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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0077
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LE GRELOT

PRIME GRATUITE

Toute personne de la province qui s'abonne h
un des journaux ci-après, par l'entremise de M.
Madré, directeur-gérant du Grelot, 81, rue Neuve-
des-l'eVits^hamps, a Paris, a droit à un abonne-
ment gfatuit au journal le GRELOT, savoir :
Pour an abonnement d'an an : 6 mots au Grelot.
— — de six mois ; 8 mois —

. -y — de trois — : 1 mois 1/2 —

L'abonnement a plusieurs journaux doublera,

Charivari..............

Civilisation, .i........

Constitutionnbi—,....

DÉFENSE----..........

Dix-Neuvième Siècle..

Droit..................

Evénement.............

Estafette —.........

Gazette de Frahgb ...

Gaulois................

Gaz. des Tribunaux..

Globe..................

Gil Blas..............

Journal des Débats..

Illust. London News.
Liberté................

Marseillaise..........

Moniteur universel...

Monde illustré

Parlement.....

ParisJournal..

Patrie..........

Pats............

République française.
Revue des Drux-Mond.

Soir.

Temps..............

Times, de Londres.
Jnivkrs............

un

an

six mois

3 mois
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Voltaire..........,

Les prix qui précèdent sont, bien entendu, les
prix fixés par lea administrations de chacun de ces
journaux.

Pris par Ventremise du Grelot, les abonnements
à tous fes autres journaux de Paris donnent éga-
lement droit à la Prime pendant un temps plus ou
moins long.

A Messieurs les Députés

Tl ao me coûte rien d'avouer que j'ai en
grande estime la magistrature»

Bien que toutes les fois que j'ai eu un procès
ii soutenir, je l'aie perdu.

(U faut croire qu'ils étalent détestables).

Mais, si j'éprouve de l'estime pour les
représentants de Thémis sur la terre, je res-
sens pour eux une pitié encore plus grande.

Passer ses nuits à éplucher la botte d'ordu-
res humaines que le juge d'instruction dépose
devant le tribunal,

Et ses journées à entendre les escarpes,

Les grinclics,

Les filous,

Les voleurs,

Les prostituées,

Et les Alphonses que Paris ne cesse de
produire avec une fécondité déplorable.

Au lieu d'aller au Bois se refaire avec les
parfums du printemps, respirer les pieds des
accusés et les bottes des gendarmes,

Ah sapristi !...

Voilà un sort qui ne me paraît guère en-
viable.

Aussi me sens-jc disposé, à propos de cet
ignoble procès Santerre, à envoyer une cou-
ronne de violettes et de muguets à M. le Pré-
sident Laroubiére.

Il ne l'a pas volée !

D'autant qu'en arrêtant l'avocat dans la lec-
ture que celui-ci se proposait de faire de frag-
ments d'un livre dégoûtant, l'honorable ma-
gistrat a rendu un véritable service a la mo-
rale publique, déjà furieusement houspillée
par la publicité malsaine donnée à ces hon-
teux débats.

***

Et, à ce propos, je crois devoir communi-
quer à nos députés une pensée qui m'est
venue.

Comme je suis presque certain qu'il n'y a
pas un seul d'entre eux qui ne se hâte de dé-
vorer le Grelot, dès qu'il a paru, je suis sûr
que j'ai pris la voie la meilleure pour leur
insinuer mon petit projet.

S'occuper des tarifs des douanes, taquiner
l'huile.de pétrole et le sulfate d'albumine,
est, certes, une œuvre méritoire,

Mais revoir un peu nos low ne me semble
pas son plus une tâche à dédaigner.

Je trouve, par exemple, qu'il serait de toute

nécessité d'interdire le compte-rendu des pro-
cès en séparation de corps.
A quoi cela sert-il ?

Voyez ce qui se passe dans le procès qui
nous occupe :

Le mari soutient que sa femme est une
coquine qui l'a fait cocu à toute heure du jour
et de la nuit ;

Et parmi les amants qu'il crût devoir don-
ner à sa moitié, il lui octroie généreusement
son père ! 1

Bien !

Mais il y a des enfants ! 1

Or, dans quelques années, quand la lille de
ce Sganarelle voudra se marier elle-même,
son fiancé, un numéro du journal à la main,
pourra s'excuser en lui disant :

Mademoiselle, je vous aime infiniment,
mais U paraît qu'en 1880, Madame votre mère
se faisait boutonner ses bottines par Monsieur
son père, et, une fois chaussée, so hâtait d'al-
ler dans un cabinet particulier se déguiser en
marmiton pour échapper à la juste indigna-
tion de Monsieur sou mari. J'ai donc l'hon-
neur de vous tirer ma révérence.

