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https://doi.org/10.11588/diglit.23928#0234
$26 t N V
française d’Amsterdam, 1728, in-8®.
-— Hagedorn, dans la onzième
Considération sur la Peinture, et
quelques-unes des suivantes.
Comme instructions sur l’art d’in-
venter, on peut citer les ouvragessui-
vans : Nouveaux sujets de Peinture
et de Sculpture ; Paris, 1758, in-12.
— Tableaux tirés de l’Iliade et de
P Odyssée cV Homère, et de l’Ænéide
de Virgile, (par le comte de Cay-
Dus ; ) Paris, 1767, in-8°. — His-
toire d’Hercule le-Thébain, à la-
quelle on a joint l’histoire des ta-
bleaux qu’elle peut fournir ; Paris,
1758 , in-8°, par le même. —«
Histoire universelle , traitée relati-
vement aux arts de peindre et de
sculpter, ou Tableaux de VHistoire,
enrichis de connaissances analogues
à ces lalens, par G. André Par-
don ; Paris, 1763 , 5 vol. in-i 2. —
Un ouvrage allemand d'HERRLi-
BERGER, intitulé : Quelques inven-
tions propres des plus grands Pein-
tres et Graveurs ; Zurich, 1744,
in-fol.; et un aulre, également en
allemand, parM. de Sonnenfers,
intitulé : Adresse jaux jeunes Ar-
tistes , pour les encourager à la lec-
ture ; Vienne, 1768, in-8°. Au
reste , l’ouvrage intitulé : Polyphile,
ou le Tableau des Inventions, par
Eeroald, P. 1600, in-40. cité à la
page 507 de la Bibliothèque de
Peinture par M. de Murr , ne
traite pas de l’invention , comme
son titre pourrait le faire croire ;
ce n’est que la traduction française
del’ouvrage latin , intitulé: Hypne-
rolomachia Poliphili, ubi Humana
omnia non nisi somnium esse do-
cet , atque obiter plurima scitu
qtiarn digna commémorai ; Ven,
1499 ’ in-fol., et 15^5, in-fol.
Invention. Un très-ancien ma-
nuscrit de Dioscoride , de la Biblio-
thèque impériale à Vienne, la re-
présente tenant à la main une ra-
cine de mandragore ; Winckel-
marin ne la croit pas, avec raison,
a,usez bien caractérisée.
J O U
Inverse. Un intervalle inverse
ou renversé est opposé à un inter-
valle direct; un accord inverse ou
renversé est opposé à un accord fon-
damental.
Joaillier ; ouvrier qui monte les
pierres gravées, et qui fabrique les
bijoux.
Joie. Voyez, Lætitia.
Jombarde ; nom vulgaire de la
flûte du tambourin , ou flûte à trois
trous, celui par où l’on souille,
celui de la lumière et celui du pa-
villon. On couvre celui par où on
l’embouche d’un cannepin ou cuir
fort délié.
Jonc; bague unie sans chaton, et
dont le cercle est par-lout égal-
Ionien, ou Ionique; le mode
Ionien étoil en comptant du grave à
l’aigu, le second des cinq modes
moyens de la musique des Grecs,
et qui se rapporte à ce qu’on appelle
C dur. Le mode Ionien s’appeloit
aussi Iaslien , et Euclide l’appelle
encore Phrygien grave. V. Mode.
Ionique (Ordre ), en architec-
ture. Voyez Colonne , Archi-
tecture grecque. Ordre.
Jouer d’un instrument, c’est exé-
cuter sur les inslrumens des airs de
musique, sur tout ceux qui leur sont
propres, ou lès chants notés pour
eux. C’est ainsi qu’on dit, jouer du
violon , de la basse, du hautbois,
de r orgue, etc.
Joues. Les joues forment une
des parties principales du visage.
Pour être belles, elles doivent por-
ter un embonpoint convenable, et
avoir une fermeté délicate ; il faut,
de plus , que le rouge et le blanc y
soient bien fondus et mêlés, et qu’il
s’y remarque une gaîté franche ,
jointe à un certain éclat, qui pro-
cède de la blancheur et de la fraî-
cheur du teint. Le Titien , dans un.
tableau représentant une femme
qui dort, a réuni sur les joues de
cette dormeuse séduisante, tous les
agrémens, tous les charmes parti-
culiers aux belles joues»
française d’Amsterdam, 1728, in-8®.
-— Hagedorn, dans la onzième
Considération sur la Peinture, et
quelques-unes des suivantes.
Comme instructions sur l’art d’in-
venter, on peut citer les ouvragessui-
vans : Nouveaux sujets de Peinture
et de Sculpture ; Paris, 1758, in-12.
— Tableaux tirés de l’Iliade et de
P Odyssée cV Homère, et de l’Ænéide
de Virgile, (par le comte de Cay-
Dus ; ) Paris, 1767, in-8°. — His-
toire d’Hercule le-Thébain, à la-
quelle on a joint l’histoire des ta-
bleaux qu’elle peut fournir ; Paris,
1758 , in-8°, par le même. —«
Histoire universelle , traitée relati-
vement aux arts de peindre et de
sculpter, ou Tableaux de VHistoire,
enrichis de connaissances analogues
à ces lalens, par G. André Par-
don ; Paris, 1763 , 5 vol. in-i 2. —
Un ouvrage allemand d'HERRLi-
BERGER, intitulé : Quelques inven-
tions propres des plus grands Pein-
tres et Graveurs ; Zurich, 1744,
in-fol.; et un aulre, également en
allemand, parM. de Sonnenfers,
intitulé : Adresse jaux jeunes Ar-
tistes , pour les encourager à la lec-
ture ; Vienne, 1768, in-8°. Au
reste , l’ouvrage intitulé : Polyphile,
ou le Tableau des Inventions, par
Eeroald, P. 1600, in-40. cité à la
page 507 de la Bibliothèque de
Peinture par M. de Murr , ne
traite pas de l’invention , comme
son titre pourrait le faire croire ;
ce n’est que la traduction française
del’ouvrage latin , intitulé: Hypne-
rolomachia Poliphili, ubi Humana
omnia non nisi somnium esse do-
cet , atque obiter plurima scitu
qtiarn digna commémorai ; Ven,
1499 ’ in-fol., et 15^5, in-fol.
Invention. Un très-ancien ma-
nuscrit de Dioscoride , de la Biblio-
thèque impériale à Vienne, la re-
présente tenant à la main une ra-
cine de mandragore ; Winckel-
marin ne la croit pas, avec raison,
a,usez bien caractérisée.
J O U
Inverse. Un intervalle inverse
ou renversé est opposé à un inter-
valle direct; un accord inverse ou
renversé est opposé à un accord fon-
damental.
Joaillier ; ouvrier qui monte les
pierres gravées, et qui fabrique les
bijoux.
Joie. Voyez, Lætitia.
Jombarde ; nom vulgaire de la
flûte du tambourin , ou flûte à trois
trous, celui par où l’on souille,
celui de la lumière et celui du pa-
villon. On couvre celui par où on
l’embouche d’un cannepin ou cuir
fort délié.
Jonc; bague unie sans chaton, et
dont le cercle est par-lout égal-
Ionien, ou Ionique; le mode
Ionien étoil en comptant du grave à
l’aigu, le second des cinq modes
moyens de la musique des Grecs,
et qui se rapporte à ce qu’on appelle
C dur. Le mode Ionien s’appeloit
aussi Iaslien , et Euclide l’appelle
encore Phrygien grave. V. Mode.
Ionique (Ordre ), en architec-
ture. Voyez Colonne , Archi-
tecture grecque. Ordre.
Jouer d’un instrument, c’est exé-
cuter sur les inslrumens des airs de
musique, sur tout ceux qui leur sont
propres, ou lès chants notés pour
eux. C’est ainsi qu’on dit, jouer du
violon , de la basse, du hautbois,
de r orgue, etc.
Joues. Les joues forment une
des parties principales du visage.
Pour être belles, elles doivent por-
ter un embonpoint convenable, et
avoir une fermeté délicate ; il faut,
de plus , que le rouge et le blanc y
soient bien fondus et mêlés, et qu’il
s’y remarque une gaîté franche ,
jointe à un certain éclat, qui pro-
cède de la blancheur et de la fraî-
cheur du teint. Le Titien , dans un.
tableau représentant une femme
qui dort, a réuni sur les joues de
cette dormeuse séduisante, tous les
agrémens, tous les charmes parti-
culiers aux belles joues»