'autres !

Et il n'est que temps !

Il faut espérer que les autres ministres de-
manderont au général Farre de leur passer
son balai quand il aura fini,

Et qu'ils exécuteront, chacun dans leur dé-
partement, la mesure hygiénique et salutaire
que le brave génériil vient d'exécuter dans le
sien.

On bassinera les tempes de l'infortuné Saint-
Genest avec un goup:illon convenablement im-
bibé d'eau de Lourdes,

Et il n'y paraîtra plus !

***

Laissons un pett la politique de coté et
parlons de cette bonne vieille blague qu'on
appelle :

Le Bal de l'Opéha.

Ah ! mes enfants !

J'y suis allé !

Là n'est pas encore l'extraordinaire ;
Mais le stupéfiant, c'est que j'en sois re-
venu !

Non ! de ma vie je n'ai vu pareille chose 1

Ah ça, voyons, est-ce qu'il n'y aurait pas
moyen, là, vraiment, entre nous, d'inventer
quelque chose de mieux ?

Et d'en finir une bonne fois avec cette ridi-
cule chienlit.

Oh! là! là !...

Mince de rigolade!... comme dirait Zola,
dans ce langage choisi qui l'a tout de suite
fait adopter du faubourg Saint-Germain.

Imaginez-vous quelques centaines d'imbé-
ciles — j'en étais, du reste, — traînant dans
les couloirs les pans désespérés de leur habit,

Dormant,

Bâillant,

Et crevant d'ennui;

Quelques malheureuses traînées, sales, lai-
des, bétes et grossières, essayant de pécher,
à l'aide des fallacieuses promesses de leur
maillot, les bons jeunes gens du foyer ;

Un ramassis de casquettes de soie, dégui-
sées en chicards, et furieuses de voir que
leurs bonnes amies n'étrennaient pas ;

Enfin, brochant sur le tout, un stock de
Brésiliens de Bougival et de Péruviens d'As-
nières, s'efforçanl d'éblouir les dominos râpés,
fripés et éculés qui circulaient sur les mar-
ches du grand escalier,

Voilà le personnel du Bal de l'Opéra !

Allons, allons, mes enfants, autre chose !

Et vite !

C'est répugnant, repoussant et ridicule,
surtout !

J'en suis fâché pour Arban et pour Fahrbach,
lesquels se démenaient de leur mieux pour
galvaniser toutes ces momies.

Mais ils valent mieux que cela !

Pouah !...

J'en ai encore mal au cœur,
Et si jamais on m'y repince !. .

Nicolas Flammèche.

La Fontaine des innocents

L'Homme et l'Idole de bois.
(Parodie)

Certaine église avaitun saint célèbre — en bois.
C'était saint Polycarpe: il avait deux oreilles,
Mais il u'entendait pas. On promettait merveilles
A ceux qui l'invoquaient au nom du Roi des Rois.
Un brave paysan apportait mainte offrande :
« 0 grand saint, disait-il, à genoux je demande
Que du mon cousin Jean, dont je suis l'héritier,
Vous cassiez la pipe ; accordez cette grâce
Et je vous donnerai, pour vous remercier,
Deux cierges dorés... trois ?.. dix ?.. vingt ? cent ?

| Je me lasse
De venir tous les jours,sur l'avis du curé,
User mes pantalons, gaspiller mes prières
Et m'enrhumer..attchuml.Voulez-vous debongré?»
Polycarpe est muet. Alors, à coups de pierres,
Notre rustre fâché de n'en obtenir rien
Vous démolit le saint vermoulu. Quel prodige !
Il était rempli d'or 1. «D'où me vient toutee bien !
Dit le manant joyeux ; grand saint noblesse,oblige ;
Je vous suis obiigé ! Quand j'usais de douceur
Vous étiez sourd, muet... J'ai changé de manière.
Saint Polycarpe, adieu. Compliments à ta sœur I
Quand Monsieurle curé,du denierde saint Pierre
Vint compter les écus, il fut bien étonné.
De les trouver absents du saint déboulonné !

montretout

I>a scie des si.

Si j'avais élé à la place de M. de Freycinet
(ce n'est pas un souhait, c'est une supposition),

Si j'avais été à la place de M. de Freycinet,
président du conseil des ministres,

C'est-à-dire doB ministres chargés de me
donner des conseils,

Et, par dessus le marché, ministre d'affaires
qui me sont absolument étrangères,

J'aurais adressé à nos bons députés,

A nos excellents sénateurs,

Et à ces succulents électeurs, qui sont tout;
mais que, en dehors de la période électorale,
on considère absolument comme rien,

Le petit speech suivant :

lixorde.

