Le charivari (11.1842)

lénûcien, nou moins savaia.
considérations du plus ham,

— L'année suivante, cesetï
nsi de suite, — ce qui y
us les académiciens auront
ie piquet, à moins qtfeva.
carreau,

.e d'intérêt touchant le Vaiet
rouvé \e besoin de ^et -a
ux; en conséquence,U. ^
son fauteuil et a déro\i\è uu
itesque, mais plus çl^uaut,
es muses.

>tait une),M. Â.nce\ot apatlë,
•e, quiestunbeauUiuMe

bien raison de dite

les académiciens ont levèfe
x, le îauteuil.
deux autres lectuti

>ense que ces ]eci„Mt,

clUres sont

a'tendn que

tes portées

.fii

hé l'assemblée, i
p prolongées sont dangeteu.

ait seulement les membres
s savez qu'il s'agissait dedé-
le plus distingué de M. h-
i six voix mieux avisées oui
l de Vigny; mais la majoriti
>atmest seul digne de s'as-
Saint-A.ulaire.
oit pas se désoler outre me-
aute intelligence qui la dis-
ni ouvrir ses portes à la pre-
rien de bon, il a fait tout ce

leltant au jour le magnifique
i victorieusement réfuté ce®
On a beau le raiite, il
r avec lemêoae bon sens ei
imes des rieurs ae lui feront


Mant-colonel du génie, H I
3s commettans. En sa qualité
ir de faire une mine.

s à ses commettansdeRont'j

Cabinet aura peut-être aj)j«
couchant. |

igue aussi les promesses 0
i savoir si les promesses él»
ts de Foy. I

il des Débats, si tôt qu'on'-
nouveau-né avait été bapti>:
allégresse a éclaté dans toutI?
e nouvelle pareille a dû
s les ménages,
mmundé à l'artillerie de
coups de canon. C'est p®''
ura fait explosion.
>é de faire sonner les cloàf»
■ que l'on a fait à la ville
sonner très haut.

% suite à la &' faie^

h ijr. ! .'i uissaid Ki Imp. d'A'ttlicH L C1'

,• i ! comme il Te prie les cervelas .les jamWs. . Nous- ^irncron donc T-èlat de pipa. uçtit coclv.a