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TABLE DES MATIÈRES.

349

Pages.

3. Le pauvre dans cet étatsocial. 264
4. Influence de l'Église sur l'épanouissement nouveau d'une civilisation hispano-
gothique. 271
5. Instruction donnée aux enfants.278
6. Enseignement supérieur : jurisprudence, médecine, théologie, etc.292
IY. Bibliothèques espagnoles du nord-ouest.

1. Collections formées : Saint-Martin de Liébana, abbayes navarraises du ix" siècle,
Oviedo, Léon, Albelda, Silos, Cardena, Sahagun, etc.297
2. Bibliothèques en formation : Obona, Tunon, Celanova, Samos, Guimarâes, etc. —
Bibliophiles espagnols et autres. — Difficultés qu'on avait à vaincre. — Copistes. 313
3. Le semptorrnw monastique, copie et ornementation des manuscrits.324
4. Caractère traditionnel qui semble régir toutes les œuvres de cette époque, pour le
fond comme pour la forme. — Prose rimée, fort en usage du vi" siècle au xn". —
Coup d'œil sur les chroniques et documents de ces temps-là.332
V. CONCLUSION DE L'APPENDICE.344
Additions et corrections pour la même partie. ..346
Notez que presque toutes les gravures de l'Appeweface ont pour principal point de départ le manuscrit Cot-
tonien de Londres (provenant, ce semble, du monastère de Silos), indiqué aux pages 226 et 252. Mais 1'!
capital de tapage 323 appartient à un original que le P. Arthur Martin avait copié à Saint-Omer, et il le dé-
signe comme ayant mine d'œuvre espagnole du x" siècle. Peut-être, cependant, n'était-ce là qu'une assimi-
lation à deux figures d'évêques ou abbés données par lui dans son mémoire sur les crosses, d'après notre
manuscrit du Æyv'tisA AfMseMm.
Un autre 1 (page 297), copié sur un manuscrit des Bollandistes, dont la provenance m'est inconnue, n'est
pas sans quelque analogie avec maintes initiales qui ornent les grands antiphonaires manuscrits de l'Es-
pagne au xviP siècle ; il est donc permis de supposer que ce style avait des racines dans les régions transpy-
rënéennes, et peut-être depuis longtemps. Car l'Espagne du passé ne se pliait pas complaisamment aux idées
d'autrui.
Les lettres ornées ou vignettes des pages 320, 328 et 346 sont empruntées à deux manuscrits de Laon
(n°s 33 et 423), mais les indications du P. A. Martin ne m'y paraissent pas toujours bien conformes au cata-
logue imprimé plus tard par ordre du ministère de l'instruction publique. Quoi qu'il en soit, on les tient
pour appartenant à peu près au vu" siècle; et rien ne semble constater qu'ils sortent d'un sciv.ptwvMm de la
ville ou des environs. D'ailleurs, comme les écrivains qu'on y transcrit sont Paul Orose et saint Isidore, le
calligraphe (même Français du Nord) aura bien pu y copier un modèle espagnol.

Formons aussi une table des autres ornements accessoires (lettres ornées et vignettes ou culs-de-lampe)
semés dans ce volume, lorsque j'en pourrai constater l'origine qui ne serait pas suffisamment indiquée
par le texte courant.

Page v. Q.
Soi-disant Psautier de saint Louis à l'Arsenal.
P.
7. E.
item.
P.
vm,I.
Manuscrit de Munich, n° 34.
P.
8, C.
item., îMd.
P.
ix,U.
Manuscrit de Munich n° 40.
P.
9, V.
item.
P.
x, H.
Manuscrit des Bollandistes, à Bruxelles.
P.
H, 0.
/tem?
P.
xi, Vig
nette. Origine inconnue (calques du P. A. Mar-
P.
U, M.
Lectionnaire d'Aix-la-Chapelle.
tin), peut-être d'Attavante.
P.
14, C.
Manuscrit des Bollandistes.
P.
1,L.
Manuscrit des Bollandistes.
P.
tS, S.
Passional d'Aix-la-Chapelle.
IMd-, f.
Même manuscrit.
P.
16. H.
Manuscrit des Bollandistes.
P.
4, Q-
Même Psautier de saint Louis, que ci-dessus.
P.
18.11.
Lectionnaire (ou Passionnai) d'Aix-la-Chapelle
P.
S. S.
Même manuscrit des Bollandistes, que ci-dessus.
P.
19, P.
Manuscrit des Bollandistes.
 
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