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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0087
LE GRELOT
succès que les précédents, et sa place est mar-
quée dans toutes les bibliothèques de beaux
livres et de livres amusants. — C'est, en outre,
un charmant compagnon de voyage, qui a tou-
jours quelque chose d'imprévu, de curieux et de
spirituel à raconter.
Chez Madré, au bureau du Grelot, rue Neuve-
des-Petits-Champs, 81. — Paris: 2 fr.; franco
2 fr. 25, ' ' " '
AVIS
Tout le monde sait que pour
être habillé élégamment, c'est-
à-dire que pour pouvoir porter
un vêtement qui défie pour la
qualité, la solidité, la coupe et
le confort, tous les articles de
Maisons qui s'intitulent modes-
tement Maisons de premier
ordre, il faut tout simple-
ment s'adresser à la Maison
AD. GODCHAU, la seule qni
ne se proclame pas, et pourtant
la seule qui aurait bien le droit
de se proclamer SANS RIVALE.
Aussi y a-t-il foule tous les
jours
12, rue du faubourg-montmartre
Et Rue de Rivoli, 75
Tout vêtement qui ne con-
vient pas est immédiatement
échangé ou remboursé.
34, rue des Ecuries-d'Artois, 34
champs-élysée 5
PARIS __-—"TTTq \j c
Wme SYDS
SAGE-FEMME Dfi 1" CL.
Maison spécialement installée pour pensionnaires.
THE TIMES de Londres
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Librairie MADRE, 81, rue Neuve-dns-Perit.-t-
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Grande Mise en Vente
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Rue du Pont-Neuf, nos 4, 4 bis, 6, 8 et 10
De vêtements pour Hommes,
Jeunes Gens et Enfants, aussi
bien faits que chez les GRANDS
TAILLEURS et à MEILLEUR
MARCHÉ que la Confection.
JOURNAL DU MAGNÉTISME
Fondé par le baron du POTET (22° année). —
Directeur : H. DURVILLE. — Abonnements :
6 fr. par an, le 25 cent. — Traitement des
Maladies par le Magnétisme et le Somnambu-
lisme. — M"" BERTHE, somnambule, célèbre par
sa lucidité, consult. par correspondance. S'adres-
ser au bureau du journal, 66, rue des Lombards,
Paris.
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SANS CKOCEKTS NI RESSOkïS
En CELAUH.OIMS, matière IneuuMc
Doux aux gencives et d'une beauté remarquable
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rouget, 40>, rue Hte-Aane, PARIS
CARICATURES
En vente dans les bureaux du Grelot
et chez tous les libraires.
Liv. 1. — Débuts de Mlle Sarah
Bernhardt dans les
Précieuses Ridicules,
par Moloch.
Liv. 2. — Nouvelle canaillerie ni-
hiliste, par Moloch.
Liv. 3. — JLa police russe voulant
avoir l'œil partout, par
Moloch.
Liv. 4. — Un cauchemar ! ! ! par
Darré.
Liv. 5. — Les deux doigts de la
main, par Alfred Le Petit.
Liv. 6. — Une tuile sur la téte,
par Alfred Le Petit.
Liv. 7. — Religion et liqueurs fines
par Darré.
DIX CENTIMES LA LIVRAISON
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connaissances M DlTriM h angle fg. St-Martin
Elles v. seront rendues gratuitement. Délai garanti
par écrit. — On achète 10 % plus cher qu'ailleurs.
On peut l'aire moins d'affaires, profitez, des
hauts cours pour procéder à des réalisations,
mais de là à de la baisse sérieuse, nenni.
Si les rentes françaises ne sont pas mainte-
nant tout à fait aUxjdus hauts cours qu'elles
ont côtés dans ces derniers temps, une chose
est certaine c'est que les cours se retrouveront
bientôt.
Le 3 0/0 peut donc être considéré comme
touchant à 86 ; le 3 0/0 amortissable comme
étant en route pour 88, et le 8 0/0 comme de-
vant arriver à 120 ; l'écart de 1 fr. 50, dont il en
était encore séparé au commencement de la
semaine, sera bientôt franchi.
