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1ère faible. Il est h croire qu'il avait beaucoup de fai-
blesse... pour les billets de mille francs.

— On annonce que Mme Lafarge prépare un dernier
volume de mémoires justificatifs. Reste k savoir si elle
prend un bon moyen de se justifier, en empoisonnant
tout le monde de ses écrits.

QUESTIONS POLITIQUES.

29 janvier.

M. Janvier n'ayant pu résoudre le problème que M.
Joulfroy lui avait posé en ces termes: « Pourquoi la
chambre basse voit-elle avec peine noire collègue Mo-
reau dans son sein. » Le professeur in parlibus lui a
fait dire par son suppléant du collège de France : « C'est
parce qu'elle entend dire : « Moreau, député (mort aux
députés}. »

M. Montalivet a demandé à M. Hédé, le boulanger du
roi : « Savez-vous pourquoi les vieux mitrons ont le
talent économique de se traiter eux-mêmes dans leurs
maladies ? »

En vente au bureau du Charivari, rue du Crois
sant, 16., et chez tous les libraires et dépositaires de pit-
toresques :

Le n» noir du Charivari (29 juillet 1840), prix,

Le n° d'or du Charivari (14 juillet 1841), prix,
Len° rouge du Charivari(29 juillet 1841), prix,

Le n° du premier janvier du Charivari,he-
vue de l'année (en 4 couleurs), prix,

Len° du Charivari (funérailles du cons-
titutionnel), prix,

50

n

50

50

Aujourd'hui dimanche, l'affiche de l'Opéia-Comique annonce
un spectacle à grande recette: Jocunde et liichard-Cœur-de-
Lion joués par l'élile de la troupe.

— Aujourd'hui dimanche, à 3 heures, M. Déjardin, ex-orga-
niste du concert Valentino, fera entendre l'orgue expressif de
M. l)ubus dans les salons du Musée national, passage du Sau-
mon. L'entrée sera libre.

PAIRAUD.

Depuis quelques années les cachemires tant indiens que
français ont élé singulièrement négligés en France par nos élé-
gantes. Le mantelet, le chàle de soie et la pelisse ont trôné
malheureusement trop longtemps ; mais les femmes bien faites
ont enlin reconnu combien ces surtouts d'un autre âge sont
lourds et disgracieux; elles ont compris que toutes les tailles
devenaient égales sous une pelisse, tandis que le tissu souple et
soyeux d'un cachemire rend à chacune ce qui lui appartient.
Cette sorte de discrédit du cachemire avait découragé plusieurs
l'abricans, qui ont abandonné la partie. Quelques autres n'ont

pas désespéré et ont au contraire travaillé au perfectionnement
de cette industrie. Le moment est venu de signaler leurs tra-
vaux et de les remercier.

Au nombre de ces courageux industriels et en première li-
gne, on doit citer M. Brousse, fabricant breveté et fournisseur de
madame la duchesse de Nemours. Rien de plus beau et de
plus curieux à visiter que les magasins, on pourrait presque di-
re le musée de châles que M. Brousse a établi rue Richelieu,
82, à la Caravane. Tout en songeant au bon marché, ce nou-
veau dieu des industries modernes, il a pensé avant tout à
produire du beau et du solide ; aussi,quelle supériorité de qua-
lité, quelle richesse et quelle inépuisable variété dans les des-
sins et dans la disposition des nuances !

Ici, c'est un superbe cachemire indien fond blanc, relevé par
des rosaces ou des palmes éclatantes comme autant de bouquets
semés sur la neige. Là, c'est un l'ond bleu ciel pur, cette nuan-
ce si rare qui n'a encore pu être découverte que chez Brousse.
Plus loin, un fond mélangé dont la couleur serait bien difficile
à définir, mais qui est d'un goût et surtout d'une nouveauté re-
marquables; le dessin est du moins aussi original que le fond.
Mille nuances, enfin, mille dessins qui éblouissent et qui, au
sortir de là, passent et repassent dans votre esprit comme de-
vant vos yeux, les mille combinaisons du kaléidoscope. Et tout
cela se change et se renouvelle chaque jour. Les dispositions
qu'on indique aujourd'hui, vous ne les trouverez peut-être plus
demain; elles auront été enlevées ou expédiées par M. Brousse,
pour d'élégantes toilettes ou de riches corbeilles, à Saint-Péters-
bourg ou à Madrid ; car les magasins de la Caravane et les fa-
briques de M. Brousse sont connus à l'étranger comme dans les
départemens et à Paris. On conçoit très bien ce succès quand on
a visité les salons de la Caravane, et, tout en regrettant de ne
pouvoir consommer en France tous les innombrables produits
des fabriques de M. Brousse, on est heureux de voir ainsi ho-
norer à l'étranger notre industrie française.

Encore sous l'influence d'une mystification récente, le public
a pu craindre qu'il en fut de même des graines de I'arisre
saint ou Orgueil de la Chine, que de tant d'autres préten-
dues découvertes, importations, etc., qui n'ont d'importance et
de valeur que dans l'imagination qui les a enfantées. Le renou-
vellement des commandes et no3 correspondances avec les dé-
partemens nous prouvent que ces craintes mal fondées se sont
tout à fait dissipées. Partout où les graines de l'arbre saint ont
été confiées à la terre, elles ont parfaitement germé et donné à
l'horticulteur l'espoir certain de voir bientôt une nouvelle et
riche végétation embellir ses parcs et ses jardins. Nous croyons
utile de rappeler que ces graines se sèment avec succès au com-
mencement du printemps comme à la fin de l'automne. La
quantité qui avait été importée en Fiance étant considérable-
ment réduite par suite des achats multipliés qui ont été faits, il
n'en reste que quelques boites qu'on continue à vendre au prix
de 1 fr. 25 c.— Au dépôt, rueLaflitte, 40, à Paris.(Affranchir.)

