164 SUR LE NOM (j -75- { M f\^1
de Trab un peu à l'est de Tourmanin ou plutôt de Tereb,
YAtareb, le Cerep des chroniques du royaume de Jérusalem,
au sud de Tourmanîn.
§ 16
Sur le nom ( tt ( (
Un des noms sur la prononciation desquels on a le plus
disputé est celui de ( -yr ( ( r^^i : selon les valeurs qu'on
a attribuées dans les derniers temps au signe "H-, on peut
le lire Amasi ou Asbi. Autant que j'en puis juger par les
travaux contemporains, la véritable prononciation, celle de
E. de Rougé, Asi, a été abandonnée à peu près.
Aux raisons de E. de Rougé, on peut enjoindre une autre,
tirée des analogies graphiques. ~~7r~ se compose de —*— posé
sur W La plupart des signes longs z=i},-, (j se mon-
tent de même sur les jambes j\ et forment des groupes
dont la valeur est connue : ^jy* — ti, = s/té, ^ = î.
Le verbe L^-J prend la forme grammaticale en préfixe
et devient ■^^L^f-J, ou bien on a le verbe L^-J , écrit
parfois C3P avec la réunion de L^-J et de e-jç-. De même
. De même que
de la formejj ^îzP on n'a jamais conclu à une lecture
botit de s=^p tj\ > ^e meme clu'à côté de L^-J on a une forme
secondaire -^^L-^-J , sans pourtant exiger que L^-J se lise
mashé, je ne vois pas pourquoi on prétendrait imposer au
signe ~~7r~ la lecture mûsi parce qu'il y a une forme secon-
1. Extrait de la Zeitschrift, t. XXIII, p. 6-7.
de Trab un peu à l'est de Tourmanin ou plutôt de Tereb,
YAtareb, le Cerep des chroniques du royaume de Jérusalem,
au sud de Tourmanîn.
§ 16
Sur le nom ( tt ( (
Un des noms sur la prononciation desquels on a le plus
disputé est celui de ( -yr ( ( r^^i : selon les valeurs qu'on
a attribuées dans les derniers temps au signe "H-, on peut
le lire Amasi ou Asbi. Autant que j'en puis juger par les
travaux contemporains, la véritable prononciation, celle de
E. de Rougé, Asi, a été abandonnée à peu près.
Aux raisons de E. de Rougé, on peut enjoindre une autre,
tirée des analogies graphiques. ~~7r~ se compose de —*— posé
sur W La plupart des signes longs z=i},-, (j se mon-
tent de même sur les jambes j\ et forment des groupes
dont la valeur est connue : ^jy* — ti, = s/té, ^ = î.
Le verbe L^-J prend la forme grammaticale en préfixe
et devient ■^^L^f-J, ou bien on a le verbe L^-J , écrit
parfois C3P avec la réunion de L^-J et de e-jç-. De même
. De même que
de la formejj ^îzP on n'a jamais conclu à une lecture
botit de s=^p tj\ > ^e meme clu'à côté de L^-J on a une forme
secondaire -^^L-^-J , sans pourtant exiger que L^-J se lise
mashé, je ne vois pas pourquoi on prétendrait imposer au
signe ~~7r~ la lecture mûsi parce qu'il y a une forme secon-
1. Extrait de la Zeitschrift, t. XXIII, p. 6-7.