On peut en dire autant des actions de che-
min de fer et en prendre avec la certitude que
d'ici à peu de temps on les cotera toutes, ou
du moins presque toutes, à au moins 50 fr.
plus haut qu'aujourd'hui.
Il est aussi très raisounable de voir des prix
beaucoup plus élevés que les cours actuels sur
le gaz, les voitures, les omnibus, et surtout
sur les valeurs du canal de Suez.
Les sociétés de crédit, en ce temps qui se
prête si bien à la construction do nouvelles
affaires, ont aussi grande chance de voir leurs
cours monter.
Tubal Cain.
GRELOTS
DlALOGUB RÉALISIK.
— Nous ne donnons que dix mille francs à
notre fille, mais elle a des espérances.
— Des espérances 1 Des espérances 1 Madame
votre épouse a bien l'air à moitié claquée,
mais, c'est que vous avez encore une fameuse
trombine.
—«-D—
Au Tribunal.
Le Président — Accusé, pourquoi avez-vous
glfflé madame ?
L'accusé— Mon président, elle appelait tou-
jours ma femme : sa fille, alors j'ai cru que
c'était....
Le Président- — .... votre belle-mère ; alors
c'est différent, vous avez bien fait.
Gredinette n'a aucune fortune, et, de son
existen-ee échevelôe, il ne lui reste qu'un petit
garçon qui aura bientôt huit ans.
Pourquoi ne l'as-tu pas fait reconnaître par
son père, il t'aiderait fièrement aujourd'hui.
— J'y ai bien songé, répond Gredinette, mais
figure toi que je n'ai jamais pu reconnaître le
père.
—«->—
25, était tranquillement chez lui avec sa
femue, lorsqu'on vint sonner bruyamment à
sa porte :
— Vite ! vite 1 de l'eau ! du vinaigre !
— Qu'y a-t-il donc ?
— Le propriétaire vient de glisser dans l'es-
calier et il se trouve mal.
— Bah 1 ma foi, tout ce que je peux faire pour
lui, c'est de lui faire avaler ce restant de
pommes de terre à l'huile.
Quand les culs-de-jatte n'ont rien à manger,
ils sont encore plus à plaindre que les autres
malheureux, car ils n'ont même pas la res-
source de danser devant leur buffet.
— Dis donc, maman, le mari d'une sage-
femme, sais-tu comment ça s'appelle ?
— Mais, ma petite fille,*il s'appelle par son
nom.
— Mais non i ça s'appelle un sage-homme I
Calino voit passer l'omnibus qu'il attend
depuis une heure, et il est encore complet.
Au même moment il en passe un autre en
sens inverse, et il en voit descendre un voya-
geur :
— Imbécile 1 s'écrie-t-il, comme il n'aurait
pas pu tout aussi bien descendre de l'autre
pour me faire de la place 1
Il y a eu à Paris plusieurs cas de petite vé-
role ; chose curieuse, il n'y a que les malades
qui ont été visités par les médecins qui sont
morts.
—a-»—
AU TRIBUNAL
— Pourquoi rouez-vous votre femme de
coups ?
— C'est pour ne pas faire perdre les habi-
tudes de ma femme.
— Gomment cela?
— Elle était vouée aux Meus étant petite.
J'aimerais mieux embrasser la carrière d'avo-
cat qu'une carrière de charbon, c'est moins
sale (1).
—«-»—
C'est bête tout de même ces formules de
lettre.
Ainsi, il y a des masses de gens qui vous
terminent leurs lettres par ces mots :
Je suis votre serviteur.
Si vous leur demandiez de cirer vos souliers,
ils refuseraient net, soyez-en sûr.
Quô fausseté, mes enfants ! que fausseté que
tout ca.
Quand on dit d'un homme : C'est un fameux
lapin ; cela passe pour une sorte d'éloge.
Mais le lapin étant une bêle, je trouve que
cela devrait plutôt signifier : Monsieur Chose
est une fameuse bête 1
Sulpice.