D'autre part, grâce aux extraits qne l'avo- f
cat a cru devoir faire de certains livres porno- j
graphiques, voilà une quantité respectable de
femmes honnêtes, auxquelles l'existence de
ces dépotoirs était absolument inconnue, par-
faitement édifiée.

Or, comme la curiosité féminine est inson-
dable, ces braves dames- se diront : Tiens !
tiens ! tiens ! mais ii fautque je lise ça, moi !...
ça doit être rigolo.

Et elles se dépêcheront d'envoyer chercher
les deux ordures en question au plus prochain
cabinet de lecture.

Autant de dépravées pour l'avenir, ou tout
au moins d'honnêtes imaginations troublées
et salies.

Chose qui ne serait jamais arrivée sans
l'immense publicité que la presse a donnée
à ces malpropretés.

Donc, messieurs les députés, continuez à
surveiller les débordements de la potasse et
les sourdes machinations de l'ammoniaque en
délire, mais fermez les portes des tribunaux,
quand la cuisine qui s'y fait sent si mauvais.

Le Grelot vous en prie et compte, pour l'ai-
der dans cette œuvre, sur votre conscience et
. votre honnêteté de pères de famille.
Vous avez des filles et des femmes.
Songez-y... et faites quelque chose pour
elles.

Nicolas Flammïxhe.

encore d'envoyer une pétition au conseil mu-
nicipal de Paris.

Nous n'avons pas eu le courage de lire ce
document.

Mais, étant donnée la manière dont ces
braves gens entendent l'humanité, je pari-
rais volontiers qu'ils demandent la mise à
mort, sans rémission, de tout cocher surpris
eu train d'allonger plus de trois coups do
fouet à son cheval.

BLAGUES ET GNONS

Vinoy a fait une On édifiante, disent les
gens qui s'y connaissent.

Depuis son dégommage du poste de clian
eclier de la Légion d'honneur, il ne s'occupait
d'ailleurs plus que de bien mourir, occupation
Utile, mais quelque peudépourvuedccharnits
et de variété.

Seul en téte-à-tète avec Dieu et ses pen-
sées, il est mort daus la retraite.

On ne pardonnera jamais à Ducrot de n'en
avoir pas fait autant dans celle de Chani-
pigny.

X

Je jure sur la tôte de nègre qui sert de
boule à la rampe de mon escalier, que la ré-
flexion suivante ne m'est nullement inspirée
par le procès Santerre :

— Certains livres sont une telle compagnie
que, lorsque deux personnes les lisent en-
semble, on ne peut presque plus dire qu'elles
sont en tète-à-tète.

X

Le projet Boysset, sur la magistrature, vient
d'être ajourné, à la majorité de deux voix.

Toute la tactique opportuniste est là : recu-
ler pour ne pas sauter 1

X

La commission de l'armée, à laChambre des
députés, a voté la réduction du service mili-
taire à trois ans, et la suppression du volon-
tariat.

En môme temps, on le sait, ce dernier est
rétabli au profil des frocards de tout ordre.

A^oilà encore une cote mal taillée.

Les frocards, qui éprouvent pour l'égalité
des citoyens devant la loi, l'amour effréné
que l'on sait, vont se montrer excessivement
vexés, et avec raison, d'ôtre frustrés des deux
années de service militaire qu'on les con-
traint à ne pas faire !

:^ X

Un nihiliste, condamné à mort et à la p rte
des droits civils et politiques, vient de voir sa
peine commuée... en celle de la mort simple.

On so demandait ce qu'était devenue la
large clémence du maréchal.

Eh! parbleu! vous le voyez j(FAle voyage
en Russie, pour l'instant.

X

La Société protectrice des animaux vient

X

Samedi dernier un jeune malfaiteur a été
arrêté, rue Tronchet, au moment où il enle-
vait à la devanture d'un épicier, une caisse
de pruneaux du poids de i:; kilogrammes.

Le commissaire de police chez qui il a été
conduit l'a gardé à sa disposition.

Comme on voit, les pruneaux ne font pas
toujours relâcher..... au contraire.

X

En vérité, l'interminable discussion sur le
tarif des douanes Unit par devenir par trop
fastidieuse.

Môme dans les salous les plus acharnement
politiciens, on est mis à l'amende dès qu'on
en parle.

Payer un droit d'entrée pour causer doua-
nes, c'est un comble I

X

Un nouveau journal vient de paraître.
Titre Paris-Rome.

Sous-titre modeste : // n'y a plies d'Alpes.

Plus d'Alpes, parce que paraîtraient tous les
huit jours seize colonnes de français entre-
mêlé d'Italien! Allons donc!

Si ce canard international gagne le pari
qu'il a fait de réussir, je jure de l'aller dire à
Home.

