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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0186
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LE GRELOT

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vu des journaux o-au'è», par IVr.tremts* M.
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TimfS, de Londres....

JlOlVKRS...........,....

Union..................

Voltaire................

lonmaoï

Pris par l'entremise liu Grelot, lt» ib'miurmrnt*
à tous /es autres journaux de Pari* donnent sya-
l'mznt droit à la f*tHne pendant un temp* plue ou
n oms long.

la.

0!i oui!. .

Et c'est tout ce que çà mérite.
Lt encore I...

M. Baudry d'Asson peut se vanter d'avoir
tout fait pour être parfaitement ridicule,

Et il y a comp'ètement réussi.

Une seule chose a manqué à son triomphe,
c'est d'avoir fait sa rentrée à cheval.

Passer par un vasistas, c'est bon pour
Baudry,

Mais, d'Asson, doit à ses ancêtres de che-
vaucher, la lance au poing, à travers les trou-
bades éperdus du colonel Riu.

Quant à Bescherelle, transpercé par cette
bonne lame de Tolède, il eût dû déjà mordre
la poussière.

Lorsqu'on joue les Don Quichotte, il faut les
jouer jusqu'au bout, sous peine d'ôlre sifflé.

M. Baudiy d'Asson est tombé dans les pom-
mes cuites du ridicule.

C'est triste..- avec un côté consolant.

Le pays ne pourra, en etfet, voir sans indi-
gnation ces pitres de la royauté, ces fantoches
du droit divin, qui,se voyant délaissés par une
galerie indifférente, font la parade et battent
la caisse devant un public qui délaisse leur
baraque et leurs boniments.

***

Il y a pourtant dans cette comé lie, quelque
chose de profondément lamentable \ c'est de
voir de» hommes honorables, en somme, et
bien placés, avoir recours, pour soutenir leur
drapeau, à cette mise en scène impudente et
grotesque.

Des hommes de partis, ça 1

Allons donc !

Et quand je vois le sire Baudry d'Asson
vouloir jouer au petit Manuel, cela me fait
bausser les épaulas et me donne une piètre
idée des adversaires de notre République.

Pour descendre à de pareilles charges, il
faui être tombé bien bas.

Heureusement, personne n'est leur dupe;
et la droite ahurie, folle de rage, gris« de
venin, aura beau se démener dans son béni-
tier, frapper les soldats sans armes qui exé-
cutent la loi, elle n'en mourra pas moin*.

Elk est condamnée.

Ce n'est plus la guillotine de 93 qui nous en
débarrassera,
C'est une arme plus sûre :
Le ridicule...
Et le dégoût.

**#

Petit ministère vit encore!

Ça a été assez comique.

Premier jour de la petite fête, entrée de
M. Jules Ferry et lecture du message.

Enthousiasme panaché... vanille et gro-
seille.

Mais enfin ça avait passé.

M. Jules Ferry faisait néanmoins un nez! .

Ce qui, du reste, ne lui était pas difficile.

Tout d'un coup la Chambre entend que la
loi sur la magistrature passe avant celle sur
l'enseignement, laquelle est l'enfant chéri du
président du Conseil.

A cette proposition, lenoz deM. Ferry passe
à l'état de mat de Cocagne.

Et le dialogue suivant s'engage :

La majorité.
Votre loi ne passera pas.

M. Fekry.
Elle passera, na!

La majorité.

Non.

Sil
Non.

M. Ferry.

La majorité.

M. Ferry.
Alors, je rends mon tablier.

La majorité.

Ça va !

Et crac!., plus de ministère! .

Le lendemain tout se rabiboche.

Le nez deM. Ferry revient à ses propor-
tions normales, le ministère est repêché, tout
le monde s'embrasse.

Eh bien, messieurs de la Chambre, si vous
croyez que le pays la trouve drôle!...

Ali, mais non!..

Voyons, plus de blagues, hein?

On vous passe encore celle-ci.

Mais désormais, travaillons!.. et qu'on nous
fasse de bonne besogne. Ou sinon, aux élec-
tions prochaines, gare là-dessous ! !...

Nicolas Flammèche.

