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236 RECUEIL DES LETTRES
— E perché no ? Un grari rè m'a bacciato la mano , æ
<*7$E me , fi, la brutta mano per incitar mi a rimanere nel suo
palazzo d'AL. ina. Ed io bacciero la vosira bella mano con
un piit grande e Japorito piacere. Ah , fignore amabile ,
fignore cortefe e bravo, la vita fi perde , fi confume e la
Jpevanza anco>a fi disirugge.
ER-ce que vous seriez alsez bon pour vouloir bien
me mettre aux pieds de madame de Pompadour, quand
vous n’aurez rien à lui dire ? Pardon , Monseissneur,
de la liberté grande. Il y a dans Paris force vieilles
et illuRres catins à qui vous avez fait palier de joyeux
rnomens , mais il n’y en a point qui vous aime plus
que moi. Je crois qqe la première conversation que
j’aurais l’honneur d’avoir avec vous serait assez amu-
sante. Non , ce serait la sécondé ; car , à force de
plaisir, je ne saurais ce que je dirais dans la première.
A propos, je suis bien malade ; daignez-vous en
souvenir. U n'y a que mes ennemis qui disent que
je me porte. In tanto con ogni osijequio 3 etc.
LETTRE C X I.
A MADAME
LA COMTESSE DE LUTZELBOURG.
14 Septembre.
Je vous demande pardon , Madame , de ne vous
avoir pas parlé de votre digne et aimable fils ; mais
ce qui eR dans le cœur n’eR pas toujours aù bout de la
plume , sur-tout quand on écrit vite et qu’on eR
 
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