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Bulletin de la Société pour la Conservation des Monuments Historiques d'Alsace — 2.Sér. 21.1906

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[Sitzungs-Berichte / Procès-Verbaux]
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General-Versammlung vom 10. Juli 1901 / Assemblé générale du 10 juillet 1901
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https://doi.org/10.11588/diglit.25052#0447

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General-Versammlung vom 10. Juli 1901.

Vorsitzender : Ranonikus Relier.

Der Yorsitzende begrüsst die Versammlung und
wirft einen kurzen Rückblick auf die Lage und
die Entwickelung der Gesellschaft im verflossenen
Geschâftsjahre.

Meine Herren!

icb habe die Ehre Sie zu begrüssen und dankc
Ihnen, dass Sie so zahlreich erschienen sind. Je
zahlreicher die General-Versammlung ist, desto
grüsser das Ansehen der Gesellschaft und desto
krâftiger die Beschlüsse, die gefasst werden.

Voriges Jahr, meine Herren, als Sie midi zum
Prâsidenten der Gesellschaft erwâhlt, war unsere
finanzielle Lage nichts weniger als erquicklich.
Zum ersten Male, seit dem Bestehen der Gesell-
schaft, wurde in der General-Versammlung vom
27. Juni 1900 ein Defizit angegeben und zwar
ein solches von etwa 12 000 JL ! Verschiedene
Faktoren hatten zu diesem Résultat beigetragen;
ich rnüchte sie hier nicht erôrtern ; aber gewiss
erwarten Sie, meine Herren, von mirzu erfahren,
was geschehen ist zur Verbesserung der Lage,
und Sie sollen befriedigt werden.

Vor allem suchte ich klare Einsicht der Lage
zu gewinnen und da ergab es sich, dass wir nicht
bloss 12 000 JL schuldeten, sondern in Wirklich-
keit rund 17 000 JL Die Buchdruckerei Schultz
allein stellte eine Rechnung von 12 959 JL Die
gewôhnlichen Mittel der Gesellschaft verbunden
mit den gewôhnlichen Zuschtlssen von Staat und
Stadt genügten nicht mehr, um so schweres
Defizit zu decken, um so weniger als die Aus-
grabungen in Strassburg infolge der Kanalisa-
tion fortgesetzt werden sollten. Fiir mich, meine
Herren, war diese Frage neu, denn obschon lang-
jâhriges Mitglied der Gesellschaft und des Vor-
standes, hatte ich mich doch niemals um die
fmanziellen Verhâltnisse bekümmert, jetzt lagen
sie um so schwerer auf meinem Herzen ! Und ich
stand so zu sagen allein ... es war die Ferien-
zeit, ich konnte den Vorstand nicht zu Rat

Assemblée générale du 10 juillet 1901.

Présidence de M. le chanoine KELLER.

Le Président souhaite la bienvenue à l’assem-
blée et donne un aperçu de la situation de la
Société pendant le dernier service comme il
suit:

Messieurs,

• J’ai l’honneur de vous saluer, et je vous
remercie d’être venus en grand nombre assister
à cette Assemblée générale de notre Société. Les
résolutions qui seront prises n’en auront que
plus de poids, et la considération dont jouit une
Société grandit avec le nombre de ses adhérents.

L’année dernière, Messieurs, lorsque vous
m’avez appelé à l’honneur de la présidence, notre
situation financière n’était rien moins que ré-
jouissante. Pour la première fois depuis la fon-
dation de la Société, l’Assemblée générale du
27 juin 1900 reçut avec une pénible surprise
communication d’un déficit d’environ 12 000 JL
Plusieurs causes avaient contribué à ce résultat;
je ne voudrais pas les examiner et les exposer
ici, mais certainement, Messieurs, vous désirez
que je vous apprenne ce qui a été fait pour
améliorer la situation, et je m’empresse de satis-
faire ce légitime désir.

Avant toute chose j’ai dû chercher à acquérir
une connaissance claire et nette de la situation,
et malheureusement je constatai bientôt que la
dette n’était pas seulement de 12 000 JL mais en
réalité de 17 000 JL L’imprimerie Schultz ré-
clamait à elle seule 12 959 JL Les ressources de
la Société et les subventions ordinaires de l'État
et de la ville ne suffisaient plus pour couvrir un
déficit aussi considérable, d’autant moins qu’il
fallait continuer à surveiller la canalisation de
la ville de Strasbourg, afin de ne rien perdre
des antiquités qui pouvaient être découvertes.
Pour moi, Messieurs, la question était nouvelle,
car bien que membre de la Société et du Comité
depuis de longues années, je ne m’étais jamais
occupé de la question financière. Celle-ci me
pesait donc d’autant plus lourdement, et, circons-
tance aggravante, au premier moment j'étais
 
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