L’ART DECORATIF
Plateau (cuivre et crist'al)
(Photographie Lemery)
B. KARAGEORGEVITCH
(Photographie Lemery)
terrible
tapis sang-
F. SCHEIDECKER
decoratives oü Au-
de beaux paysages
La Touche des jets
paru, et, avec eile, le
de-boeuf! Une peluche grise le remplace,
toute reposante ä l’ceil et relevee au milieu
de chaque salle par les tons puissants et
sourds d’un tapis oriental; sur les murs,
une tenture unie — gris bleute dans deux
des salles, d’un jaune doux dans l’autre —
est surmontee de frises
guste Lepere a trace
synthetiques, et Gaston
d’eau sous des frondai-
sons de marronniers,
avec quatre medaillons
ä motifs d’architec-
ture. Lä-dedans, au
milieu d’un choix de
peintures qui s’har-
monisent tres süffisant-
ment entre elles, une
delicieuse figure en
pierre jaunätre, de Bar¬
tholome, d’excellents
sieges et sellettes en
bois clair de Pierre
Selntersheint, une table
ridicule de « style
Directoire » (?) que
M. Gervex a aggravee
d’une peinture sous
verre ; enfin, deux vi-
trines d’art precieux :
les entaux somptueux
de M. Hirtz et les cloi-
ceinture
la forme
l’art des
entre une
Sculpture
un autre
que s’ebat
Ces
sonnes de M.
Thesntar. Tout
cela serait tres
bien, et M.
Dubufe nteri-
terait toutes
sortes de cont-
pliments s’il
n’avait cru de-
voir decorer
lui-meme de
sa peinture la
plus
tante
trois
Deux
impor-
de ces
salles.
grands
panneauxvou-
draient sym-
boliser les arts
de
et
sons : on y voit un ange volant
Peinture avec sa palette et une
tenant une Statuette ä la ntain,
ange qui joue du violon pendant
dans les airs une bande d’antours.
choses sont sous l’invocation d’Ingres et de
Berlioz. Pauvres grands homntes ! II y a
aussi une frise : guirlandes, banderoles,
palrnes, couronnes, cartouches, lyres et pa-
lettes, toute la friperie de la decoration la
Boucle
(En collaboration avec G. Desaignes)
2 I 8
Plateau (cuivre et crist'al)
(Photographie Lemery)
B. KARAGEORGEVITCH
(Photographie Lemery)
terrible
tapis sang-
F. SCHEIDECKER
decoratives oü Au-
de beaux paysages
La Touche des jets
paru, et, avec eile, le
de-boeuf! Une peluche grise le remplace,
toute reposante ä l’ceil et relevee au milieu
de chaque salle par les tons puissants et
sourds d’un tapis oriental; sur les murs,
une tenture unie — gris bleute dans deux
des salles, d’un jaune doux dans l’autre —
est surmontee de frises
guste Lepere a trace
synthetiques, et Gaston
d’eau sous des frondai-
sons de marronniers,
avec quatre medaillons
ä motifs d’architec-
ture. Lä-dedans, au
milieu d’un choix de
peintures qui s’har-
monisent tres süffisant-
ment entre elles, une
delicieuse figure en
pierre jaunätre, de Bar¬
tholome, d’excellents
sieges et sellettes en
bois clair de Pierre
Selntersheint, une table
ridicule de « style
Directoire » (?) que
M. Gervex a aggravee
d’une peinture sous
verre ; enfin, deux vi-
trines d’art precieux :
les entaux somptueux
de M. Hirtz et les cloi-
ceinture
la forme
l’art des
entre une
Sculpture
un autre
que s’ebat
Ces
sonnes de M.
Thesntar. Tout
cela serait tres
bien, et M.
Dubufe nteri-
terait toutes
sortes de cont-
pliments s’il
n’avait cru de-
voir decorer
lui-meme de
sa peinture la
plus
tante
trois
Deux
impor-
de ces
salles.
grands
panneauxvou-
draient sym-
boliser les arts
de
et
sons : on y voit un ange volant
Peinture avec sa palette et une
tenant une Statuette ä la ntain,
ange qui joue du violon pendant
dans les airs une bande d’antours.
choses sont sous l’invocation d’Ingres et de
Berlioz. Pauvres grands homntes ! II y a
aussi une frise : guirlandes, banderoles,
palrnes, couronnes, cartouches, lyres et pa-
lettes, toute la friperie de la decoration la
Boucle
(En collaboration avec G. Desaignes)
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