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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0071
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LE GRELOT

• La persécution contre les pauvres cvêques,
auxquels le Concordat allouant 10,000 fr. on
en donne 15,000 sans compter les petit? pro-
fits, cette persécution que l'on a comparé à
celle de Dioclétien, et qui, pour ma part, ne
me semble guère inférieure à celle de Néron,
continue toujours.

L'autre jour encore, n'a-t-on pas osé décré-
ter que ces humbles serviteurs de Dieu n'au-
raient plus droit au titre de Monseigneur.

On les appellera tout simplement Mon-
sieur, comme le dernier des ministres ou le
premier venu des Présidents de République.

Tant d'audace révolte le Paris-Journal.

— Bientôt, s'écrie-t-il, on les appellera sans
doute citoyen. Et après ?

Après, s'il m'était permis d'avoir voix au
chapitre, je conseillerais qu'on les appelât
trop tard à la soupe. Et m'est avis que c'est
même par là qu'on eût dù commencer.

La brave feuille à de Pêne ne décolère d'ail-
leurs pas.

La réunion de la salle Lévis lui a presque
fait avoir une attaque d'apoplexie.
Oyez plutôt :

Une heure durant, le citoyen Faucher a
craché, devant des femmes, devant des jeu-
nes filles, devant des enfants, sur Dieu, sur
ses ministres, sur les catholiques qui osent
encore croire et pratiquer. Une heure durant,
il a tourné en ridicule tout ce que nous
aimons et respectons, tout ce qu'aime et res-
pecte encore, quoi qu'on puisse dire, au fond
de leur cœur, la majorité des Français.

Sous tout gouvernement qui se respecte, la
police eût fait cesser ce scandale ; et les ci-
toyens Faucher et de Hérédia seraient ren-
voyés devant les tribunaux. On ne fera rien.
Si, peut-être le sieur Faucher sera-t-il nommé
officier d'Académie par M. Jules Ferry.

Et voilà les gens qui chantent tant d'an-
tiennes en faveur de la liberté des pères de
famille. Ils se fâcheront tant qu'on empêchera
ceux-ci d'empêcher les autres de penser com-
me eux.

Ceci dit, nous demandons la grâce de Fau-
cher, être nommé officier d'Académie étant
maintenant aussi commun et aussi peu dis-
tingué que d'être décoré sous l'Empire.

***

Uu de nos amis nous communique quelques
détails sur la façon dont les choses se passent
encore au Ministère do la guerre. Nous les
donnons sous toutes réserves :

La fraternité et l'égalité régnent au service
de l'artillerie (Ministère de la Guerre), entre
le personnel militaire et le personnel civil,
d'une façon vraiment touchante. L'attitude
des chiens de faïence ne peut donner qu'une
faible idée de cette bonne harmonie. Il est vrai
qu'un employé supérieur, qui est là dans les
paperasses, depuis vingt ans, fait tout ce qu'il
peut pour qn'à un moment donné, personnel
civil et personnel militaire se livrent à un
pugilat effréné, pour bien montrer les senti-
ments fraternels qui les animent. Tous les
jours, trois feuilles de présence sont présentées
aux employés civils (les pékins). Quant au
personnel mililaire, il peut arriver à midi,-
s'en aller à deux heures, tout ce qu'il fait est
bien fait. Mais, attendez. La mère de cet em-
ployé meurt. Ce dernier envoie des lettres de
l'aire-part à tout le monde sauf à son person-
nel civil.

M. le général Faire s'est plaint à plusieurs
reprises, <jue les employés du ministère n'as-
sistaient pas à ses soirées. Il avouera, franche-
ment, qu'ils n'ont pas tous lieu d'être très
satisfaits de la façon dont ils sont traités,

Il est vrai qu'ils sont républicains pour la
plupart, mais ce n'est peut-être pas une raison
pour que certains employés supérieurs, celui
dont nous avons parlé surtout, les traitent
comme des goujats.

— Eh bien 1 cela a bien changé, mais ceci
tendrait à prouver que c'est encore assez sou-
vent la même chose 1

***

Idylle du Gaulois, à propos de la première
communion :

Ce jour là, la joie est égale chez les enfants
et chez les parents, qu'ils soient riches ou
pauvres.

Il y a aussi une particularité qui enchante
l'entant : nous voulons parler du cadeau de
première communion.

C'est, en effet, ce jour-là, qu'on lui donne sa
première montre 1 avoir une montre comme
son père, est-ce qu'on peut oublier cela?

Très-vrai cela, Gaulois !

Si les femmes — les grands enfants — tien-
nent tant encore à aller à l'église, c'est parce
qu'elles s'y montrent en grande toilette, qu'on
leur y offre de la brioche et qu'on les y régale
de jolie musique.

Essayez de ramener à l'antique et au?»

tère simplicité primitive votre catholicisme,
et vous me direz dans vingt ans s'il en a en-
core pour longtemps dans le ventre I

Henry VAUDÉMONT.

GBELOTS-FINANCfi

La baisse est venue, mais elle n'a fait que se
montrer et a bien vite disparu.

Encore n'a-t-elle pas entamé sérieusement
pendant les unes ou deux bourses qu'elle a
duré le cours de 119 fr. sur la rente o 0/0,
cours qui ensuite a été largement dépassé.

La raison de cette caisse"n'élait du reste pas
soutenable du tout. En l'examinant de près,
ce qui n'a eu lieu qu'après coup, on y aurait
vu plutôt une cause de hausse.

En effet, même au prix d'une diminution
momentanée de 05 millions dans l'encaisse
métallique, n'est-ce pas un bien plutôt qu'un
mal devoir notre monnaie d'argent débarrassée
de ces pièces italienne qui sont loin de valoir
le prix pour lequel, tant qu'elles n'étaient pas
retirées de la circulation, on était de gré ou
de force obligé de les accepter.

Notre encaisse métallique, même diminuée
de 05 millions, monte encore à 2,011 tout
près de trois fois autant que l'encaisse de la
banque d'Angleterre, lequel n'est que de 707
millions.

C'est là une situation superbe.

On nous croit, et nous tous recevons tant
d'argent disponible et en si bonne compo-
sition pour les prêts que de tous cotés on
nous en demande, les soussignés ont à cet
effet frappé aux guichets du comptoir d'es-
compte.

Les Espagnols, ces éternels emprunteurs
qui ont toujours besoin qu'on leur fasse quel-
ques avances, se sont adressés aux sociétés
de crédit, et celles-ci ont pu faire face à cette
quémande, rien qu'avec les nouveaux verse-
ments faits en mars à leurs comptes courants
créditeurs.

A cet égard, le public ne Change guère.
Les valeurs lui semblent toutes à des cours
trop hauts et rapportent trop peu.

Il attend, le bon public, qu elles baissent
pour y entrer, et pendant ce temps, il prête
son argent aux sociétés de crédit qui lui
donnent infiniment moins que ce que leur
donneraient les plus chères et les moins
rémunératrices des valeurs.

Ces valeurs, les sociétés les achètent et elles
trouvent du bénéfice à le faire, car les dites
valeurs leur produisent des intérêts trois fois
plus élevés que ceux qu'elles sont obligées de
servir.

Attendons-nous donc à de la hausse tant
que l'argent disponible ira aux sociétés, et ce
n'est pas de sitôt que le dit argent prendra
un autre chemin.

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