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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0174
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LE GRELOT

De ci, k la.

Ah ! mes enfants, de quel désastre sommes-
nous menacés ?

— Eh bon Dieu, me direz-vous, que se
passe-t-il donc et qu'avons-nous à crain-
dre?

Signale-t-on à l'horizon un article de Saint-
Genest?

Un premier Paris de des Houx ?
Une comète disposée à nous aplatir comme
un cent de punaises ?
Enfln quoi ?... qu'y-a-t-il ?
Voyons... répondez !

— Il y a,..

— Eh bien ?

— Il y a... que Gavardie voulait parler
sur lebalançage des congrégations...

— Et que...

Et qu'il ne parlera pas. Il l'a écrit au Fi-
garo.

— Vous appelez ça une tuile?

— Évidemment. Songez donc à la bosse de
bon sang qu'on se donne à l'audition d'un
de ses discours? rigole-t-on, hein?

— Ça c'est un fait. Et à ce point de vue,
j'avoue que le silence de ce bon vieillard est
regrettable ; mais pourquoi ne parlera-t-il
pas?

— Parce qu'Ignotus a parlé.

— Ignotus?... ce raseur d'Ignotus?

— Lui-môme, et qu'Ignotus a dit tout ce
que lui, Gavardie, avait intention de dire.

— Sacrisli, c'est dommage, en effet !...
Comment, Ignotus ne lui a pas laissé la plus
petite bêtise ?

— Il a tout raflé pour lui.

— Voyez-vous le goulu !... mais je connais
Gavardie... ce n'est pas un particulieràperdre
une occasion d'être ridicule. Il parle comme
ça maintenant, parce que, dame, cet homme
ça l'a vexé qu'un aulre gâteux que lui, ait
tenu le crachoir conservateur... mais laissez
ouvrir les Chambres... je vous assure qu'il
saura prendre une rude revanche!

— Vous croyez !

— J'en suis sûr.

— Ah ! vous m'ôtez un poids !... Il y aura
encore de beaux jours pour le Grelot !

Quand je vous disais que ces carmes nous
feront crever! Il paraît que, dans je ne sais
quel couvent du Midi, les susdits carmes se
sont enfermés à double tour et ont muré
leurs portes.

Vous entendez bien ? muré]

— Ils vont donc mourir de faim ?

— Ah ! chers lecteurs, vous ne connaissez
guère ces paroissiens là...

Ils la font au drame, voilà tout.

— Mais je parierais un peloton de ficelle
contre une action de l'Emprunt Turc, qu'ils
se sont, au préalable, convenablement munis
de saucissons, de conserves et de fromages de
gruyère.

Quant à la cave, je ne vous dis que ça 1
Si nous étions chargés, vous et moi, de la

boire, nous eu aurions pour quelque temps,

allez.

Mais 11 faut bien jeter de la poudre aux
yeux des imbéciles !
Songez donc !

Des carmes qui meurent de faim !... à no-
tre époque !... Mais c'est épouvantable!

Là-dessus l'unique abonné da Monde et la
douzaine de ramollis qui roupillent après
leur dîner sur la Gazette de France vont pous-
ser des cris de paon.

— Pauvres petits carmes chéris !

Penser que leur bedaine monacale va s'ap-
plalir comme une vieille blague à tabac !

Et tout cela par la faute de ces gueulards
de républicains !

A moi, mon vieux tourne-broche de To-
lède...

Montjoie ! Saint-Denis !

Si ça ne fait pas suer.

Blagueurs, va !

Je viens de lire dans un journal bonapar-
tiste une annonce qui m'a stupéfié.

C'est la mise en vente du cheval que Napo-
léon III montait à Sedan et à WilhelmshœW.

Le malheureux rossinante est, à l'heure
qu'il est, âgé de 16 ans.

Mais le galopin qui a le toupet de le propo-
ser aux fidèles du parti, ajoute qu'ilest encore
capable de hautes actions ! j'aurais cru qu'a-
près avoir porté un pareil maître, il ne serait
capable que de f.... icheson camp à la pre-
mière occasion.

