Le poème de Pentaour.
23
P. S. VIII, 1.
i i i
L.63. ^
K. 54.
i d
m
pai-k menji-u tai-k tente hetâr se àmen1 àri-u em tut-ui-f
ton infanterie, ta cavalerie, ô- fils d'Ammon, fait par ses mains!
P. S. VIII, 2.
L. 63.
K. 55.
AAA/NAA
to en yeta em yopes-k keni ntok yerau-ti
Tu as détruit le pays de Khéta par ton glaive victorieux: tu es le combattant
I
nefer3 à?i mâ-ti-k suten %erau lier menfi-u-fi hru %erau
bon! Pas semblable à toi de roi, combattant pour Ses soldats au jour du combat!
P.S.VIII,3. ïi\ ™ ~ -S0®D|v f]?()(] ^ ^ IU ^flû ^ ^
AAAAAA
K. 55. ~ —d «=^<0> a
TiiwA;5 aa /ja£i £ep em sekiu6 6 m far7 - nek to
Tu es le grand de cœur, le premier dans la mêlée. Tu ne fais pas attention au monde
par exemple : creuser un puits, et de là : «tirer du danger». — Le papyrus a fait une nouvelle faute en
mettant : sut kuà : «j'ai sauvé du danger» : ce n'est pas le roi qui parle.
1 Karnak met : fils d'Ammon, tandis que le papyrus porte : fils de Tum.
2 ® *=*^\> * dépouiller, ruiner, dévaster, détruire». Bkogsch le rapproche de Ê(ouj, nudare,
spoliare. -j^ ;
«marcher à la ruine» se dit d'un édifice : ce mot a donc un sens assez
, , , o lTJr<=> ® a ' ©
gênerai. — Le papyrus semble encore fautif : il faut peut-être supposer : \ , et il
^-d \\ \\ ® h-&
manquerait en plus v^_^t>.
3 Le papyrus donne la variante : ntuk neb a.u.s. ne/tu «tu es le seigneur des victoires». On pourrait
traduire ce membre de phrase par le vocatif : «Toi, ô bon guerrier! Toi, ô seigneur des victoires!»
4 «Il n'y a pas de roi semblable à toi, combattant, etc.» Le papyrus porte ici : <—>^^J er
menfiu-f, tandis que les monuments donnent : ^ ^ ' ' ' lier menfiu-f. Le premier pourrait se traduire par
le comparatif : «combattant plus que ses soldats»; et le second : «combattant pour ses soldats».
kAAAAAA
° ■ Cf. E. de Rouge, Abrégé Qram., n° 180.
D tiek-iu «mêlée». V. plus loin Louqsor, 1. 73.
^ tar; ( ( du papyrus est une faute : l'erreur du scribe provient sans doute
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P. S. VIII, 1.
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pai-k menji-u tai-k tente hetâr se àmen1 àri-u em tut-ui-f
ton infanterie, ta cavalerie, ô- fils d'Ammon, fait par ses mains!
P. S. VIII, 2.
L. 63.
K. 55.
AAA/NAA
to en yeta em yopes-k keni ntok yerau-ti
Tu as détruit le pays de Khéta par ton glaive victorieux: tu es le combattant
I
nefer3 à?i mâ-ti-k suten %erau lier menfi-u-fi hru %erau
bon! Pas semblable à toi de roi, combattant pour Ses soldats au jour du combat!
P.S.VIII,3. ïi\ ™ ~ -S0®D|v f]?()(] ^ ^ IU ^flû ^ ^
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Tu es le grand de cœur, le premier dans la mêlée. Tu ne fais pas attention au monde
par exemple : creuser un puits, et de là : «tirer du danger». — Le papyrus a fait une nouvelle faute en
mettant : sut kuà : «j'ai sauvé du danger» : ce n'est pas le roi qui parle.
1 Karnak met : fils d'Ammon, tandis que le papyrus porte : fils de Tum.
2 ® *=*^\> * dépouiller, ruiner, dévaster, détruire». Bkogsch le rapproche de Ê(ouj, nudare,
spoliare. -j^ ;
«marcher à la ruine» se dit d'un édifice : ce mot a donc un sens assez
, , , o lTJr<=> ® a ' ©
gênerai. — Le papyrus semble encore fautif : il faut peut-être supposer : \ , et il
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manquerait en plus v^_^t>.
3 Le papyrus donne la variante : ntuk neb a.u.s. ne/tu «tu es le seigneur des victoires». On pourrait
traduire ce membre de phrase par le vocatif : «Toi, ô bon guerrier! Toi, ô seigneur des victoires!»
4 «Il n'y a pas de roi semblable à toi, combattant, etc.» Le papyrus porte ici : <—>^^J er
menfiu-f, tandis que les monuments donnent : ^ ^ ' ' ' lier menfiu-f. Le premier pourrait se traduire par
le comparatif : «combattant plus que ses soldats»; et le second : «combattant pour ses soldats».
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° ■ Cf. E. de Rouge, Abrégé Qram., n° 180.
D tiek-iu «mêlée». V. plus loin Louqsor, 1. 73.
^ tar; ( ( du papyrus est une faute : l'erreur du scribe provient sans doute