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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0069
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LE GRELOT

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15 .

PRIMÉ. GKATUÏTE

Toute personne de la province qui s'abonne à
un des journaux ci-eprès, par l'entremise de M.
Madré, directeur-gérant du Grelot, 81, rue Neuve-
des-Petit3-Ghamps, à Paris, a droit à un abonne-
ment gratuit au journal le GRELOT, savoir :

Pour un abonnement d'un an : 6 mots au Grelot.

— de six mois ; 3 mois —
_ — de trois — : 1 mois 1/2 —

L'abonnémeat à plusieurs journaux doublera,
triplera ia durée de l'envoi gratuit du GRELUT.

un an six mois 3 mois

Charivari..............

Civilisation...........

Constitutionnel.......

dsfensïï...............

Dix-Neuvième Siècle..

Droit..................

Evénement.............

Estafette.............

Figaro.................

Français...............

France.................

Gazettk ok Franck ...

Gaulois.........»,

Gaz. des TRiBU-n,Ajix...

Globe.............*• • *

Gil Blas.........

Journal des Débats ..

Illustration...........

Illust. London News,

Liberté................

Justice................

Marseillaise..........

Moniteur universel..

Monde.................

Monde illustré.......

Parlement............

Paris-Journal.........

Patrie.................

Pays...................

Presse.................

Rappel................

Répuduous française.
Revue des Deux-Mond.

Siècle..................

Soir....................

Télégraphe...........

Temps..................

Times, de Loudres.....

tÏNIVKRS................

Union..................

Voltaire...............

Les prix qui précèdent sont, bien entendu, les
prix fixés par les administrations de chacun de ces
journaux.

Pris par l'entremise du Grelot, les abonnements
à tous les autres journaux de Paris donnent éga-
lement droit à la Prime pendant un temps plus ou
moins long.

DE CI, DE LA

Nous avons eu, cette semaine, un specta-
cle d'uu piquant achevé.

M. Baudry-d'Asson, vous entendez bien, le
tempart de la légitimité, le tombeau des ré-
publicains,

M. Baudry-d'Asson, lui-même,

Et non un de ses nombreux vassaux,

A daigné asseoir son derrière royaliste sur
un coursier fougueux,

Et franchir, au concours hippique, une
cinquantaine de barrières,

Comme le premier des écuyers du Cirque
Fernando.

Il s'agissait d'un pari de 10,000 francs.

Une bagatelle !

Le loyal champion des fleurs de lys l'a, ma
foi, supérieurement gagné!

Toutes mes félicitations, vicomte !

Il faut croire que les nombreux exercices
de voltige que vous exécutez a la Chambre,
. El les non moins nombreux cerceaux de
papier que-vous crevez en l'honneur du petit
lils de vos rois, vous ont préparé à la haute
école la plus perfectionnée.

Enfin!...

Voilà un succès !
Il n'esl que temps !

Mais je vous engage à vous en tenir là.
Gagner des prix aux concours hippiques,
Triompher dans tous les stçeple-chascs de
Paris et des départements,
Bon !

Mais ramener jamais votre roi 1...

Ah ! je crains bien que le jour où vous ten-
teriez pareille épreuve, vous ne restiez, cette
fois, les quatre fers en l'air.

Veillez au grain, vicomte, veillez au grain !

Allons, bon!

Quand je vous dis que nous ne pourrons
jamais être tranquilles!

La Chambre s'est réunie mardi, et voilà
que déjà on parle de lui donner ses huit
jours !

La dissolution !

Qui demande la dissolution, messieurs?

Il paraît que dissoudre nos honorables est
devenue une cho<e extrêmement urgente.

J'aurais cru qu'il eût été beaucoup plus
urgent de laisser ces braves gens voter,

La réforme des Codes,

La loi du Divorce,
Les lois d'affaires,!

Et nombre d'autres encore dont le besoin

se fait vivement sentir.
Mais il parait que je suis un imbécile,
Ce qui, après tout, n'a rien de déshona-

rant,

Mais, ce qui, au fond, n'est pas très agréa-
ble à s'avouer.

Mon concierge, qui est un fin politique,lui,
me dit que je n'y entends rien.

— Monsieur, voyez-vous, il s'agit de faire
d'abord plaisir aux réactionnaires, afin de les
ramener à nous.

— Tiens ! tiens !

— Or, qu'y a-t-il de mieux pour cela? agi-
ter constamment le pays, afin de lui prouver
que la République est un gouvernement de
progrès, puisqu'il ne saurait rester huit jours
en place.

— Ça, c'est un point de vue...