Recommandé à Plon-Plon, s'il a envie de
monter ses écuries.

Nicolas Flammèche.

ZIG-ZAGS

.... Ces pelés, ces galeux, qui firent tout le malt

La chose était à prévoir:

C'est la presse qui paiera le sucre cassé dans
l'affaire Kaulla-Cissey.

On s'est jeté des tas d'accusations toutes plus
sales les unes que les autres à la tète :

— C'est toi le coupable.

— Non! c'est lui qui a tout fait'

— C'est vous qui êtes des gredins !

— Eux seuls là-dedans sont des fripouilles !
Et, à force de se renvoyer ainsi la halle à la

tète, on a fini par tomber d'accord:

— Après tout, c'est la presse qui a divulgué
ce pot aux roses.

— C'est évident.

— Si l'on n'avait rien su, il n'y avait aucun
mal de fait.

— Voilà qui est juste 1

— Donc ce sont ces bavards de journalistes
les vrais coupables.

— Dites les seuls.

— Seuls donc ils doivent être punis.

— Voilà qui est admirablement logique.

Et, en vertu de ce joli raisonnement, le gou-
vernement, qui s'était chargé d'office de pro-
téger M. le colonel Jung laisse le général de
Cissey se débrouiller tout seul.

On l'a accusé de s'être laisse berner....

On a été aussi loin contre lui qu'on le peut
faire contre un fonctionnaire, dans l'exercice
de sa l'onction.

N'importe, ceci n'est rien.

Qu'il s'arrange comme il lui plaira avec ses
détracteurs.

Le gouvernement, lui, s'en soucie comme
Jules Ferry du premier garçon de café qui l'a
appelé cher confrère.

Cela ne le regarde pas.

L,es secrets de notre organisation militaire,

Ce n'est pas là son affaire !

Je suis devenu très-sceptique, mais j'avoue
qu'en face de cette indifférence, j'ai été litté-
ralement stupéfié 1

Castigat..., rien «la tant.

La petite comédie de la dispersion des con-
grégations continue.

Actuellement elle tourne à la farce grotesque.

Les religieux se cadenassent à centuple tour,

Murent leurs portes,

Elèvent des barricades,

Et, pendant que leurs amis montent la garde
avec des fusils et des gourdins au dehors.

Eux, au-dedans, bourrent les canons de l'E-
glise jusqu'à la gueule.

Affûtent leurs excommunications de der-
rière les fagots,

Et se tiennent prêts à croiser le goupillon
contre les agents de la force publique.

Pose bien inofleiisive, au demeurant.

Anodine comme l'eau de Lourdes.

Mais il résulte de tout cela une stérile agita-
tion dont nous n'eussions pas eu lo specîacle
si, comme nous l'avons dit, au matin du 30
juin, on avait été cueillir tous ces bonshoui-
mcs-là en leur disant :

« Mes gaillards,

« Vous avez eu trois mois pour faire vos nul-
les et filer en chemin de fer. Vous n'en avez
pas profité. Tant ( is pour vous. Maintenant,
nous allons vous installer dans des paniers à
salade et vous conduire à la frontière la plus
éloignée à petites journées.

«Allons, hop! et à la première tentative de
résistance, les poucettes!»

• f, >'■■'■' '

Ce qu'il fallait faire.

: Mais nous n'aurions pas eu surtout ce spec-
tacle si, comme nous lo demandions, on avait
renoncé à l'arbitraire pour laisser à tous la li-
berté.

A l'heure qu'il est, les jésuites n'auraient
pas besoin de se déguiser en gommeux de sa-

| cristie pour enseigner aux G.......et aux V....

I de l'avenir que deux lilles peuvent avoir des
enfants avec leur père, le seul juste de So-

! domol

! La réunion du cirque Fernando aurait peut-

• être jeté un jour utile sur la ténébreuse affaire

Cissey...