Messieurs les sénateurs,
Messieurs les députés,
Sous-entcndu ■ Messieurs les électeurs,
Appelé à la présidence du conseil, vous
n'avez jamais pu savoir pourquoi et M. Gam-
betta ne veux pas que je vous dise comment,
J'éprouve tout d'abord le besoin de rassurer
les nombreux intérêts qui soutirent dès que
M. Grévy pince une laryngile ou que cinq po-
chards se sont flanqué unê pile dans la rue en
criant : Vive la Commune et vive Henri V.

Donc, commerçants de tout ordre, vendez
en paix, à faux pôids, des marchandises frela-
tées...

Votre tranquillité ne sera pas troublée.

L'ordre matériel, j'en réponds,

Et quant à l'ordre moral, je ne vous en parle
pas, craignant de provoquer dans celte en-
ceinte des rires qui appartiennent de plein
droit à celle du Palais-Royal.

Toutefois, pour rassurer les imbéciles, por-
tant bretelles et bonnet de colon, qui seraient
malades s'ils ne trouvaient pas dans une décla-
ration ministérielle tous les vieux clichés qui
y figurent depuis... depuis qu'on fait des dé-
clarations ministérielles — et même peut-êL-e
avant,

Je déclarerai solennellement que je ferai
jouir la France d'une juste liberté,

Réprimant la licence,

Mettant un frein aux mauvaises passions,

Et défendant, sous les peines les plus sévè-
res, les rassemblements de plus d'un péril so-
cial.

Promettre et tenir fait deux.

Il va sans dire que je vais vous promettre
un tas de réformes pharamineuses.

Ce, d'autant plus facilement qu'ensuite, si
cela m'embôte,
Suivant en cela l'exemple de mes devanciers,
J'en serai quitte pour ne pas les tenir,
Et pour être, après quelques trimestres de
séjour dans les légumes, flanqué à la porte
avec tous les honneurs et toutes les pensions
de retraites dus aux anciens fonctionnaires
qui n'ont rendu aucun service au pays,
Et beaucoup à leurs amis et connaissances,
Voire même aux amis de leurs amis,
Et aux connaissances de leurs connaissances.

Plus ea change, plus c'est la même
chose.

Tout d'abord — et pour cause — je procé-
derai à de grands mouvements dans le per-
sonnel.

Naturellement, je procéderai à ces réformes
dans l'esprit de la majorité,

Car vous le savez, messieurs, la majorité a
toujours de l'esprit.

Je donnerai donc toutes les places possibles
et imaginables aux fils, frères, cousins, ne-
veux, filleuls des députés et sénateurs qui
soutiennent mon ministère...

Messieurs les réactionnaires ne crieront
d'ailleurs pas trop après cette manière de pro-
céder,

Quelques récriminations jalouses et ce sera
tout.

Ils savent bien que les nouveaux venus ré-
publicains,
Animés des meilleurs sentiments,
Ne tarderont pas à se corrompre bien vile
dans l'atmosphère énervante des bureaux,
Et que, au bout de quelques mois,
Au contact des brebis galeuses restées
comme base des troupeaux,

Us contracteront vivement, cette teigne de
paresse et de suffisance administrative dont
la France souffre depuis si longtemps, et dont
elle finira par mourir si on ne la sauve parune
réforme radicale et complète, que vous êtes
beaucoup trop mollasses et avachis pour oser
même rêver.

Plus c'est la même chose
plus ça change.

Nous suspendrons l'inamovibilité des ma-
gistrats,

Autrement dit, nous rendrons l'inamovibi-
lité amovible,

C'est-à-dire que nous révoquerons en bloc
tous les magistrats, pour les nommer tous ou
à près ensuite, en détail,

Nous supprimerons le plus possible d'écoles
congréganistes,

Et nous les remplacerons par des écoles te-
nues par des instituteurs laïques plus cléri-
caux que les cafards à rabat blanc les plus en-
durcis.

Nous révoquerons les trois quarts des atta-
chés d'ambassade,
Titrés,
Pommadés,
Musqués,
Ignares,

Nous nommerons à leur place des gens re-
présentant bien,

Des gommeux sur le retour, sachant saluer
avec grâce et bien se tenir à table,

Mais ignorant les plus élémentaires prin-
cipes d'histoire et de géographie,

Et, en fait de langue étrangère, ne connais-
sant que les premiers éléments du louchébême
et du javanais.....

