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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0112
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LE GRELOT

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Le père Du Toc, supérieur des Jésuites, a
réuni au parloir de sou établissement une
vingtaine de frères, entièrement gras et fleu-
ris, ce qui se comprend quand on pense que
ces braves gens n'ont & s'occuper ni de la fa-
çon dont ils paieront rieur terme, ni de leur
dîner du; lendemain,, ni de l'éducation de
leurs enfants.

C'est la; nuit qui précède la matinée du coup
de balai. .

On vient de casser une croûte, en compa-
gnie de quelques amis parmi lesquels on dis-
tingue le charcutier-sénateur Ghesnelong.

Le père supérieur fait un signe.

Les pères se recueillent pour déguster les
paroles de l'excellent Du Toc.

Le P. Du Toc, {d'une voix qu'il s'efforce de
\ rendre larmoyante).

« Le sort en est jeté !... c'est ce matin, à
six heure? pour le quart, que ces gredins de
républicains nous flanquent à la porte d'un
immeuble;qui nous-appartenait... et que nous
avions légitimeinent acquis au prix de nom-
breuses Jesées ^opérées sur les consciences
d'un tas d'imbécfces, défunts à l'heure qu'il
est, et qui, par conséquent ne sont plus là
pour s'en plaindre.

Chesnelong.

Je réponds-d'eux !... Personne ne se plaint,
î Le P. Du Toc.

Ce matih, on nous fait déguerpir sans tam-
bour ni trompette. H s'agit, en conséquence,
de faire ce qu'on appelle au théâtre : une
belle sortie. Surveillons la mise, en scène et
attention à la répétition générale. Frère Ches-
nelong, ayez-vous soigné la claque?
• Chssnelong.

Tous les amis sont à la porte. Et des bat-
toirs !... je-ne vottsdis que ça. Je les ai chauf-
fés à blanc qu'on se eroira tout, à l'heure à
l'Opéra-Comique.

" • Le P. Du Toc.

Oh 1 je vous reconnais bien là, mon cher
ami Vous etBaudry-d'Asson.

A propos, où est-il donc, ce cher Baudry ?

Chesnelong.

Dans la cave.

Le P. Du Toc.

Il boit !!

Chesnelong.
Non... il fait répéter le? cris qui auront
tout à l'heure, l'air de sortir des gosiers ca-
tholiques, comme cela, simplement, sous le
coup d'une émotion bien naturelle... Baudry
est très content de ses comparses..' il y en a
un surtout, nn petit blond, qui n'a pas son
pareil pour crier : A bas les décrets !... ce sera
épatant !

Le P. Du Toc.

Eh bien, maintenant à nous. Voyons, écou-
tez bien mes frères : Nous disons que sur les
six heures moins un quart, après avoir pris
le vermouth, nous montons dans nos cham-
bres.

Tous.

Bon.

Le P. Du Toc.

On frappe. Le P. Canard, respectable gâteux
que j'ai envoyé cirer mes souliers, en signe
d'humilité, s'écrie d'une voix éteinte : quiêtes-
vous : — Ouvrez, au nom de la loi !... — ré-
pondent les sujets de ce misérable Andrieux.
Cafard fait le mort. On va chercher un serru-
rier. Pendant ce temps nous nous collons à
genoux dans nos cellules. Le serruriers ar-
rive. Les suppôts d'Andrieux font sauter les
serrures et nous trouvent. — Voulez vous
fiche votre camp? s'écrient ces drôles. — Ja-
mais, répondons-nous en versant d'abondantes
larmes. Ah !... à propos... tout le monde
a-t-il des larmes?... Ceux qui n'en auraient
pas en trouveront à l'économat. De jolies pe-
tites éponges imperceptibles qu'on se fourre
dans l'œil. Le moment de fondre venu, on
ferme les yeux et, la paupière pressant l'éponge
on a une petite averse d'un effet irrisistible.
Vous y êtes ?

Tocs.

Parfaitement.