Et les associations libres de libres-penseurs
commenceraient déjà à tailler de rudes crou-
pières aux calotius do tout poil.

Mais je vous demande un peu de quoi nous
nous mêlons, nous autres fous, d'aller donner
' des conseils à des gens sérieux-

Ils savent aussi bien, mieux que nous-mème,
j ce qu'il faudrait l'aire. Ils ne renoncent môme
1 pas à lo faire un jour. Seulement ils ne sont
I point pressés.
' Ils ont le Temps!

Question finale.

A présent que les jésuites, les capucins et
j les carmes, ces puits de science, ces abiines
! de sapience sont dispersés aux quatre coins de
j la France, je n'ai plus nul espoir de trouver
| aucun théologien assez expert pour me four-
'. nir une réponse à cette question, que je me
i pose parfois, plein d'anxiété :

— Les hommes ont été tirés de la poussière,
' l'Ecriture nous le dit.

j Mais les nègres?

Les nègres ont-ils été extraits de la poudre
de charbon?

Gringoirk.

BLAGUES ET 3NONS

Epilogue de l'affaire Anatole :
Le gouvernement va faire graver sur tous
les monuments publics l'inscription suivante:
Défense do déposer aucune excommunication
le long de ce mur.

X

Sarah Bernardt, avant de débarrasser d'elle,
notre belle patrie, avait fait demander par
Busnach, une entrevue à Rachefort, pour cau-
ser a des choses de France. »

— Parfaitement, répondit celui-ci. Dites à
Sarah que, si elle consent à m'abandonner la
Champagne, je suis prêt de mon côté à lui
laisser la Franche-Comté. Du reste, je connais,
dans le bas de la rue des Martyrs, un petit
caboulot affreusement borgne où on nous fera
l'oeil au besoin, et où nous serons à merveille
pour causer plus amplement do tout ceci.

Tète de Busnach !

[Rigoureusement authentique).

X

La « charmante actrice » va donc enfin trou-
ver là-bas les appointements qu'elle a le droit
d'espérer.

Si 1000 dollars par soirée ne lui suffisent pas
encore, elle aura, au surplus, la ressource de
faire des heures en plus, en se faisant exhiber
dans la journée par Barnum.

X

M. et Mme Loyson quittent déûnitivement
la Tertullia.

Mais ce n'est pas par suite de mauvaises
affaires: au contraire, c'est pour s'agrandir.

Allons tant mieux.

X

On vient d'installer un orgue aux Folies-Ber-
gère.

Espérons que Sari n'aura pas l'idée de nous
faire entendre de la musique sacrée.

Je préfère à cela tout l'Hervé, bien que ce
soit, parfois, de la sacrée musique.

X

Vu l'abondance d'huitres, les coquilles se
font plus nombreuses que jamais.

L'autre jour, j'ai trouvé celle-ci dans Y In-
transigeant :

« Les nouvelles du cz;ir sont mauvaises. Son
état de santé est loin d'être satisfaisant.

X

Le Gaulois a dépêché un de ses reporters à
Jersey, pour y voir les jésuites:

« Ils sont très-mal, dit-il, où les autres étaient
très-bien. Ils admirent, comme il convient, les
papiers superbes relevés de baguettes d'or; mais
ils rêvent là, les humbles cellules aux murs blan-
chis à la chaux qui contiennent un lit de fer, une
table, quatre chaises depadle pour tout ameuble-
ment, un Christ pour tout ornement. »

Les pauvres geusl Avoir des goûts si sim-
ples et ne pouvoir les satisfaire! Les pauvres
gens 1

X

Mœurs cléricales :

A Tulle « une bonne sœur » a contraint un
pauvre enfant à lécher à terre un crachat « qui
n'était pas le sien. »

Le préfet a révoqué la « bonne sœur, s

La révocation nous semble une peine bien
légère.

Après cela, à Tulle...