Notre doi.^t dans I'<cil.
Tout va bien !

Nous sommes heureux de le consi.ater, nos
provisions pessimistes de la sernaiue dernière
ne se sont aucunement réalisées.

Les gens que nous avions tués se portent
as.-tz bien.

Le De Profnndis enlonné par nous sur leur
tombe doit être considéré Comme nul el coû
avenu.

Rengainons donc notre oraison funèbre.
Nous n'éprouvons du reste aucune peine à le
faire.

Nous n'avions point pleuré sur leur cata-
falque...

Il nous en sera d'autant, plus facile et moins
pénible de déclarer que c'était pour rire.

Won I<Vrry n'est pas mort, été. (Air canna.')

Doncques, le cabinet Ferry, né, il n'a pas
encore avoué de quoi, nous le maintenons,

Ei tué on ne sait pourquoi, — nous sommes
prèls â nous fendre d'un superbe garenne
au profit du 363 qui pourra nous expliquer
son vote d'il y a eu mardi huit jours,

Le cabinet Ferry, supérieur à Dieu le Fils
lui-même, est ressuscité, sans même attendre
pour cela le troisième jour.

A dire vrai, nous ne saurions lui tenir
rigueur de s'être fait offrir par la majorité,
redevenue docile, un supplément d'existence.

Il nous a épargné ainsi l'aggravation d'uue
situation déjà passablement ridicule, ainsi que
je vais vous l'exposer ci-après :

Cabinets Jcannat.

Nous avons eu d'abord le cabinet Dufauref
iwur ne pas remonter plus loin que ce hérisson
blanc, quasiment contemporain du déluge.

Puis )e cabinet Waddington, qui n'était
au ire que le cabinet Dufaure sans Dufaure ;

Puis le cabinet Freycinet, qui n'était attife
que le cabinet Waddington sans Waddington ;

Puis îe cabinet Ferry, qui n'est autre que le
cabinet Freycinet sans Freycinet;

Nous étions menacés d'avoir un cabinet, je
ne sais qui, qui n'aurait été autre que le
cabinet Ferry sans Ferry ;

Ouelque chose comme un café sans gareon,

Ou une figure de garçon de café saus i'avo-
rie.

Ce suprême ridicule nous a été épargné.
Allons, tant mieux I

On a consenti à renoncer à ce jeu perpétuel,
renouvelé de lajarce du couteau de .Teannot.
Nul, a vrai dite, u'a connu ce Jeannot,

Mais tout le monde sait l'histoire de son
couteau.

Ou en changeait successivement le manche,
puis la lame...

De telle sorte qu'il ne restait rien du cou-
teau primitif,

Et que, cependant, c'était toujours le couteau
de Jeannot.

Les choses se sont passées de même pour
nos ministères.

On en a alternativement changé les chef-?,
puis les membres.

Et, comme résultat, c'est toujours Mftif,
comme doit dire Albert Grévy, quand il cause
à ses bons Arbis.

t

Mi nous rétractions nos excuses.

Au fait, je ne sais trop pourquoi je m'accuse
d'avoir manqué de perspicacité il y a huit
jours.

J'ai dit que plus çachangerait, plus ça serait
la même chose.

Eh bien! c'est toujours la même chose, mais
ça u'a pas changé voilà tout. >

On nous a laissé Ferry.

Allons ! c'est qu'on n'a pu trouver pis 1

Parlons-en peu aujourd'hui en. peut-être
Ni vous ni moi n'y songerons demain.

Vous ne vous attendez pas, j'imagine, à ce
que nous nous attardions à longuement causer
au nommé Baudry d'Asson.

Cet excellent écuyer est, de plus, doublé
d'un parfait fumiste.

H a voulu jouer au petit Manuel.

On a été assez simple pour lui offrir cette
anodine satisfaction au lieu de le laisser diva-
guer durant une heure au risque de lui voter
ensuite une douche d'honneur, pour clore la
discussion...

C'est bien!

Tirons le rideau, la farce est jouée!

Non bis repetita placent.

