Le charivari (11.1842)

)UZE CENTS

des premiers travaux (
an dans sou palais,W
tan, premier et pt0^
dernier du nom, Tje
per des relations extérj
nouer avec tous les j
e l'Europe. Il a fait ap
ui son ministre des a|
ui, semblable à maître
)urné son habit de mi,'
r, ce qui lui a procure
t l'uniforme de sou j(l
st le tailleur Banfkojkj
a de la cour de Mouaco
e conférence a été qtfn
un personnage capablf
3 la principauté de Mot";
vdeur a résilié ses fontii
Durs croissant des denti

le tenir convenablernem
-Douze cents francs !
, tels sont les honoraires
[onaco ; et notez encore
ncs, j'embellis la chose,
dernier règne, c'est «g
levrais dire. L'ambassjt
onnaie non courante;
ionner sa démission,-]
pont des Arts avec ses

'ficile la trouvaille d'un
s, c'est que le prince, es
:ue le futur dignitaireti
splendide. Florestanne
xte, qu'il bonifie sa pos
jntremarques a l'Ambiç
Dns de porteur du Coitf
\ plus relevées, en ce
léroger un homme de h
laît ; c'est du Louis XIV

si depuis huit jours le p
insérer dans les Petites-
n demande un amk
e ; douze cents francs I
i reaux.

diables qui ne demai
orte par quel moyen, si
les fonctions susdites;
iseignemens au burea.
ine chose que l'annontt
je le prince exige un cal

ur déposer un cautionne
îs de Monaco, dans ces
;uivre lui-même est uni
s fantastique, les sous n

irrait peut-être s'arranj
tionnement entre les b
lis, franchement, un cai
Lierait encore lui-mêt»
;e moment de déconfit®
'ans jouent à pigeon-^
s qui ne lèvent pas ^

))

'nier ambassadeur de W
ion pour cause de gr^!
e du privilège de l'anci®
, c'est lui qui, à défc
harangué le roi le 1e F
itaele réellement touchai
is plus mal tiré qu un'
un homme d'esprit, q®'

Uie?, jjai^er 8: C\e Ed " R.du Cmssâïit, 18 .

Eu vlà, ime position sociale ! ramasser binées. des vieux clous

CTUi Su font le métier si srand. qui le Vu^iel fJ •• • m1 ■

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3 o

u'il n'ait pas voulu eu» ^
ions diplomatiques aVt
i comédie pour comédie
(La suite à la 4e P"'