Le P. Du Toc.
Et ne vous gênez pas 1... j'en ai un solde,
Maintenant, pas d'erreurs !... Soyons raides
mais polis. Des gens qui nousfont une réclame
pareille méritent des égards. Enfin, à la sor-
tie, quelques sanglots étouffés, n'est-ce-pas?...
comme ça... hi ! hi ! hi !... et ne marchan-
dons pas les bénédictions!... çà prend les
femmes... et dame, les femmes !...

Le Chœur, (à pleine voix) :

Les femmes, les femmes !
Il n'y a que ça...

Le P. Du Toc,(ém«).

Sont-ils gentils heins !... pauvres petits
anges, allez-y, ah c'est bien vu, bien entendu?

Tous.

Oui.

Le P. Du Toc.
Je compte sur vous.

(Six heures sonnent. On entend frapper
trois coups à la porte de la rue).

Ce sont eux !... Allons-y de notre petite co-
médie !... Au rideau !...

Choeur dans la rue.

Bon voyage mon cher Du Toc ?

Où vous voudrez débarquez sans naufrage !

Le P. Du Toc.
Oh ! si jamais nous rentrons ici !
Chœur dans la rue.

Va t'en voir s'ils viennent Jean !
Va t'en voir s'ils viennent !...

Nicolas Flammèche.

quelle le serrurier Brochard a forcé les serrures
de la jésuitière de la rue de Sèvres.

On pourrait y mettre aussi la pièce de qua-
rante sous offerte par le pianiste clérical en
question à l'artilleur de son cœur.

Mais je donnerais gros pour y voir la Bière
du dernier frocard de France !

•Voilà une bière qui me réjouirait l'âme plus
que n'importe quel bon vin'l

X

BLAGUES ET GNONS

Avez-vous remarqué les noms des commis-
saires chargés de l'expulsion des jésuites :

Clément et Dulac.

Clément comme Jacques.

Et Dulac comme le supérieur de l'école Ste-
Geneviève.

Le sort a ainsi do ces ironies, qui tirent
cruellement la langue aux choses rationnelles.

X

La Porte-Saint-Martin reprend la Bouque-
tière des Innocents.

11 ne s'agit nullement d'Isabelle, comme la
candeur des sportmen pourrait le faire croire.

Pas un royaliste n'ira voir cette pièce qui le
dégoûterait de la monarchie.

Le vide causé dans la salle par cette absence
ne sera pas extraordinairement sensible. M.
Clèves lui-même ne s'en apercevra pas.

X

M. Tout-Paris conseille à M. Turquet do
mettre au inusée do Cluny la pince avec la-

de

Les Mouchards ne termineront le cours
leur brillante carrière que le 18 juillet.

Ensuite Dailly ira passer l'été dans le Midi.
L'excellent homme est tellement entré dans
la peau de Capoulado qu'il jure être né à Mont-
de-Marsan et veut à tout prix revoir sa
patrie.

X

Le grand lama est mort et demande au Fils
du ciel de lui désigner un successeur à qui il
puisse céder son âme et son fond de com-
merce, qui rapporte 5 millions de bénéfices
nets par an.

La vente des déjections de cette incarnation
de la divinité étant l'objet d'un commerce im-
portant, le Grelot prend' l'audace grande de re-
commander au Fils du ciel un ancien mar-
chand de guano qui a fait de mauvaises affai-
res. Un homme très-roublard, et qui connaît
l'article !

X

J'ai appris par l'éboulement de deux mai-
sons qu'il existe à Paris une avenue Mac-Ma-
hon et pas de boulevard Victor Hugo.

Il est vrai que Hugo est vivant et que ce
pauvre maréchal est joliment enterré I

X

Le jésuite anglais Forbes a reçu de son com-
patriote Commark, comme cadeau, une bourse
de 800 livres et une pendule.

Sans doute pour qu'il puisse voir quand sera
venue « l'heure de la justice ! »

X

L'impératrice de Russie a légué à son fils
son superbe château de Livadia.