— Absolument juste. Nous avons déjà plus
d'un an d'agitation, de cris, de hurlements,
d'injures et de torgnoles avec les lois Ferry,
quand il eût été si facile et si pratique de
commencer comme l'on a fini, en appliquant
tout bêtement les décrets existants, et en
donnant du balai tout de suite à MM. les Jé-
suites.

Oui... Mais alors, que diraient les réac-
l tionnaires, si nous avions du bon sens et de
la poigne, n'est-ce pas?

Maintenant que cette affaire-là est à peu
près terminée, il faut recommencer ce que
M. Louis Veuillot appelait élégamment le
chahut.

On veut dissoudre la Chambre,
Passer de nouveau son temps à s'envoyer
des pommes cuites dans les réunions électo-
rales.

Moudre des discours au lieu de faire des
affaires,

Organiser des réunions au lieu de piocher
bêtement, qui dans son bureau, qui dans son
cabinet, qui dans sa boutique,

Noircir du papier,

Et se salir les mains à manier des pro-
fession de foi.

Vous ne comprenez pas ça, monsieur? mais
c'est la vie d'une nation libre !

— Ehbien?... et le travail?

— La politique d'abord, la politique tou-
jours. Rien que la politique!... Nommer des
députés pour un certain laps de temps et les
flanquer à la porte avant qu'ils aient fait
ce qu'ils s'étaient engagés à faire, puis en
renommer d'autres qu'on reflanquera éga-
lement dehors quand on en aura assez.

— Mais...

— Sachez, monsieur, que ce n'est pas pour
rien que nous nous sommes appelés le peuple
le plus spirituel de la terre !...

Nicolas Flammèche.

BLAGUES ET GNONS

Une nouvelle association d'ouvriers tailleurs
vient de se former.

Nous souhaitons bonne chance à ces ou-
vriers.

Toutefois, nous doutons qu'ils puissent s'af-
franchir facilement du joug du capital.

Dam ! dans leur métier, se passer de mètres
et de patrons !...

X

La Compagnie du Nord", est en pourparlers
pour étendre'jusqu'en Belgique le système de
coupons aller et retour qu'elle délivre à prix
réduits.

Je ne crois pas que les caissiers qui passent
la frontière profitent beaucoup de cette me-
sure économique.... surtout pour le retour.

X

Un coup d'œil, en passant, sur la question
sociale :

— Les boulangers, encouragés par le su 1-ccès
de leur dernière grève, agitent encore la qi. ges-
tion du travail de nuit.

Les vidangeurs veulent aussi ne s'occup «r
que le jour.

Enfin, on annonce que les cocottes se coali-
sent également pour ne plus noctambuler, et
que les cochers désirent terminer leur journée
au coucher du soleil.

Quant à Lafitte, il est eacore plus exigeant,
il demande la suppression complète du tra-
vail, de jour et de nuit.

X

Un brave homme s'adrassant
digne fils d'Harpagon :

— Comment, tu veux convoler en secondes
noces, et tu n'a pas encore :songé à l'aire ins-
crire une épitapae sur la 'to:mbe de ta défunte-
femme.

— Ecoute, je vais to dir e, j'épouse une poi-
trinaire, et j'attends son dtécès ponr mettre sur
la tombe : Ci-gît mes époit ises.

a son ami,

X

Pavés de bois, pavés de pierres, pavés de
liège ont été successivement essayés dans
Paris. Aujourd'hui, il est question de faire pro-
chainement des expériences avec des pavés
de pain d'épice.

C'est vouloir par trop nous faire aller !

X

Le Mikado, nous annonce une correspon-
dance particulière, s'est promené en habits
bourgeois, dans sa capitale sans exciter l'in-
dignation de ses sujets.

Eh bien ! voyez l'a bizarrerie des choses 1 Si
M. Grévy, à la prochaine réception de l'Elysée,
se costumait en Japonais, je suis certain
qu'une révolution éclaterait immédiatement.

X

Pends- toi, Naquet 1 Le beau-père d'un de
nos plus bouillants députés vient, dit-on, de
trouver le moyen de l'aire vivre deux époux
en parfaite intelligence : il leur a promis une
gratification de 200.000 francs à chaque héri-
tier qui leur naîtrait.

Voilà deux ans que les époux sont unis, et
jamais une querelle n'a pu durer entre eux
plus de 24 heures. Chaque soir ils se raccom-
modent.

Aussi ont-ils déjà gagné 400.000 francs, et
sont-ils en bonne voie pour arriver à 000.000 1

X

A l'heure où paraîtront ces lignes, sénateurs
et députés seront rentrés...

Et M. de Lorgeril aura déjà pu poser cette
question à un de ses confrères :

— Voudriez-vous me dire, cher monsieur,
la différence que vous établissez entre la bu-
vette et un poëme épique?

— Non, je ne suis pas de force.