X

Lu, dans la Justice, cette réclame en faveur
du Foyer illustré, qui : « publie un roman en-
tièrement inédit de J. Claretie. »

Entièrement inédit est bien. Je me plais à
rêver un monsieur doué d'assez d'aplomb pour
annoncer un roman « dont quelques parties,
habilement reliées, du reste, et encadrées dans
une action neuve, auraient déjà obtenu du pu-
blic un excellent accueil. »

X

Le Gaulois annonçait, tout comme s'il s'était
agi d'un ministère, que Ivan de Wœstyne
ayant donné sa démisssion, il l'avait acceptée.

Qu'il la refusât, et qu'il contraignit Wœstyne
à lui livrer i de la bonne copie » eût été infi-
niment plus original.

X

Marchons sur les plates-bandes de l'ami Pi-
chenette, en déterrant ce huitième couplet de
la chanson si populaire « J'ai du bon tabac »
de l'abbé d'Attaignant.

Tel qui veut nier l'esprit de Voltaire
Est, pour le sentir, trop enchifrené ;
Cet esprit est irop raffiné
Et lui passe devant le nez.
Voltaire a l'esprit dans sa tabatière
Et, du bon tabac, tu n'en auras
Pas.

X

Le Figaro pose cette simple question :

— Est-il vrai que M. Gambetla soit sur le
point d'acheter a l'Etat l'ancien domaine im-
périal de Villeneuve-l'Etang, qui doit être tra-
versé par une ligne de chemin de fer?

Question canaille. Mais il est maladroit de ne
pas avoir répondu.

X

L. Ch. A. de Janson écrit ceci au Figaro :
J'offre l'hospitalité à dix-neuf membres d'une des
congrégations persécutées et errantes, dans une
petits propriété que je possède en province, près
Paris, et dans laquelle je ne compte rentrer que
dans le mois de mai.

J'autoriserai mes hôtes à avoir une meute de
bull dogs féroces qui n'auront d'autre mission
que d'étrangler les malfaiteurs, de quelque nom
qu'ils s'affublent, qui tenteront de violer mon do-
domic le

Je donnerais de grand cœur cinquante cen-
times pour que le malfaiteur en question soit
M. L. Ch. A. de Chanson en personne, reçu
chez lui comme Orgon par Tartuffe.

Le fameux:

La maison est à moi, je le ferai connaître.
N'aurait jamais été plus comédiquement dit
que par l'un des 19 religieux en question?

Il appert de documents publiés par le Vol-
taire qu'une maison honteuse de Pézenas, ap-
partenant à la Reine Blanche fut vendue à l'ab-
besse séculière Reynaude de Melun.

Vilains calotins, il vous sied bien vraiment
de blaguer D......1

X

D'après le Télégraphe, trois évèchés reste-
ront vacants jusqu'au mois de janvier.

Parions que les vacances pourraient être
prolongées davantage sans le moindre incon-
vénient.

Si j'étais quelque chose dans les légumes je
me paierais la satisfaction de tenter cette ex-
périence pendant le plus d'années possible.

X

*1 parait que les Anglais ont offert à l'Hel-
vetie de prendre des régiments d'infanterie
suisses à leur service. '

Les Suisses ont refusé avec une indignation
Compréhensible.

Pauvres Anglais, ils en sont donc réduits à
manquer de sang?

Leur chétive armée, pour ne point mourir
d'anémie, sera sans doute un jour obligée de
n'employer d'autre fer que le fer Bravais.

X

Les Mexicains viennent d'anéantir la bande
du chef Victorio. Celui-ci a été tué avec 50
guerriers et 18 femmes et enfants.

Manière comme une autre d'inculquer à ces
sauvages les beautés de la civilisation.

X

Aleajacta est!

Ce Feringhea de Journal officiel a parlé ! Le
Séual et la Chambre sont convoqués pour le
9 novembre 1880.

Donc dans 1S jours nous aurons du nouveau
sur la planche...

