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173°.
N°.34i.
10.8 Recueil des Machines
avancer Ia seconde d’une division, que lorsqu’elle aura fait
une révolution entiere, de même que la seconde qui est la
roue des sols pour faire avancer la roue des unités. On a
été obligé de faire un petit pignon e posé sous le grand, &
demême nombre que lui, dont les dents sont proportion-
nées à celles de la roue des sols ; par ce rnoyen la derniere
division de la roue des sols fait avancer ausïi d’une divi-
sion celle des unités, qui n’en parcourroit qu*une demie
sans cette précaution.
Voici la méchaniqueemployéepour queles mouvemens
de la rangée d’en-bas fasse agir les mouvemens de la
rangée d’en- haut.II faut plier l’onglet de dessus, & n’avoir
attention qu’à songlet inferieur, la machineétant toujours
supposée renversée.
TPQR elf une piece de cuivre mobile au point P, dont
lebout T étant renconcré par la dent n de la roue de ce
dernier mouvement, cette piece est obligée d'obéir ; pour
lors le bout R pousse le levier V X mobile sur le pi-
vot du premier mouvement CC ; à ce levier est attaché
un cliquet N, mobile sur le point X & poussé par le res-
sort I dans une dent du rochet O; ensorte que quand le le-
vier V est poussé de bas en haut par la piece R, le ro-
chet O est obligé de tourner, & par conséquent tous ies
mouvemens ausquels il est adapté; & quand la dent n laisie
échapper la même piece TPR , le ressort p repouste le ie-
vier XV, qui remet le tout dansson premier état. L est
un support dans lequel se meut sautre grande piece TPR.
La méchanique des roues de quotient constste en ce qui
suit.
Les rochets XX, &:c. sont des rochets dont ies dents sont
en même nombre que les chaperons sur lesquels iîs sont
posés, & dont les chiffres paroissent à l’extérieur dans ies
ouverturesquarréesjoiisonvoitdes chiffres 3,3, o, 2, co;le
rochet des deniers est donc divisé en 12, celui des sols en 20,
& les autres en 10. II y a sous chacun de ces rochets une
173°.
N°.34i.
10.8 Recueil des Machines
avancer Ia seconde d’une division, que lorsqu’elle aura fait
une révolution entiere, de même que la seconde qui est la
roue des sols pour faire avancer la roue des unités. On a
été obligé de faire un petit pignon e posé sous le grand, &
demême nombre que lui, dont les dents sont proportion-
nées à celles de la roue des sols ; par ce rnoyen la derniere
division de la roue des sols fait avancer ausïi d’une divi-
sion celle des unités, qui n’en parcourroit qu*une demie
sans cette précaution.
Voici la méchaniqueemployéepour queles mouvemens
de la rangée d’en-bas fasse agir les mouvemens de la
rangée d’en- haut.II faut plier l’onglet de dessus, & n’avoir
attention qu’à songlet inferieur, la machineétant toujours
supposée renversée.
TPQR elf une piece de cuivre mobile au point P, dont
lebout T étant renconcré par la dent n de la roue de ce
dernier mouvement, cette piece est obligée d'obéir ; pour
lors le bout R pousse le levier V X mobile sur le pi-
vot du premier mouvement CC ; à ce levier est attaché
un cliquet N, mobile sur le point X & poussé par le res-
sort I dans une dent du rochet O; ensorte que quand le le-
vier V est poussé de bas en haut par la piece R, le ro-
chet O est obligé de tourner, & par conséquent tous ies
mouvemens ausquels il est adapté; & quand la dent n laisie
échapper la même piece TPR , le ressort p repouste le ie-
vier XV, qui remet le tout dansson premier état. L est
un support dans lequel se meut sautre grande piece TPR.
La méchanique des roues de quotient constste en ce qui
suit.
Les rochets XX, &:c. sont des rochets dont ies dents sont
en même nombre que les chaperons sur lesquels iîs sont
posés, & dont les chiffres paroissent à l’extérieur dans ies
ouverturesquarréesjoiisonvoitdes chiffres 3,3, o, 2, co;le
rochet des deniers est donc divisé en 12, celui des sols en 20,
& les autres en 10. II y a sous chacun de ces rochets une