— Eh bien ! c'est qu'à la buvette on trouve
des petits verres et que dans un poome épique
il n'y en a pas !

X

Chaque feis que je vais à l'Opéra, à l'Opéra-
Comique, aux Bouffes, aux Français, au
Palais-Royal ou aux Variétés, je me demande
pourquoi les dames n'y sont pas admises aux
fauteuils d'orchestre..

Et je ne me réponds qu'en me rappelant la
fameuse histoire du factionnaire qu'on plaça
pendant 18 ans, au Jardin des Plantes, devant
un banc fraîchement peint, pour empêcher le
public de s'asseoir dessus I

X

La semaine dernière, un de mes amis a dé-
ménagé...

Et sur les murs du nouveau logement qu'il
occupe, il a trouvé cette pensée profonde, qu'il
s'est bien gardé de faire disparaître :

J'aime mieux voir tomber une averse que
mon propriétaire le jour du terme, à moins
que ce ne soit du quatrième étage dans la
rue.

X

On télégraphie de Caboul au Daily News que
Mahomet Jan s'est enfui de G-huzni et qu'une
guerre de guérillas va probablement com-
mencer dans quelques jours.

Au fait, il y avait longtemps I

Cramponne-toi, Gugu'sse, v'ia que ça recom-
mence !

X

« Saint-Pétersbourg, 10 avril, soir.

« (Officiel). — L'empereur, sur la proposition
« du ministre de l'Intérieur, a conféré au
* gouverneur général de la Sibérie orientale,
« relativement a l'expulsion par voie adminis^
«'trative des gens suspects, les mêmes pour
« voirs que ceux que l'ukase impérial du
« 15 avril 1879 conférait aux gouverneurs gé-
« néraux provisoires. »

Comment! On va expulser les nihilistes,
même de Sibérie !

Pour le coup, voilà un vrai comble 1

X

Le prince Oscar de Suède s'en est allé re-
joindre Nordienskiold à Copenhague.

Avant son départ, il s'est fait promener par
M. Andrieux en personne, qui lui a montré la
bibine du père Lunette et un des hôtels qu'on
qualifie de borgnes sans doute parce qu'on
n'y fait jamais « à l'œil ».

Nous nous permettrons de faire observer
très-humblement à M. le préfet de police qu'il
aurait peut-être autre chose à faire que pro-
mener des princes étrangers dans la capitale.

Pour le lui apprendre, si nous avions été le
prince Oscar, nous l'aurions finalement prié
de nous faire voir Arnold Walder 1

Buridan.

ZIG-ZÂGS

Diviser tour ne pas régner.

On connaît l'antique plaisanterie du libre-
penseur désirant qu'il y eutle double de curés
et de moines, autorisés ou non...

A la simple condition qu'en arrivât à ce ré-
sultat en coupant en deux tous les calotiaset
frocards qui méritent tant de calottes sons
celle des cieux.

La Défense avait déjà réalisé ce souhait en
se dédoublant, au grand dommage de son lé-
gendaire abonné, obligé de s'abonner six mois
par ai à la prose de De Houx, et six mois à
Mlle du Conestabie qui tartine dans la Civi-

JisiUion. ■ . . .

L^s badin gredins, eux, sont en tram d'ap-
pliqi îer cette aimable manière de procéder sur
une immense échelle.

MoJns ils sont nombreux et plus ils se di-
visent.. ... , .. .j.

A ve ir toutes ces petites chapelles, et a en-
tendre le potain colossal qui s'y fait, on se
figurerait avoir allaire à une douzaine de corps
d'arméeis..

Et en y regardant déplus près, on s'aperç»1'
qu'on a tout simplement devant soi cinq 0,
six bandes de fricoteurs se « donnant un peU
de tabac » avant de rentrer à la caserne.

Prise aux cheveux complète.

Car la discorde règne au camp d'Agraman1'
L'Ordre soutient Plon-Plon, qui excite aV

désordre, dit le Pays...
Et Rouher attrape Gassagnac de la belle

nière.

Popaul lui rend ses torgnoles et en adflQ1'
nistre de sérieuses à Amigues.

Lequel crie comme un sourd qu'il est le se°
bonapartiste dans le mouvement...

La Patrie, furieuse, elle ne sait pas aujus'"
contre quoi, crie à corps perdu comme uO6
vieille pie borgne,

Et Dôtroyat, barytonnant sur le tout, co»1'
plète cette cacophonie que le moins exeroj
des musiciens ne prendra jamais pour l'accorfl
parfait.

Pour nous, qui éprouvons pour la bon»6
musique une sympathie égale à celle que rcs'
sentent ies chiens les plus hargneux pou'
l'orgue de Barbarie, ces sons rauques et dis'
cordants nous plaisent fort...