(1) Carière de charbon... hum! enfin pour faire
un mot on n'y regarde pas de si près.
MELANDRI
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19, rue Clauzel, 19.
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Bains Turco-Romains
Étuves à air sec, massage et lavage, douclie, piscine.
Les Maladies chroniques rebelles aux remèdes ordi-
naires, RHUMATISMES, GOUTTE, SCROFULES,
OBESITE, etc., sont avantageusement modifiées par
l usas* du BAIN TURCO-ROMAIN, qui ost la médi-
cation la plus simple et la plus naturelle pour prévenir
<n Kuérir RHUMES. CORYSA, les affections CA-
THARRALES des BRONCHES, du LARYNX, des
REINS, de la VESSIE, la DIARRHEE, etc., dus à
l'influence du froid, do l'humidité et aux brusques va-
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Lauréat des hospitaliers d'Afrique 15 novembre
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14 Janvier 1879.
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Par la Chiromancie et la Graphologie.
Mme INDAGINK. 5, boulevard Onmno, Pari»
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Darré.
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touchant à 86 ; le 3 0/0 amortissable comme
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qui ont été visités par les médecins qui sont
morts.
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— Gomment cela?
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tout ca.
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leur chevelure, même â la suite de couches.—
On envoie firaiiS renseig"et preuves. On jugera.
IJALLERON,Chimisle,85,rue[leBiïoli(pr.leI.ouvre)PARIS.
MALADIES DES FEMMES
GUERISON SANS REPOS NI RÉGIME
Par Mm0LAGHAPELLE, maltresse sage-femme,
professeur d'accouchement. Les moyens em-
ployés, aussi simples qu'infaillibles, sont le
résultat de longues années d'étude et d'obser-
vations pratiques dans le traitement de leurs
affections spéciales et des causes de leur sté-
rilité. Consultations tous les jours de trois à
cinq heures, 27, rue du Mont-Thabor (près les
Tuileries).
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AUX ASTHMATIQUES
L'Asthme, la Toux, l'Oppression, la Bronchite, le Catarrhe et toutes les maladies des voies respi-
ratoires sont guéris par le traitement de M. Aubrée, médecin-pharmacien, à la Ferté-Vidame
(Eure-et-Loir). :
Un traitement dont la réputation s'appuie sur 19 ans d'existence, qui est lournellement or-
donné par d'illustres médecins de France et de l'étranger,, qui a permis de réunir un tel
nombre d'attestations de guérisons, que deux jours suffisent à peine pour en prendre connais-
sance, qui n'a jamais provoqué le plus léger accident, qui n'exige aucun régime particulier,
qui peut être suivi partout, même en voyage, et qui est à la portée des plus petites bourses ;
ce traitement sans rival, seul curatif de l'asthme, mérite bien la confiance que le public lui
accordé. — Des vieillards âgés de plus de 90 ans lui doivent leur guérison. — Consultations
par correspondance; renseignements gratuits.
LES PERSONNES;
désireuses de guérir vite et bien : Urines irritée»,—Ecoule-
ments,—Rétrécissements,—Douleurs de la Vessie et des
I Reins,—Oravclle, Goutte et Pôle,prendront tout de suite lu
•WTTÏ Ï?Q CSÏTPnflTQ Seul remède efficace et peu coûteux.—Boîte de ao ovules, a fr. (franco
U V U JJIjÛ ÛU £jJJUiÙ poste).—Conseils gratuits.-Pour les cas «rpï-icïxss, Consultation
d'un graud Médecin. — Les maladies des deux sexes : Impuissance, Stérilité, Pertes, Syphilis, Sang
Vicié, etc., sont traitées par lettres. — Éortre a Paris, Phi» OQX.01VE333R, 103, rue Montmartre.
ARTIFICIELS MOMILKS de H. LISKENNE, oculariste des hôpi-
taux de France, Belgique, d'Italie, des Pays-Bas--68, rue de Biwli. PARIS.
PARIS — Imprimerie L. HUGONIF et C", 6, rue Martel.
Le Directeur-Gérant : J. M A PRE