X

Autre canard, non-moins insensé :
, L''Héraldique, rédacteur en chef, J. Latour.
Ci, un extrait :

— « Mgr. F..., signe Amand Joseph, évê-
que d'.U...

Autant vaudrait tout de suite signer ...

Latour s'appelle Joseph aussi, lui. Mais en
dépit de la guigne heureuse attachée à ce
nom, nous douions qu'avec cette ligne de
conduite, il arrive à plaire à ses lecteurs du
noblo faubourg.

X

La famine désole actuellement une notable
portion do la Turquie d'Asie.

Les habitants meurent de faim comme des
mouches.

Naturellement les quelques survivants so
plaignent comme dekeaux diables.

Et Calino-l'aeha, qui règne là-bas en souve-
rain maître, leur impose silence, eu disant :

— Ma parole, ce sont toujours les moins
malheureux qui crient le plus. Voyez ces
p iuvres diables, qui sont morts d'inanition.
Est-ce qu'ils se plaignent eux ? Et pourtant I...

X

Les Chiliens continuent le cours de leurs

succès.

Décidément, depuis qu'ils ont mis le pied
dans le guauo, cela leur a porté bonheur.

• X r%

Jusqu'à Tristan Lambert qui biche l'empire 1
C'est pour les derniers badingredins un
symptôme attristant I

X

Petit entrefilet que je retrouve dans le Sifflet
du 21 avril 1872 :

C'était en 1800, je crois. Un étudiant avait
dédié à M. Maxime du Camp une ode : A la
jeunesse, — dans laquelle sergent de ville
rimait avec engeance vile.

M. Maxime du Camp dit au jeune homme
qui était allé le voir, sur son invitation :

<( Ma foi, vous avez trouvé la seule rime pos-
sible. »
Oue ces temps sont loin.
L'étudiant est mort, ne laissant de lui que
son souvenir, et M. Maxime du Camp, désigné
pour faire partie de la première fournée des
sénateurs, a pu, grâce au 4 seplemhre, échap-
per à cette faveur compromettante.
Quantum mutalus ab lllol.
On le voit, M. du Camp l'avait échappée
belle. Cela ne lui a pas servi de leçon. Et
aujourd'hui, le voilà académicien.
C'est bien fait !

X

Lafitte, ayant lu, — vous savez dans quoi,
— la petite annonce suivante :

— On demande, pour voyager, une jeune
persoune, d'un intérieur convenable, avec
1,000 fr., fortune rapide, écrire aux initiales
D. D.. poste restante, Paris,

S'est mis dans une colère bleue.

— Demander 4,000 fr. à une demoiselle d'un
extérieur convenable, s'est-il écrié, mais c'est
une indignité. Moi j'en connais qui les lui
donneraient pour avoir le plaisir de voyager
avec elle !

Buridan.

rangs de l'armée, pour un temps plus ou
moins long, le joli pendant qu'il eût écrit à
Civils et militai?-es ou au Capitaine Portant*
pèigne.

Dépeindre ce mélange bizarre de sémina-
ristes et de troupiers,

Amalgamer, Escobar elFanfan la Tulipe,

Mettre daus la môme peau Jocelyu etlefusi-
lier Lasticot...

Donner à un seul personnage tous les vices,
toutes les roueries, tous les ridicules de
Loyola et de Dou Quichotte.

Créer de toutes pièces un moine-soldat, plus
typique que Gorenflot.

llarnibieu! comme jurait Grillon, le beau, le
sublime sujet 1

Trop beau et trop sublime vraiment pour
que, à défaut de Durandeau, nous ne nous
essayions pas nous-mème un peu sur cetto
maquette.

Sans aucun doute, elle sera bien faible et
bien incolore, l'ébauche que nous improvise-
rons,

Mais elle donnera peut-être une idée de ce
qu'eût pu en faire Un Duraudeau.

Et, nous espérons que le lecteur nous par-
donnera la faiblesse de l'exécution en faveur
de l'excellence de l'intention.

DN PRÉDICATEUR DE L'AVENIR

Je ne chercherai en quoi que ce soit noiso
à feu Durandeau, car je sais qu'il n'y avait
en cela nulle préméditation de sa part.

Mais ce gros homme d'esprit est mort trop
tôt.

S'il lui avait été donné de vivre quelque
dix ans de plus, ce qui, somme toute, lui eût
à peine fait doubler le cap de la soixantaine,
de quelles joyeuses scènes ne nous eût-il point
régalés, — disons supplémentairement, pour
employer son style.