En un mot, nous enlèverons tous les gens
qui font tache,

Et nous les remplacarons par des bouche-
trous.

, Vieux croûtons, vieux galons

Par exemple, dans l'armée, nous réaliserons
des réformes excessivement sérieuses.
La première, vous la connaissez déjà :
Nous supprimerons tout avancement au
choix,

L'ancienneté seule réglera la progression de
tous dans les grades.

Voilà, je crois, qui est éminemment égali-
taire...

Tous les sexagénaires seront commandants,
Tous les septuagénaires, colonels,
Tous les octogénaires, généraux de brigade,
Et s'il se trouve dans l'armée un centenaire,

il sera de plein droit général en chef.
Si, après cela, ça ne marche pas comme sur

des roulettes, nous déclarerons donner notre

langue au chat...
Et vous n'aurez plus qu'à nous mettre à la

porte...

Ce que vous allez d'ailleurs sans doute com-
mencer par faire...

Gringoire.

GAZETTE DEJJONTRETOUT

M. Waddington et M. d'Ilarcourt.

M. Bernard d'Ilarcourt vient de donner le
coup de pied de l'âne à son ancien maître,
M. Waddington.

C'est, naturellemsnt, dans le Figaro que
l'ex-ambassadeur a exécuté l'ex-ministre.

Pauvre M. d'Ilarcourt, s'est-il assez couvert
de ridicule 1

Son article nous donne la mesure du soi-
disant patriotisme de ces marquis, comtes et
vicomtes à qui le précédent ministère avait
donné le monopole des ambassades.

Espérons que M. de Freycinet donnera un
fier coup de balai et nettoiera proprement les
écuries diplomatiques.

Assez de ces laquais titrés qui déblatèrent
à l'étranger contre la démocratie française.

Tant qu'ils sont en place, ils font au minis-
tre courbettes et risettes. Puis, quand dégoûté
de leur services on leur flanque leurs huit
jours, ils s'écrient, comme M. Bernard d'Ilar-
court :

— Quelle fichue baraque I je ne suis pas
fâché d'en sortir.

Allons, valet, tais ta gueule!

On sait ce qu'ils valent, les domestiques qui
disent du mal de leurs anciens maîtres 1

La question du divorce.

Dumas fils a parlé!

Et quand Dumas fils a parlé, les autres peu-
vent se fouiller!

Le Grelot, lui, n'a qu'un mot à dire, et ce
mot, il est allé le décrocher en Indouslan.

Voici ce qu'on lit sur la principale porte
d'Agra :

« Dans la première année du règne du roi
Gulef, deux mille séparations volontaires
entre maris et femmes furent prononcées par
les magistrats. Le roi en fut indigné et abolit
le divorce. Dans le cours de l'année suivante,
il y eut à Agra trois mille mariages de moins
que les années précédentes et sept mille adul-
tères de plus. Trois cents femmes furent brû-
lées vives pour avoir empoisonné leurs maris,
soixante-quinze hommes lurent aussi brûlés
pour avoir assassiné leurs femmes. La quantité
de meubles brisés et détruits dans l'intérieur
des ménages monta à la valeur de 3 millions
de roupies. Le roi rétablit le divorce. »

Nous recommandons à Alfred Naquet le
passage ci-dessus.

L'apôtre du divorce aura du mal à faire triom-
pher ses idées. Mais il y arrivera avec la per-
sévérance qui est sa qualité maîtresse.

Lorsqu'une vérité arrive au monde, c'est
toujours à titre de bâtarde, à la honte de celui
qui l'engendre, jusqu'à ce que le temps, qui
n'est point le père, mais l'accoucheur du pro-
grès, déclare l'enfant légitime et verse sur sa
tète le sel et l'eau.

La grè*e des nourrices en Sicile.

Voici venir uae grève d'un nouveau genre.
Les nourrices siciliennes se sont mises en
grève.

Que vont devenir les poupards.
Pour ces pauvres nourrissons : Le beau, c'est
le lait.

Et maintenant ils ne savent plus à quel *ein
se vouer.

L'Immortel Calino.

Calino va trouver un peintre et lui de-
mande de faire le portrait de sofl père mort
depuis six mois.

— Avez-vous au moins une photorgaphie
du défunt? dit l'artiste.

— Non, mais vous' ne pouvez vous trom-
per ; voici le signalement de mon père : cinq
pieds six pouces, un peu chauve, nez rouge
et borgne de l'œil gauche.

Quelques jours plus tard, Calino vient
prendre livraison du portrait.

— C'est épatant 1 dit-il au peintre. La res-
semblance est frappante... Mais comme mon
pauvre père est changé depuis six mois qu'il
est mort I...