gel ; — Je n y pense plus, par Ad. Adam : —Le lai d„ r,
seur prisonnier, par Mlle R. Mazel;—Oh! dites-moiZ,7
par P. Barroilhet; — J'ai peur! par A. de Beaun!an î?,;
monseigneur, par Th. Labarre. ' ~ Mtl

Chacune de ces romances, avec accompagnement Hp
ou de guitare, est ornée d'une magnifique lithographie 1
Nanteuil. Tous les chanteurs voudront connaît?» ,L

I

On vient de mettre en vente séparément chez E. Troupe-
nas, 40, rue Neuve-Vivicnne, les romances extraites des ra-
yons, album de chant de la France musicale, 6, rue Saint-
Marc. Des demandes considérables ont été faites de tou-
tes parts ;3 on se trouve maintenant en mesure d'y satis-
faire. Voici les titres| de] ces dernières compositions, qui se
répètent chaque soir dans tous les salons de Paris : Une Voix
dans l'Orage, par Niedermeyer ; — Pauvre Héloïse, par H.
Monpou; — Mon Fils charmant, par H. Monpou; —Plus heu-
reux qu'un Boi, par Ad. Adam ; — De loin, je n'ai plus peur de
vous, par L. Clapisson ; —Satan, pour voix de basse, parVo

tions les plus curieuses, les plus originales qu'on ait
jamais publiées.

peut-é

— Le portrait du R. P. F.-I). Lacordaire (Salon
Prix : 1 fr. papier blanc, 1 fr. 25 c. papier de Chine. CU™
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rations que la rigueur du froid cause à la peau nous ne
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Jii-la

■elle : la Hussie, «hez
à Saint-Pétersbou

les excellentes propriétés ont déjà reçu la sanction de nos
cipales notabilités de la science et du monde élégant.

avis. — On désire connaître l'adresse de M. Javersac
Bordeaux, qui était employé, en 1833, comme secrétaire L
l'intendance militaire en Espagne. — S'adresser au bureau!
Charivari.

classe 1841. — La première publication des tableaux
recensement des jeunes gens qui doivent, le 21 février
chain, concourir au tirage, ayant eu lieu, nous recomrajj
dons aux familles qui sont dans l'intention d'assurer avantL
tirage, d'une manière certaine, le remplacement et la libJ
tion définitive de leurs fils, la maison x. de lassalle et
qui en toute circonstance a donné des preuves de loyauj
d'exactitude et de solvabilité.—nota. Les bureaux, qui élaii
précédemment rue des Filles-Saint-Thomas, 1, place de
Bourse, sont maintenant place des Petits-Pères, 9, maison!
notaire.

iliurU NSW.

'«t le» effets «ur le« œuii

CELUI OUI FRAPPE 1

PÉRIRA PAR 1

0

merum,

opéra. —

français. — Manlius, — un Mariage.

second-tiiéatre-fraivçais. — Double éprCUVC, — lclfl

lantrope.
vaudeville. — Grand Palatin.

(A louer, trois entrées semestrielles au Vaudeville. —Ara
dre, deux entrées à vie au même théâtre. S'adresser au»
sier du Charivari.)

gymnase. — Les Fées de Paris, — Jolies filles, — Tiridate,-

le Père Turlututu.
variétés. — Chevau-légers de la Reine,

Chaîne.—Bas-Bleu.
palais-royal. — Le vicomte de Lélorières, — la Tantetn|

gardée, — .(eux innocens, —le Caporal.
folies.—Un Divertissement,—Benjamin,—Blancs becs.
cirque-olympique. — Murât, — le Bambocheur.
comte. — Les Hommes, — la Petite Voleuse,— Un Père.
gymnase des enfains.—L'Oiseau bleu.
panorama-national (aux Champs-Elysées). — Inccntk.,,, ,

Moseou, par Ch. Langlois. Fntrée: 2 fr.*50 c. J, ™1,re' Un se rappelle le i

salle saint-georges— Bal les dimanches, lundis fîtes acluels, notamment 1

a Provi
nous pr(
A la vér

pas en
jurés du
Ce qu
tice proi
faire elle fait tomber les cou]
Trinqucfort,-|tturs propres iniquités. C'es
(toverbiale, elle punit par où ]
lus beaucoup l'homéopathie i

ia?où'ianspeu en pilules,
^ous venons de voir un nou
«{enre de punition dans les i

Jeudis. Prix d'entrée ; 2 fr.

pŒI. grand VATELJS»

MM. éstpinassk et Valettk, nouveaux propriétaires du Grand Vat8L,J
l'honneur «le prévenir le publie qu'a partir du dimanche 5 deccmbrc ils
nent des déjeuners insau'n 4 heui-ps dn soir, à dos nrix modéras. L*'S huiin

ET R- que

AU BAUME DE COPAHU TBÈS-PUR SANS ODEUR NI SAVEUB.

par

-r'ice guizoline, pour moli
«M- Dupoty. Ils ont fait sur
•leur en chef du Journal
l'on est resj,
1ue Peut contenir une

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Ier venu et jetée h

, , , , . déjeuners Jusqu'à 4 heures du soir, à des prix modérés. Les fiyitrai'L » '

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* . ' • . . A • _. J, w.nnSXam lna An Anlnm nn » <9 «Annnlo rtll 1 "Htl , PG ] Q 0 Q|J 11] j Q Q

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