Ne vous hâtez pas d'envier le grand duc
héritier, car ledit château, au lieu de rap-
porter quoique ce soit, coûte 300,000 francs
d'entretien annuel.

Une vraie tuile — couverte en zinc!

X

A Lannion, un amateur d'oiseaux possède
trois alouettes blanches.

Allons! voilà la Bretagne qui se civilise.
Jusqu'ici, elle ne s'était illustrée que par ses
vilains merles noirs !

X

Le 14 juillet, tous les monuments publics
seront richement décorés.
Ensuite, on décorera un tas de gens.
Et probablement nombre de décorateurs.
La loi do Lynch 1

X

En haine de la fourberie jésuitique, Guibol-
lard ne voudrait même plus voir aucun arti-
fice subsister dans les feux.

On cherchait le comble de la franchise. .

Voilà!

X

Un journal, annonçant la mort d'un person-
nage quelconque disait :

« Sa mort a été adoucie par la présence de
plusieurs fonctionnaires. »

O mon Dieu ! faites-moi la grâce de n'expi-
rer qu'après avoir reçu le baiser d'adieu du
garde champêtre et du lieutenant des pom-
piers de Brutigny-les-Tropouilleux !

X

Sarah Bornhard a quitté Londres, emportant
des montagnes de madrigaux que lui ont dé-
coché les Anglais, fort entichés des manières
excentriques de ce saltimbanque enjuponné.

Sans aucun doute, aucune de ces pièces de
vers ne valait ce simple quatrain, — peu
flatteur, — qu'Alphonse Lafitte dédia un jour
à la plate dona Sol :

Tu possèdes un beau visage,
Mais là se bornent tes appas...
Les montagnes sur ton corsage
Hélas ne se rencontrent pas.

BURIDAN.

A l'occasion de la fête nationale du 14 juil-
let, la Compagnie des chemins de fer de l'Est
mettra en marche sur Paris neuf trains spé-
ciaux au départ d'Auricourt, Petit-Croix, Bel-
fort, G-ivel, Vesoul, Nancy, Commercy et l\ô-
thel.

Ces trains, dont les prix seront très-réduits,
comprendront des voitures de 2° et de 3"
classe et permettront aux voyageurs de venir
à Paris assister â la fête et à la distribution
des drapeaux à l'armée.

ZIG-ZAGS

Chacun sait ça.

Nous sommes tous fiers d'être Français,
D'aucuns quand ils regardant la colonne,
D'autres,—dont je fais partie, — lorsqu'ils
lisent Voltaire.

Mais, en vérité, lorsque nous voyons de
quelle manière nos contemporains appliquent
la logique à la politique ; nous somme presque
honteux d'être les compatriotes, — solidaires
de réputation, — de cornichons aussi perfec-
tionnés.

Raisonnons serre.

Connait-on, en effet, rien de plus grotesque
que la comédie qui vient de se jouer le 30 juin'?

Rien de plus illogique que ces partisans de
la liberté d'association et de réunion qui, au
lieu delà demauder pour eux, se contentent
de la supprimer aux autres ?

Rien de plus cocasse que ce faux-bonhomme
do Jules Simon enfin démasqué et traité
comme il le mérite, la première fois peut-être
qu'il lui arrive de défendre, avec un certain
courage, et un incontestable talent, une cause
complètement juste?

Et rien de plus mesquin que la façon dont
le gouvernement a fait usage des foudres en
zinc doré que la Chambre, dans un de ces
accès de colère, dont elle partage le -monopole-
avec Joseph Prud'homme et la soupe au lait,—
lui avait remises entre les mains?

Tout ou rien.

On ne doit rien faire à demi.

Nous l'avons dit, s'en prendre aux jé-
suites avec des gendarmes, est une brutalité
contraire aux vrais principes libéraux.

C'est avec de la lumière qu'il faut combattre
ces éteignoirs ambulants ;

Avec de la logique qu'il faut réduire à
néant leurs sophismes ;

Avec de francs éclats de rire rabelaisiens,
quïl convient de lutter contre leurs larmes de
crocodiles.

