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1 C(>ûfé.
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Joufl]
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posait les
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-me, mais
ît les plu-
ture, si la
la Provi-
clamaiion
le rédiger
,’on a coa-
1-Kader.
.es et des
e Sarcey,
i Laurier;
1 a fait un
XZX8 fi-
eu is assit
ndidaturt
inistre en
entre les
s eu entre
gieuse en
lérite, du
u rebours
.ispersee s
p de poing
père, et le
t dénoncés
de-là.
une portée,
loyalemeni
itais à Bade,
es grecs et,
dienièle es'
eu.
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coups d’au-
,re le retoui
vale 1 QuîlJ
•ait avoir «
t huit j0®
3U •
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Audibe,t'
achat
.ori0.
LA COMÉDIE FÉMININE, - PAR DRANER
A
j)
O
OV.»
X'
DEBUTANTE
Une vraie nature qui ne demande qu’à subir
les épreuves de rigueur pour se faire ap-
précier du'public.
RELACHE
pour cause d’indisposition.
n
M.'i* NANA I !j li
il*
ACGESSOIRES
Jouent un grand rôle dans l’exposition
du sujet.
i ko I
AVANT-SCÈNES
Dire qu’il y a des gens qui ne les
apprécient pas !
LE METTEUR EN SCÈNE
Tient à ce que son ouvrage plaise et ne lésine
pas pour y arriver.
SUBVENTION
pour l’enlretien de l’art.
c'i
COMÉDIE DE GENRE
La scène de larmes.
— Ah! Aristide, je sens bien que vous
ue m’aimez plus!
lFilffi, lj‘
P
CONTROLEURS
— Voilà déjà trois fois qu’a rentre seule ! Faut
avoir l’œil, car, de ce traiu-là, pourra pas payer
son terme.
L’ABONNÉ
On est plein de prévenances pour lui ; mais lui, blasé,
il connaît la pièce et ne vient que par la force de
l’habitude.
V ! A’j 1
i\Ç
u
te*,.
=3
À
'v'
COUP DE THEATRE
<r-
Généra.lement suivi d’autres coups, tels que de canne,
de revolver, d’épée, etc... au choix des intéressés.
COLLABORATION
Au mari appartient l’idée première, l’autre y apporte tout ce
qu’il faut pour iui donner un corps.
1 ’
Af
HAUTE UTILITÉ EN TOUT GENRE
Plus qu’une utilité ; parfois même une vraie providence
que la marchande à la toilette.
CHEF D’ATTAQUE
Au premier signal, il vous abat son
nerf. . sur la tête.
BULLETIN DE SERVICE
« Ma petite Niai,
» Ma légitime part chez sa mère,
» je t’attends où tu sais ce soir à 7
» heures.
» Ton Tutur aimé. »
1
if
BILLET DE PAVEUR
— Comment donc, Fanchette! mais fais-le entrer
tout de suite.
/
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LE METTEUR EN SCÈNE
Tient à ce que son ouvrage plaise et ne lésine
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La scène de larmes.
— Ah! Aristide, je sens bien que vous
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— Voilà déjà trois fois qu’a rentre seule ! Faut
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L’ABONNÉ
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COUP DE THEATRE
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Généra.lement suivi d’autres coups, tels que de canne,
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COLLABORATION
Au mari appartient l’idée première, l’autre y apporte tout ce
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Af
HAUTE UTILITÉ EN TOUT GENRE
Plus qu’une utilité ; parfois même une vraie providence
que la marchande à la toilette.
CHEF D’ATTAQUE
Au premier signal, il vous abat son
nerf. . sur la tête.
BULLETIN DE SERVICE
« Ma petite Niai,
» Ma légitime part chez sa mère,
» je t’attends où tu sais ce soir à 7
» heures.
» Ton Tutur aimé. »
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if
BILLET DE PAVEUR
— Comment donc, Fanchette! mais fais-le entrer
tout de suite.
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Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
La Comédie Féminine, - par Draner
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le Charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1885
Entstehungsdatum (normiert)
1880 - 1890
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 54.1885, Janvier, S. 83
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg