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0.5
1 cm
O P E
de Bagdad , et il y mêla adroite-
ment l'éloge de Murad. Il le fit
d’une voix si agréable et avec tant
d’habileté , que? le sultan ne put
s’empêcher de verser des larmes ,
et qu’il ordonna de faire grâce au
reste des habitans. Cet événement
pourroit très-bien former le sujet
d’un opéra. Le poète pourroit choi-
sir un endroit dans Bagdad où se-
roient rassemblés le musicien dont
il vient d’être question , avec sa
famille et quelques amis ou habi-
tans distingués de la ville, pour
attendre cette terrain raiaeii'nntifl.
Il seroit facile d’i E:
un motif pour rasi Et
la scène des femj — 2
gens et des jeune —
donner à l’action p :z_
virtuose qui joue “ w
découvre à ses a ——
par la crainte et 1 ~
mi
— O
pose. On apprenc
permis de conduil
vaut lui ; l’un est
poïr d’un heured
a recours à la prf
du ciel une issu<
troisième encore
succès, et résigné
vitable, prend d
amis. Le poète
transporter les s
la tente ou le pala
propose d’entendi
peut représenter <
ses chants plaint:
T\lein rt’émnlirm M —
— O)
— CO
= N
= (0
= in
05
O
— -<t
= co
m
o
CO
CD
CM
CD CD
O
OPE (167
d’un grand effet. L’auteur à^Jna-
créon chez Polycrale a en quelque
sorte imité ce sujet , mais d’une
manière peu heureuse, en faisant
employer l’effet de la musique pour
désarmer la rigueur d’un père con-
tre deux jeunes amans, et en attri-
buant faussement cette action à un
personnage trop célèbre pour qu’on
puisse ajouter à son histoire aucune
particularité qui ne soit consacrée
par la tradition.
Un homme de génie trouveroit
certainement beaucoup de sujets
nrnnrps à des onéra . sans avoir be-
1 J irent si
ant est
Est trop
■echer-
, que
? perd
edit un
ant an
le deux
t même
ibe. Cet
sir in —
l’inlro—
I ’hange-
nnoître
I r voix.
|e chant
i de vi-
tous les
I fait mo-
uelque-
ît d’une
"eut j us-
presque
| urs au-
[ue cela
s avec
, et ils
rescrire
! is qu’ils
;s clian-
' ioint, et
l'impnl-
oduisi-
nt d’or-
e le plus
s paroles
= CM
E E
— O
de Bagdad , et il y mêla adroite-
ment l'éloge de Murad. Il le fit
d’une voix si agréable et avec tant
d’habileté , que? le sultan ne put
s’empêcher de verser des larmes ,
et qu’il ordonna de faire grâce au
reste des habitans. Cet événement
pourroit très-bien former le sujet
d’un opéra. Le poète pourroit choi-
sir un endroit dans Bagdad où se-
roient rassemblés le musicien dont
il vient d’être question , avec sa
famille et quelques amis ou habi-
tans distingués de la ville, pour
attendre cette terrain raiaeii'nntifl.
Il seroit facile d’i E:
un motif pour rasi Et
la scène des femj — 2
gens et des jeune —
donner à l’action p :z_
virtuose qui joue “ w
découvre à ses a ——
par la crainte et 1 ~
mi
— O
pose. On apprenc
permis de conduil
vaut lui ; l’un est
poïr d’un heured
a recours à la prf
du ciel une issu<
troisième encore
succès, et résigné
vitable, prend d
amis. Le poète
transporter les s
la tente ou le pala
propose d’entendi
peut représenter <
ses chants plaint:
T\lein rt’émnlirm M —
— O)
— CO
= N
= (0
= in
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O
— -<t
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CM
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O
OPE (167
d’un grand effet. L’auteur à^Jna-
créon chez Polycrale a en quelque
sorte imité ce sujet , mais d’une
manière peu heureuse, en faisant
employer l’effet de la musique pour
désarmer la rigueur d’un père con-
tre deux jeunes amans, et en attri-
buant faussement cette action à un
personnage trop célèbre pour qu’on
puisse ajouter à son histoire aucune
particularité qui ne soit consacrée
par la tradition.
Un homme de génie trouveroit
certainement beaucoup de sujets
nrnnrps à des onéra . sans avoir be-
1 J irent si
ant est
Est trop
■echer-
, que
? perd
edit un
ant an
le deux
t même
ibe. Cet
sir in —
l’inlro—
I ’hange-
nnoître
I r voix.
|e chant
i de vi-
tous les
I fait mo-
uelque-
ît d’une
"eut j us-
presque
| urs au-
[ue cela
s avec
, et ils
rescrire
! is qu’ils
;s clian-
' ioint, et
l'impnl-
oduisi-
nt d’or-
e le plus
s paroles
= CM
E E
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