Etant donnée l'immanquable intromission
des calotius adultes de tout poil dans les

Donc, P.odinbillioa, après avoir passé le
temps réglementaire sous les drapeaux, vient
de subir, à trois jours d'intervalle, son exa-
men de sortie et ceiïiid'entréedanslesordres.

Le tout avec un égal succès.

Il lui est donc permis d'échanger le panta-
lon garance contre la soutane noire, et le jour
de son ordination, il monte eu chaire pour y
prononcer un grand discours.

Mais, dans lt trouble inséparable de l'émo-
tion d'un premier début, il brouille les termes
techniques de ses deux métiers, et accouche
de l'élucubration suivante :

« Mes très chers frères,

s A cette heure maudite oii les passions
déchaînées contre notre très sainte Eglise me-
nacent cette arche de salut d'une ruine, que le
Très-Haut et son état-major céleste seront
heureusement assez habiles stratèges pour
conjurer, il importe que toute l'armée catho-
lique se serre autour du drapeau que Notre
Très-Saint Père le Pape tient à Home, d'une
mais assez ferme pour prouver qu'il n'a pas
encore le creux de l'estomac roDgé par les-z-
hannetons!

Et quand je dis toute l'armée, c'est toute,
entendez-vous bien. S'agit pas que les uns
triment dare-dare, dur et sec à la grande ma-
nœuvre, et que les les autres ne f..'.ichent rien
que de donner des coups de fera leurs châlits
en restant dessus toute la journée dans la po-
sition du soldat sans le sou!

•î Non, non ! pas de ça, Lisette ! A la zut les
fricoteurs ! Les uns ne doivent pas faire tout
le temps la corvée de quartier pendant que
les autres ne feront que triturer la boule de
son! Sacrrrrr... rien du tout 1 II n'y a que trop
longtemps que ça dure, ça doit changer et ça
changera, c'est bibi, un lapin au sel, qui vous
en f... son billet.

» Et Vous savez, aussi, de l'ordre. Chacun
son métier, les cantinières seront bien ser-
vies. Si l'intendance se mêle de ce que fait
l'infanterie, et si l'arme des dragons se turlu-
pine de ce qui regarde les tringlos, va V pro-
mener 1 nous ne ferons que de la bouillie pour
les chats.

» Donc, tirailleur des Houx, tâchez voir un
peu à l'avenir de régler votre allure sur l'ali-
gnement de votre collègue et camarade de lit
Veuillot— un mauvais coucheur celui-là, har-
gneux, emporté... et envieuxl... il ne peut
pas voir le tirage d'un Confrère ôtro promu
à un chiffre supérieur, sans en faire une
maladie... quelle riche nature! Autrement,
si vous f...ichez tous le camp, la g.....enfari-
née, sans savoir où vous trimbalez vos godil-
lots, c'est moi qui vous le dis, vous f...icherez
l'armée entière daus les choux. Et une fois
qu'elle y sera, elle y sera bien. On aura beau
sonner la retraite et le ralliement au drapeau,
on ne réussira qu'à faire crier sauve qui peut !
Les malins se tireront des flûtes, qui sur un
poulet-d'lndo, qui en jetant Azor et sa clari-
nette do cinq pieds. Et quand aux melons et
aux bleus, ils se dénièlasseronl de là comme
ils pourront.

» Sans compter qu'à la fin, le Dieu des ar-
mées — domine Deus Sabbaolh I je ne sais plus
au juste si c'est, ça, n'importe, va t' promener,
— pourra fiuir par s'impatienter. Et il me
semble d'ici l'entendre crier de sa voix de
tonnerre, comme jadis aux Hébreux quand il
les envoyait captifs à Babylone :

» — Nonobstant le respect que je dois avoir
pour mol-môme, qui m'a f...ichu des mufles

manœuvrant scmblablement! J'te vas f.....tout

ea à l'hoslo comme des tambours. Allons,
hop ! des soldats comme ça, n'en faut plus I
Allez tous à Dache, le perruquier du 3° zoua-
ves. Et à la moindre récalcitrance et réclama-
tion près de Bibi, rrrach I je vous enverrai
faucher du macaroni à Biribi, sous les ordres
du capitaine Belzébùth 1 i........

Je m'arrête ici.

C'est suffisant, je crois, pour une esquisse.

Et le plus élémentaire bon sens démontre
d'ailleurs que, sc'on toute probabilité, l'ahuris-
sement des assistants eût arrêté avant l'ora-
teur Rodinbilliou, tout empoigné qu'il fut par
son sujet.

Grikgoirk.

GAZETTE DE MONTRETOUT

Je manifesje, tH manifestes, il muni
feste, nous manifestons, vous nia
nifestez, ils manifestent.

— Vivo Ferry !

— A- bas Ferry

A bas les jésuites I
I Vivent les jésuites!
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