Calinette.

Calinette vient d'entrer en place.

— Eh bien I êtes-vous contente de vos maî-
tres ? lui dit la fruitière.

— Contente I c'est selon. Les gages sont
bons, je l'avoue. Et pourtant mes patrons me
fonl l'effet de vrais grigous. Croiriez-vous que
j'ai vu hier leurs deux filles assises devant e
même piano !

Belle réponse d'un emprunteur.

On proposait à J..., homme de lettres à ses
heures — mais il écrit sous un nom d'emprunt!
— on lui proposait, dis-je, une place de deux
mille francs.

— Merci bien I répondit-il, je gagne mieux
que ça à emprunter !

montretout

L'ANNÉE THÉÂTRALE

Les effets de la fameuse « ère de prospérité »
tant vantée par les prophètes de l'opportu-
nisme, ne se sont guère l'ait sentir, en 1879
sur nos scènes parisiennes.

L'année qui vient de finir ne nous a laissé
aucune œuvre de marque, faisant époque,
pouvant rester au répertoire.

La production dramatique, comme la pro-
duction politique, comme la production agri-
cole, a été remarquablement pauvre ; la qua-
lité a été faible, la quantité plus médiocre
encore, et si je ne craignais de soulever les
protestations du ventripotent Trompette qui,
carnet en main, me prouverait que je suis
dans mon tort, je proclamerais volontiers 1879
une année de disette.

315 actes inédits ont été joués depuis douze
mois dans nos théâtres.

Au premier abord ce chiffre paraît suffisant ;
mais si nous en défalquons les actes repré-
sentés dans les petits théâtres —14 &uxBou//ès-
du-Nord, il à Clwny, 4 aux Fantaisies-Pari-
sivmcs, -12 au Théâtre-des-Arts, 26 au Chàteau-
d'Eau, 13 aux Folies-Marigny, et 33 au 3° Théâ-
tre-Français — qui n'ont fait que paraître et
disparaître, nous restons en présence de 172 ac-
tes nouveaux joués sur des scènes de tout
genre, véritablement dignes de ce nom.

C'est peu, fort peu, trop peu.

COMÉDIE — VAUDEVILLE

A tout seigneur, tout honneur.

La Comédie-Française vient en première ligne
avec » actes !!! 6

Oui, en douze mois, les omnipotents socié-
taires qui ont l'honneur d'avoir Coquelin à
leur tète, ont daigné nous donner trois actes :
le Petit Hôtel, l'Etincelle et Anne de Kerviller.

En vérité, c'est se moquer du public.

Que Messieurs les sociétaires de la Comédie-
Française se déguisent, s'ils le veulent, en
hommes politiques, je n'y vois, pour ma part,
aucun inconvénient, mais ce n'est pas une
raison parce que les hommes politiques ne
font rien, pour que les comédiens se plongent
dans le dolce far-niente.

S'ils veulent continuer de vivre dans l'oisi-
veté, qu'ils se fassent nommer députés tout de
suite, et qu'ils cèdent la place à d'autres, plus
soucieux qu'eux des intérêts de l'art drama-
tique.

***

L'Odéon vient ensuite avec dix-neuf actes
représentes par Samuel Brohn, le Marquis de
Kemilis, l'Homme à plaindre, le Trésor et
quelques œuvres de débutants assez froide-
ment accueillies.

ïScule, la nouvelle pièce de M. Coppée a ob-
tenu un vif succès. Heureusement la reprise
du Voyage de M. Perrichon est venue à point
remplir les compartiments de la caisse de
M. Duquesnel qui, comme la nature, a horreur
du vide.

***

Les comptes du Gymnase s'établissent par
une compensation.

Deux fours : les Ilotes de Pithiviers et Nou-
nou, réchauffés par deux grands succès : l'Age
ingrat et Jonathan.

La braise reste en excédant.

***

Le Vaudeville a joué de malheur.

Après Ladislas Bolshi, la Villa Blancmignon,
qu'on ne pouvait louer, et les Tapageurs, qui
n'ont fait aucun bruit,

Deux petits actes, Lolotte et le Petit Abbé,
restent à l'actif de M. Bertrand.

C'est maigre.

***

Le Palais-Royal a fait preuve de beaucoup
d'activité.

Vingt-cinq actes ont vu le jour sur la scène
de la rue Montpensier, entre autres les deux
éditions du Mari de la Débutante,les Locataires
de M. Blondeau, les Petits Coucous, Papa et
M. de Barbizon.
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