Espérons, par exemple, qu'on ne la recom-
mencera plus;

Et surtout que, si un député se met dans le
cas de mériter les honneurs du petit local, ou
l'expulsera dans d'autres conditions.

L'inviolabilité du député doit avoir des
bornes, que diable I

Du moment où un « honorable » s'est mis
dans le cas d'être mis dehors ou dedans parla
lorce armée, if est souverainement ridicule
de désarmer celle-ci avant Ue s'en servir.

Tous ceux qui se font complices de ce dé-
linquant se placent, de ipso facto, dans le
même cas que lui.

Et puis, non d'un fichtre, pas tant de rai-
sonnements. .

Si j'avais été, comme soldat français, chargé
d'empoigner un Baudry d'Asson,

Moi, a qui on reconnaît le droit de ne pas
souffrir que mon colonel me touche du bout
du doigt,

Je vous fiche mon billet que je n'aurais pas
reçu une claque d'un réactionnaire sans la
rendre.

Ah ! mais non !

Il n'y aurait pas eu de menace de mise en
prison qui tienne,

Voir même de perspective de conseil de
guerre qui me retienne :

Je l'aurais rendue.

Vlau ! sur la joue droite.

ISl si, en bon chrétien, il avait tendu la
gauche.

H,- Vian, j'aurais continué à la rendre, chré-
tiennement aussi.... au centuple !

I/inamovibilité amovible.

Le projet de réforme de la magistrature qui
a l'honneur insigne d'être défendu par ce
Lotii", que, comme le roi Soleil, ou qualifie de
Legrand, me parait absolument comparable
aux clystères de M. Purgon.

Il est béiiin, bénin, bénm.

Il se réduit à ceci :

Destituer les magistrats,

Et les remplacer par d'autres qui ne vau-
dront pas mieux,

Autrement dit, changer notre cheval borgne
contre un autre qui obéira à un borgne.

Je concède toutefois aux amateurs d'une
rjftUc"e gaité qu'elle est ravissante, cette idée
de suspendre l'inamovibilité pour uu mois, et
de la rétablir solennellement ensuite.

Du moment, où l'on se rera livré une fois à
ce petit exercice, rien n'empêchera de recom-
mencer.

L'inamovibilité sera comme la légendaire
blessure de Georges Duval, fermée de temps
en temps, par exemple les dimanches et
fêtes.

Autrement dit, en dehors des changement^
et des révocations qu'on sera toujours libre de
leur faire subir, on ne poarra loucher aux
magistrats. . -

Je ne vous le cacherai point, je crois qu'en
chershaut, ne fût-ce qu'un peu, on pourrait
trouver mieux à faire qu'à, rendre l'inamovibi-
lité amovible !

Gringoirk.

GAZETTE DE MQNTRETÛUT

Un Manuel pour rire.

Ah! mes enfants, quelle semaine d'émotions,
de commotions et de démissions ;

Ferry nous reste. Merci mon Dieu. Mais» Bau-
dry va nous manquer hélas pendant quelques
jours.

Ah! qu'il devait êlre beau ce fils des croi-
sés, ce laid preux, luttant,à main plate avec
le colonel Liu.

— Enlevez monsieur 1

— Le premier qui me touche...
El, comme dans un bal de barrière quand la

police opère une expulsion, tous les soute-
neurs du droit divin sont venus faire au fils
des géants un rempart de leurs corps.
La lui te a été chaude.

Nos soldats ont enduré stoïquement les in-
sultes et les coups de poing de ces aimables
c...... titrées m» qui peuvent venir nous prê-
cher maintenant le respect de l'uniforme !

Donc Jean Beaudry... d'Asson a étrenné le
Petit Local du Palais Bourbon.
Il a couché sur la paille humide des cachots!
Il a souffert mille morts.
Il a été mordu par mille punaises.
Pour son Dieu et son Roy.
Bien amusant ce Manuel des sables d'Olonne.
Car il s'est trouvé des journaux pour com-
parer à notre grand Manuel le jockey, à la
barbe noire, le Prémontré récalcitrant qui a
voulu nous montrer que le dernier jésuite
saurait résister à l'expulsion etiam manu
militari.