On a toujours tort d'argumenter à coups de
poings contre un individu qu'on peut réduire à
l'impuissance par le simple raisonnement.

Mais une fois la force admise comme moyen
de discussion, il convient de s'en servir utile-
ment.

C'est-à-dire énergiquement.

Ne vous contentez pas de giffler votre en-
nemi, de lui pocher l'œil droit,

De l'affliger d'une fluxion à la joue gauche,

Et de lui allonger légèrement les oreilles,

Non : il chercherait à prendre sa revanche,
et un beau jour, il pourrait vous en cuire.

D'un bon coup de poing entre les deux yeux,
assommez-le tout net.....

Ensuite, au moins, vous pourrez dormir
tranquille.

Si j'étais lo gouvernement!

Ainsi aurais-je fait à la place de nos bons
ministres.

Il est admis que le principal mal que font
les jésuites est la fausse éducation donnée par
eux à la jeunesse.

Eh bien 1 au lieu de-laisser leurs établisse-
ments d'instruction subsister plus longtemps
que lesautres, je les aurais fermés les premiers,
tout d'abord.

Puis, étant donné que, lorsqu'on a un tas
d'ordure, dans sa chambre, on a le droit de le
jeter dehors,

Je me serais bien gardé de me contenter de
le répandre un peu partout, au lieu de le laisser
dans un coin,

Ce à quoi a, somme toute, abouti le coup de
force du 30 juin, jour où fut effectuée, non l'ex-
pulsion, mais la dispersion des jésuites.

Mon plan.

J'aurais envoyé des voitures cellulaires à la
porto de chaque jésuitière,

Et, au lieu d'aller chercher un serrurier pour
forcer les portes, j'aurais emmené des maçons,
et dit au bon père portier :

— Il y a trois mois que nous vous avons dit
d'avoir à déguerpir.

Vous n'en avez rien fait.

Tant pis pour vous.

Mettre le pied dans votre cassine nous
répugne.

En conséquence, nous vous prévenons que
nous allons incontinentyjeter avec des pompes
deux ou trois barriques de phénol, puis que
nos maçons vont solidement murer portes et
fenêtres.

De cette façon, vous serez au moins aussi
mis hors d'état de nous nuire que de l'autre
côté de la frontière.

Dieu, avec qui vous êtes très bien, dites-
vous, répétera bien, en votre faveur, le miracle
qu'il fit jadis pour Elie.

Les corbeaux se nourrissant les uns les
autres, ce sera charmant.

No vous gênez donc pas et restez là dedans
autant qu'il vous plaira... et même quelque
peu davantage.

Tableau !

Vous voyez d'ici déguerpir tous mes bons-
hommes, peu désireux de nous donner une
seconde édition, considérablement augmentée,
des emmurés de Carcassonne.

Mais là ne se serait pas arrêtée cette comédie,
infiniment plus amusante, — j'ose le dire,
toute modestie à part, — que celle qui s'est
jouée rue de Sèvres.

Une fois mes gaillards sortis, je les aurais
rangés en file et procédé à, leur appel.

Puis le compte y étant bien, je leur aurais
tenu le petit discours suivant :

Messieurs,

Depuis trois mois vous avez eu grandement
le temps de faire vos malles,

De choisir à l'étranger le lieu où vous comp-
tez résider à l'avenir,

Et d'y partir tout doucettement, dans un wa-
gon de première classe moelleusement capi-
tonné.

Vous n'avez pas voulu en user ainsi.
Vous êtes resté ici pour nous narguer et nous
tirer la langue j'usqu'à la dernière minute.
A votre aise !

Mais rira bien qui rira le dernier.

Et nous comptons bien l'avoir, le dernier.

Vous allez nous faire incontinent le plaisir de
monter dans ces voitures.

Puisque la vie cellulaire vous plait, vous serez
là-dedans comme des petits rois dans de la
mousse.

Afin de no pas vous forcer brutalement »
rompre avec vos habitudes ascétiques, nous vous

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