Le charivari (11.1842)

I.W B aujj er & Cle "R. lu. Crois s ant, 16

LE MARCHAND D'HABITS.

'Haliils a Tendre !.... ayez yous des cliapeaux , des souliers, des rieux habits a vendre!
U aA ç.art\SNaY, sork ^yîotvs k.ô\ç.s iie <1TO\Y el wAe.-

ux\ç,-,^\m^\2cv\\. ôai^.ç.-TÔW se. ycocwiçi aity ^Vwmç. c\£ ,<ie\r~

ç.'çom'sç., v\\\ \^i ^\ô\Ae àvm^aô\\^ç.V.V e.a.wç.axv à. ôi^cstV\QT\.\

wi m\s .

it d'éviter une rencontre
.andis qu'ils vont dîner ^
ite et sa femme dans leu/et
P*

' sont pas longtemps Sans
: il est clair qu'on les '

troP da^
ve

gnés, ils quittent la maiin
nt dîner dans un restai

t d'eux, ils sont de tiT f°"'
e son frère, Geneviève acc^

'aul a essuyé une faillite, s
i manque une soixantaiQe ?
; à ses engagemens. On |U|
on lui manque de parole |

revient. Il est ivre, il a ^
chagrin lui a coupé 1W
hapeau de son épouse. Le ^
e quel est cet homme ?« c(il
Baptiste, excité par le vin i
î la ruine de son frère, i;',;

Paul est sans ressource, il ^
bientôt dégrisé par la douiez
s lui. Sa nièce Emma lui ^
l cause. Rappelé k la raison il
t veut réparer ses torts. Il a'j,
de son frère. Quant au baron,
;her son consentement au m!
île et Baptiste a été témoin de t
i passé k l'ennemi, le jour deli
ite a même conservé un doc»,
preuve au besoin. Cela suffis
unit Arthur et Emma, à condi-
ste et sa femme retourneront a
plus.

>osée d'élémens communs, ras:;
mheur. Du reste, la pièce n'es!
ère dans les deux personnage
sa femme. Ces deux rôles soi;
ïérité et d'observation. La scène
saisissante ; c'est la une in «s
i talent de Bouffé pour élablitua

ît de prendre des mesures afin
ix et de dérober leurs actes à D
ieur sans doute de cette maltl
ilheur :i ceux par qui le seau'

3e moment, dans les hôtels m»
es les ouvertures, fissures et c
Cunin-Gridaine qui est cliarg1'
ilité de bouche-trou.

isi claquemurés, n'en conUnul\

au système vérité, de s M

arrait reprocher, en cette .
izotins de faire preuve de
met d'ordinaire sous clefQ

les Guizot et les Martm (du •
est prévenu qu'il serait âD