Car tout ce tapage est dès longtemps prédi"
et expliqué par la proverbe :

— Quand il n'y a plus de foin au râleli6'''
les ânes se battent... .

Et, après voir un bon travailleur bienréjou!
d'avoir fait un bon repas, sajournée finie, rien ".
nous met plus de baume dans l'âme que no*"
croiser avec un brave badingredin crott*'
crasseux, courbant l'échiné et crevant <*ù
faim I

i

O reporters 1

Les gens que vous tenez, se portent assez bi^".

Le capitaineBoyton vient d'écrire"lui-mêo1;
de Charles town,pour démentir le bruit de s'1
mort, répandu partout.

Donc, l'héroïque capitaine n'est pas mort-

Nous pouvons nous écrier, avec Orpbéf"
mais plus raisonnablement que ce bergef'
plus gâteux que ses montons :

Ce doit être vrai, puisqu'il le dit.

Eh bien 1 je vous avouerai presque que c<5
démenti m'a fait de la peine.

Et je ne le cacherai pas, j'avais appris 1*
mort du capitaine avec un de ces involontaire'
mouvements de débarras comme m'en a cauS13
la nouvelle du départ de Nordenskiold.

trop de BRUIT dans TROP de landerneau.

Ce n'est pas que j'ai la moindre animosi^
contre le capitaine.

C'est certainement un homme brave, i"'
dustrieux, aventureux et doué d'intention8
éminemment philanthropiques...

Mais il me semble qu'il aime un peu trop *
faire parler de lui et à occuper le public de sâ
personnalité, fort sympathique, d'ailleurs
mais qui finit par devenir importune.

Il a inventé un appareil destiné à fai*î
flotter comme des bouchons ceux qui en sof'
revêtus.

Très bien.

Pour en prouver l'excellence, il a traversé 1*
Manche.
Parfait.

Mais il me semble qu'après cela, la démofl?'
tration était suffisante, et que le brave cap1'
taine n'avait aucun besoin d'aller traverser 1°
détroit de Messine, pour le plaisir d'ail6'
lutter à main plate avec un requin, comme o$
l'a raconté. — (Entre nous, ce redoutât'"
squale ne m'a jamais paru être autre cboS15
qu'un vulgaire canard).

A fortiori, trouvé-je inutiles ses interminf'
bles promenades sur tous les cours d'eau àci
deux continents, y compris le Mançanérôs ^
jour de pluie 1

Quand on a flotté pendant 24 heures su'
la mer, nul ne peut douter je crois, qu'o1}
puisse flotter, pendant le même temps, sut
un fleuve, où l'on est exposé à boxer, nofl
avec des requins ou des cachalots, mais avuc
de simples goujons ou brochets.

non utile, non dùlci.

Puis, l'appareil de l'habile capitaine est peu''
être excellent pour les gens qui font méti^'
de braver tempêtes et naufrages.

Mais le gros public s'en souci comme vfi
estrugeon d'une botte d'asperges.

Jamais vous ne persuaderez aux ParisioP9
qu'ils ne doivent pas aller du Louvre à ri"'
stilut sans avoir préalablement revêtu c4
waterproof collant, sous prétexte qu'ils peuveo'
tomber dans la Seine par suite de la ruptuf*
du Pont des Arts.

LÀ liberté chez les auttes.

De janvier 187G à août 1880, la presse espa'
gnol, à Madrid seulement a essuyé 180 pouf
suites et subi 101 condamnations.

Autrefois, avec l'aimable système du bo"
plaisir, — consistant à ne pas faire àe
procès du tout aux gens déplaisant*
et à les envoyer tout bonnement croupi1,
dans un in-pace, en compagnie d'inquisj'
teurs encore plus désagréables que les moi'
nés italiens avec lesquels fait pénitence e?
cap le père Didon, — il y aurait eu au cof
traire 101 poursuites et 180 condamnations.

Le jeune et généreux Alphonse XII du'1
bien regretter cet heureux temps, dont 1e
règne do sa chère mère, la gracieuse Isabelle
n'est parvenue à offrir qu'une faible et inec
lore réminiscence !

chez les teurs, a l'iNSTAR de tartarin
de tarascon.

La Turquie continue à présenter un aspec'
des plus réjouissants, pour les personnes qu'
ne sont pas forcées d'habiter cet aimabl"
pays et qui n'ont aucune créance sur lui.

Plus veinards que leurs vainqueurs, le*
Turcs ont une constitution.

Veine qu'on pourrait qualifier d'excessive
si l'on ne savait à quoi s'en tenir sur le Toi".
dardisme de ceux qui en jouissent, le»
Turcs ont même une Assemblée nationale
un Sénat.
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