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J. de Rougé. Le poème de Pentaoue.
l. 69.
(en) tes-t àu-à uàkuà àu-à lier nevtu - em - uasx Nurâu-heru-tâ2
de nations. J'étais seul : j'étais avec Nechtemus (et) Nurahuret
p. s. viii, 7.
l. 69.
k. 60.
nai-â hetar-u aa-u ntu sen na kem-u-à er sep
mes chevaux grands : ce sont eux que j'ai trouvés à la prise
p.s.vni.7. ^é^Û^^®®^^^° eM^%!ÎM^()
l. 70. ^<$()
k.6o. ^M\mh^Wê. ^*K.?.ïkûÛ
II
^ I
mji ail I mm ^ m iii
tot-â àu-à uâu kuâ lier3 tes-tu asu n/amiui
de ma main. J'étais seul moi au milieu des peuples nombreux, se courbant
(La suite prochainement.)
(Bid.) donne le sens c
e.
< J'ai repoussé toutes les nations, et j'étais seul. » — Bkugsch
e «craindre», qui ne pourrait convenir dans ce passage : remarquez d'ailleurs le
< > n—^
déterminatif n—£>, qui se retrouve dans les mots signifiant : «côté, mettre de côté». Cf. , rek
A s-o
«cesser, être séparé».
1 «Victoire dans Thèbes et Mu-t satisfaite. » Ce sont les noms des chevaux de Ramsès, comme l'ex-
pliquent les textes monumentaux : le papyrus se contente d'ajouter le déterminatif des quadrupèdes. —
Doit-on lire dans le second nom V\ le vautour par mu-t, le nom de la déesse, ou par (_
neràu, nou-pe, qui est le nom du vautour? L'absence de phonétiques laisse dans l'indécision.
2 RU Q (1 l heru-tâ est le participe féminin de |"D 7ier « être tranquille », cf. oepi, quiesce?
Ex. : Champ., Notices, 164- Aménophis III : y aaaaaa ^ i «S. M. dirige la victoire, con-
dxà^ s-a I v^^-s-Ci
fiant dans sa vaillance» (cf. Louqsor, 1. 87).
3 Le papyrus a la variante : àu-à uâ-k her-à en em-xennu pe %erui-u «J'étais seul moi de ma personne
au milieu des ennemis ». Dans ^ ® le second signe est déterminatif.
(3 i 1 1
* 1; ^ ^ ^) ' Xamu*~u es* un ver0e assez rare : il exprime ici un sentiment de l'ennemi.
Si ce verbe est le même que l'on rencontre ainsi écrit ^ ' 06 sei a^ *es ennemis se cour-
bant par soumission-, mais le déterminatif dans notre texte £J) peut indiquer une autre nuance (cf. ci-
dessus : Louqsor, 1. 27 ^_d_a^_P s__a)' Faut"il rapprocher ce mot de ^ > qui est un verbe
de mouvement? M. Maspero {Hymne au Nil, p. 12) compare ce mot à ^ /-^> y\ «s'incliner». (V
plus loin Karnak, 1. 63 : « Ne tombez pas » ,_A_ [ vb\ /v^aa Q v\ y\ et Karnak, 1. (H :
iii
i jfj 1 q A <^> " ^*v^ «Quiconque vient à tomber», etc.)
J. de Rougé. Le poème de Pentaoue.
l. 69.
(en) tes-t àu-à uàkuà àu-à lier nevtu - em - uasx Nurâu-heru-tâ2
de nations. J'étais seul : j'étais avec Nechtemus (et) Nurahuret
p. s. viii, 7.
l. 69.
k. 60.
nai-â hetar-u aa-u ntu sen na kem-u-à er sep
mes chevaux grands : ce sont eux que j'ai trouvés à la prise
p.s.vni.7. ^é^Û^^®®^^^° eM^%!ÎM^()
l. 70. ^<$()
k.6o. ^M\mh^Wê. ^*K.?.ïkûÛ
II
^ I
mji ail I mm ^ m iii
tot-â àu-à uâu kuâ lier3 tes-tu asu n/amiui
de ma main. J'étais seul moi au milieu des peuples nombreux, se courbant
(La suite prochainement.)
(Bid.) donne le sens c
e.
< J'ai repoussé toutes les nations, et j'étais seul. » — Bkugsch
e «craindre», qui ne pourrait convenir dans ce passage : remarquez d'ailleurs le
< > n—^
déterminatif n—£>, qui se retrouve dans les mots signifiant : «côté, mettre de côté». Cf. , rek
A s-o
«cesser, être séparé».
1 «Victoire dans Thèbes et Mu-t satisfaite. » Ce sont les noms des chevaux de Ramsès, comme l'ex-
pliquent les textes monumentaux : le papyrus se contente d'ajouter le déterminatif des quadrupèdes. —
Doit-on lire dans le second nom V\ le vautour par mu-t, le nom de la déesse, ou par (_
neràu, nou-pe, qui est le nom du vautour? L'absence de phonétiques laisse dans l'indécision.
2 RU Q (1 l heru-tâ est le participe féminin de |"D 7ier « être tranquille », cf. oepi, quiesce?
Ex. : Champ., Notices, 164- Aménophis III : y aaaaaa ^ i «S. M. dirige la victoire, con-
dxà^ s-a I v^^-s-Ci
fiant dans sa vaillance» (cf. Louqsor, 1. 87).
3 Le papyrus a la variante : àu-à uâ-k her-à en em-xennu pe %erui-u «J'étais seul moi de ma personne
au milieu des ennemis ». Dans ^ ® le second signe est déterminatif.
(3 i 1 1
* 1; ^ ^ ^) ' Xamu*~u es* un ver0e assez rare : il exprime ici un sentiment de l'ennemi.
Si ce verbe est le même que l'on rencontre ainsi écrit ^ ' 06 sei a^ *es ennemis se cour-
bant par soumission-, mais le déterminatif dans notre texte £J) peut indiquer une autre nuance (cf. ci-
dessus : Louqsor, 1. 27 ^_d_a^_P s__a)' Faut"il rapprocher ce mot de ^ > qui est un verbe
de mouvement? M. Maspero {Hymne au Nil, p. 12) compare ce mot à ^ /-^> y\ «s'incliner». (V
plus loin Karnak, 1. 63 : « Ne tombez pas » ,_A_ [ vb\ /v^aa Q v\ y\ et Karnak, 1. (H :
iii
i jfj 1 q A <^> " ^*v^ «Quiconque vient à tomber», etc.)