Lui, Manuel, ah laissez moi rigoler pour
deux sous.

Manuel tant qu-'on voudra, mais ce n'est
certes pas le Manuel de la Civilité puérile, et
honnête !

Bradlaugh et Beaudry-d'Asson.

En juin dernier la Chambre des communes
d'Angleterre procédait, elle aussi, à une ex-
pulsion.

Elle refusait d'admettre en son sein le dé-
puté radical et athée Charles Bradlaugh, re-
présentant de Nordhampton.

Bradlaugh, qui, dans une réunion publique,
avait, eu l'audace de s'éciier :

— Je vais vous prouver, moi, quele Bon Dieu
n'existe pas.

Et tirant sa montre, il continua :

— Je mets au défi le Pere Éternel, de me
foudroyer. Si dans cinq minutes je ne suis pas
réduit en poudre, je suis fondé à conclure qu'il
n'y a pas de Dieu.

Cinq minutes, six minutes se passent et
Bralaugh est toujours à la tribune, les bras
croisés, la tête haute et jetant au ciel un
regard de défi.

Et le tonnerre ne grondait toujours pas !...

C'est en expiation de cette bravade l'aciie
que ses collègues des Gommons, l'ont envové
coucher dans le... Petit local, de la tour de
l'Horloge de Westmiusler. L'athée Bradlau.rti
qui est à Paris en ce moment, s'est empresse,
û'envoyer sa carte au jésuite Baudry, avec ce
curieux autographe.

« Expulsés tous les deux. Moi, parce que je
ne crois pas en Dieu, vous parce que vous y
croyez trop.

Bradlaugh.

***

Le concours des coiffeurs

Grand concours de coiffeurs, au Palais de
l'Industrie.

Trois quarts d'heure étaient accordés à nos
artistes capillaires, pour montrer leurs petits
talents.

Le premier prix a été décerné à un M. La-
chia (vilain nom) qui a métamorphosé une
tôle de femme, en paysage pittoresque : mon-
tagnes, vallées, bois touffus, petits oiseaux,
rieu n'y manquait.

Il y a a Paris cinq mille coiffeurs.

Quand on pense que chacun de ces merlans
e~t l'inventeur d'un spécifique infaillible pour
faire repousser les cheveux-

Ou ne peut s'empêcher d'accuser M. le Mi-
nistre, des Beaux-Arts du manque absolu de
patriotisme.

Eu effet si j'eusse en l'honneur de m'appeler
Turquet je nie fasse empressé de fenir à ces
cinq mille, inventeurs de pommades, de lotions
phijticomes le petit discours suivant:

Vous allez vous réunir tous au Palais de l'In-
dustrie. Eh bien je vous livre Siraudin et le
vieux DumonL du Gil Blas. Si a vou ciilq mille
vous ne parvenez pas à leur faire « pousser
au moins cinq brin de fil sur la bobine, je vous
fais tous fourrer eu prison comme des cheva-
liers d'industrie.

Ce sont les coiffeurs qui eu auraient fait une
tête!

ï»e par le roi défense à Uis-i;...

L'empereur d'Autriche vient d'en trouver
une bien bonne pour calmer l'emoiioti causée
par lebrelau de tremblements de terre d'Agram.

Six mille personne- adulées ayant quitté la
ville, et la reste se disposant à en faire autant,
le gouvernement vient de faire afficher partout
l'avis officiel suivant:

Que les populations se rassurent!
ii. n'y aura plus DEatremblements de ïerre!

Un gouvernement qui se porte caution des
volcaus.

A la bonne heure, voilà un gouvernement
fort et qui ne tremble pas dev, ni les tremble-
ment de terre 1

***
■hoeking

Je demande des poursuites contre les au-
teurs du diclionaire de l'académie.

Voici ce que je viens de lire dans ce respec-
table recueil:

Homme. — Terme générique qui embrasse la
feavtiie.

***

Va m»t d'actrice

— Pourquoi as lu rompu avec Gustave?

— A.h ma chère c'était, un monstre. Imagiiie-
toi qu'il battait maman quand je le trompais?

MONTRETOUT.
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