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Le charivari — 11.1842

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Mai (No. 121-151)
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M CHARIVARI.

promettante pour toute la première compagnie en géné-
ral et pour le colonel en particulier? Car, sans que nous
ayons l'honneur de connaître personnellement ce colonel,
nous n'hésitons pas à le croire digne d'inspirer des vers
mieux tournés.

Il n'y a certes pas de la mauvaise volonté du côté de
M. Cavailac, qui fait, au contraire, à son colonel, la part
du lion, le précédent quatrain étant bien certainement
le morceau capital et le plus sublime de l'œuvre. Mais,
en fait de petits vers, on doit dire d'un chasseur de la
première compagnie, comme de la plus jolie fille du
monde, qu'il ne peut donner que ce qu'il a dans la gi-
berne de son intelligence.

Une fois parti du pied droit et de son quatrain, M. Ca-
vailac astique a outrance les buffletteries de son esprit
et le fourniment de son génie. Il culbute, l'arme au bras,
les barricades que la grammaire élève sur son passage, et
donne de la baïonnette dans le ventre aux règles de la
prosodie.

Il court ainsi l'espace de cinq cents vers, qui se divi-
sent en je ne sais combien de strophes et sont presque
tous de la force de son quatrain. La chose, ainsi qu'une
note l'indique, se chante sur l'air de la Neige. La
Neige est un air bien froid pour chanter un enthousiasme
si chaud.

P. S. Le bruit courait hier soir, au foyer de VOdéon,
que ce nom de Cavailac est un pseudonyme de M. Pas-

quier. Si le fait est vrai, voilà qui nous expliquerait la
discrétion de la littérature de M. Pasquier, laquelle, du
reste, ferait fort bien en ce cas d'être discrète.

GAB.ILI.01T.

La presse gouvernementale avoue que la majorité ne
soutient plus la politique du ministère. Il y avait déjà
longtemps que sa politique n'était plus soutenable.

— Depuis le vote de Tamendement-Lacrosse, M. Gui-
zot parle plus fièrement que jamais des élections géné-
rales. C'est sans doute parce que sa majorité est tombée
dans l'eau qu'il a recours à la morgue.

— Maintenant que les centres eux-mêmes commencent
à ouvrire les yeux, l'homme de Gand compte sur la dis-
solution. Au rebours des maquignons, il changerait vo-
lontiers une chambre borgne pour une chambre aveugle.

— La Gazette d'Auvergne se trouve, à l'heure qu'il
est, à la tête de 11,000 fr. d'amende. Toujours en vertu
de cette promesse de juillet, modifiée d'après les lois de

septembre : « Des procès à la presse, il y en aura plus. »

Les parquets de province ont ordre de poursuivie

rigoureusement les délits des journaux. On voit que les

savons qu'on leur donne ne sont pas faits d'amendes
douces.

— Le Système-Guizot ne tend k rien moins qu'à dé-
truire la presse. Il a beau chercher à la tuer, il aura de
la peine à lui fermer les yeux.

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