Et du vieux à nous mettre sous la dent.

Tant pis pour eux, il y a si longtemps que
nous jeûnons que nous l'avons longue I

B'uridan.
-------------

GAZETTE DE M0NTRET0UT

Problême

« On a examiné cette année à la Présidence
14,uu0 demandes de Sous-Préfectures s

Vous avez bien lu : quatorze mille candi-
dats pour 330 postes de 4,i>00 à 8,000 francs.

Zola lui même, le fameux Zola, fait partie
des 14,000 postulants.

El, s'il tombe aujourd'hui le gouvernement,
c'est que sa demande n'a pas été prise en sé-
rieuse considération.

Être Sous-Préfet, quel beau rôvel

Et quel métier facile 1 Sans compter « la ri-
che héritière » qui ne manque jamais d'être
séduite par le piestige de ces fonctionnaires
inutiles qui n'ont guère d'argent que sur les
coutures de leur culotte d'uniforme I

Entre autres problèmes politiques dont je
travaille à trouver la solution, je me suis bien
souvent demandé à quoi pouvaient servir
les sous-préfets.

J'avoue, à ma honte, que je suis resté le bec
dans l'eau.

A 1 instar du Figaro, qui ouvre de temps à
autre des concours pour savoir entre autres
choses instructives, si l'on doit manger les as-
perges de la main droite ou de la main gau-
che — je viens faireappel aux lumières de mes
lecteurs.

La photographie de Nicolas Flammèche et
un autographe de Jules de la Verderieà qui
nous enverra une réponse satisfaisante.

En attendant, les 14,000 candidats arpentent
des yeux chaque matin, les plates bandes de
1 Officiel. Parce qu'ils sont cousins de députés,
neveux de sénateurs ou bâtards de ministres,
ces pauvres dévoyés s'imaginent qu'ils doi-
vent être fonctionnaires et butiner au bud-
get.

Et dire qu'ils pourraient faire fortune dans
l'industrie, le commerce ou les beaux arts.
Mais non, ces 14,000 futurs inutiles préfèrent
gagner cinq ou six mille francs à ne rien faira
que vingt ou trente mille en travaillant.

Triste 1 Triste I Ne se sentant pas le courage
d'être quelqu'un, ils veulent être quelque
chose !

I/Échelle sociale

Dédiées aux classes dirigeantes, ces lignes,
absolument révolutionnaires :

« La fable raconte que les degrés les plus
élevés d'une échelle dirent un jour avec arro-
gance aux degrés inférieurs : f Ne croyez pas
que vous soyez nos égaux ; vous êtes dans la
boue, pendant que nous dominons librement
dans l'espace ; la hiérarchie des échelons a été
introduite par la nature, elle est consacrée
par le temps, elle est légitime. » Un philo-
sophe, qui passait par là, entendit ce nobla
langage ; il sourit et retourna l'échelle. *

Qui est-ce qui a écrit cela?

Félix Pyat ?

Non, c'est Jules Simon.

Qu'en pensent ses amis les jésuites ?

Contraria contrarïîs

Le prince Roland, fils du prince Pierre Bo-
naparte, va épouser prochainement une jeune
personne atrocement millionnaire, dont le
père a ratissé sou immense fortune en exploi-
tant les vices do ses contemporains dans ses
salons de rouleite et de treule et quarante de
Monie-Carlo.

Le fils du meurtrier de Victor Noir épousaut
Mlle Blanc,

Quel drôle de comble 1

l-'C choléra des poules.

Ces maudits savants inventent tous les jours
de nouvelles maladies.

Ou se rappelle avec quelle joie et quel en-
thousiasme certain docteur annonçait il ,v a
quelques années à ses collègues de "l'Académie
des sciences « qu'il avait eu le bonheur de
retrouver chez un malade des symptômes de
la peste noire de Marseille. »

Et cet autre qui a été assez heureux pour
découvrir le pou du pou (pediculus pediculi).
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