Le charivari (12.1843)

ourse de i)00ft f .
'n le sait, ±f»
!uls Paru au ni^Q*,
1 f la ^«fiance

de victoire, mai* t'^
ontraire, à M. L>
^ de vouloir g*! >

re question pour H
'»die, cette p^LS
«s heureuse
ye M. Lemaltreiîn, *

JouI,cJe,et cela
«du d'être laidelndec!

We enfant, troul,
3, bourré truffe 2
burlesque! emî, ',l0H

^ntPenie, originaire^

' français, et franchi
«» Pf « de force?;
om de nous ridée d Jj
e , raa,s au moins, s-i,
des jockeys présentai*
* ,ta*™ 2,000 /h-Fe! '

«t M. Fould. Les paris,

e poulain, un digne I|S J(
monde a battu des ai,
peu couturaier du lai,
i, la dynastie Roihscli
bamuel et autres Moïse'
Js, ont réclamé. Nonsi
influence d'un nom do»
» a gagné et bien gagné
mimer ; Éaragheusem
n Rothschil est bien M

erce,^ 2,000 fr. pour*
ge nés et élevés en Fnntt
ir était de quatre kilomè-
gés, Angora, PampHM
les paris se faisaient pou
•n se rappelait les proues-

tenait pour lui à égal,
stinées et les courses son

chargé d'apprendre ce»
igné les 2,000 fr. dumi-
uel méritait celte déliait
ile, M. Fasquel est auss:
aie à voir les sacrifices il

;s plus brillantes. Vmt\
antalon, Paddy et Lift-
i et sauté. Le jockey*
mention particulière. Dé
ix publique lui avait #
e ne s'était pas trompée
is à quoi servent les

é des sportsmen. Aciiij
itr'actes n'ont pas langui
ce, se sont distingués pu
e à nos plaisirs. Viep
rons de nouveaux trio»1
r. +s'

-on, fermée à Vocas»
i que l'enthousiasme serj

■erce, les fusils des n»
i de la fête du ]" mai*
It aurait dit facétie»
i genre d'allégresse <flj

nps-ÉJysées sera, dit^i
t suite à la 4e page-)

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