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Le charivari — 11.1842

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Juin (No. 153-181)
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M CHASSE VAS! s.


— D'autant mieux qu'en se fiant au ,Talion en question
ils s'engageraient infailliblement dans une mauvaise
roule.

— On cite également, parmi les candidats ministériels
d Eure-et-Loir, un légitimiste converti, M. d'Argent. Il
n'est pas étonnant qu'un candidat d'argent se rallie au
plus gros budget de l'univers.

— Les candidats guizolins se proclament indépendant;
leur indépendance est comme celle du boslon ; c'est un
jeu.

— Bans une récenle solennité un ministre portugais a
donné publiquement un soufflet à un de ses interlocu-
teurs. Chez nous, les ministres ne donnent pas de souf-
flets, ils en reçoivent.

— Espérons qu'après avoir fait ses élections, M. Gui-
zot sera obligé de faire ses paquets.

QUESTIONS POLITIQUES.

22 juin.

Le docteur Prunelle n'a pas pu deviner « Quelles sont
les personnes qui souffrent le plus de V homéopathie? »
— Ce sont les personnes qui ont des cors, lui a dit M.

Flourens, parce qu'elles se plaignent de ressentir des
souffrances trop pommées aux pattes (trop homéopa-
thes). » 1

M.SouItadit aujourd'hui a M. Roui: « Savez-vous
quelle ressemblance il y a entre les limonadiefs et les
soldats qui meurent sur le champ de bataille ? »

eEâMBS,

Quand don Quichotte allait en guerre,
11 emportait sa rapière,

Et s'armait de mon premier;

Grâce à sa mielleuse parole,

Sans dépenser une obole
Mon tout sait remplir mon dernier.

Le mot du logogriphe d'hier est : C- hameau.

Le Code noir fait décidément merveille à l'Opéra-Comique.
Avant-hier ta salle n'a pu contenir qu'une partie du public qui
s était porté en toule à cet ouvrage. Aujourd'hui jeudi la
7e représentation.

Une représentation qui ne peut manquer d'exciter l'intérêt
du public doit être donnée demain vendredi, dans la salle de
POpéra-Comique, au bénéfice de Rosambeau, sociétaire de
l'Odéon. Les artistes de la Comédie-Française et de plusieurs
autres théâtres de Paris doivent apporter "leur concours à cette
représentation.

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numéros extraordinaires.

1° Le Convoi funèbre de nos libertés (en noir),

29 juillet 1840, prix, » fr. 60 c.

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roSefM K mT7Hnement * (cn

leoVf^rnM'rÀ1841 (cn quatrecou-

dlustialions du Charivari, par Gavarni
Daumier et licnjamiu, 10 décembre IR-ii prix '

vier dU Cons^°nnelV, 23'jan-

27m£ PâqUeS POlHiques M,

1842 plejxcauc/lemar d'un journaliste, 15 mai

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bon de 5 francs sur la poste, recevront franco
mande nUmU''0S extraordinaires- (Affranchir l'a lettre fô

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Le gérant, léopqld pannier.

AVIS A MM. LES NÉGOCIAIS DE PARIS
M. deVillemessant, ayant appris crue soitduKinW i-,
scr de la confiance de MM. les négociais soit dans
intention qu'il ne veut pas rechercher, ' des personnes t ^ '<;
presentees dans des maisons de commerce en menant lP iT
de directeur de la sylphide, il a i'1 onn™,?in UU!'
public qu'il est seul directeur-gérant et administr-deni^T i
sylphyde, et il engage MM ks comm rcan™^ ecevoir con''
me ils le mentent les gens qui usurpent ce'titre.

mQ'SMin.

français. — Le Secret de ménage, — une Chaîne
opera-comique. —Le Code noir,

DE SUITE

MAP TU 4 II Y l,fu' Chopin, Oshorne, Konts-
illUUlMllA ki, Ed.Woltf, Bertini, ~

Par A. Adam
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avec un teste explicatif par

mm. aliîéi1ic second, burat de

Paris au 19e siècle l'orme un album magnifique de 9G
pages grand in- i°, où l'esprit du texte lutte avec lé mérite
delà lithographie.C'est plus qu'une publication éphémère,
c'est un ouvrage écrit à la façon des romans de Le Sage,
nù les mœurs contemporaines, les ridicules du jour, les
habitudes de tout le monde se trouvent reproduits avec la
fidélité du daguerréotype.

Nul doute que le Paris au l!)5 siècle, après être resté
comme album sur les tables des salons, ne prenne place
dans les bibliothèques à côté du Cil Blas et du Viable
boiteux.

Voici les principales lithographies qui ornent ce recueil:
La Salle des Pas-Perdus.—Le Bal Musard.—Le Jardin du
Palais-lïoyal. — Un Étudiant.— Le Marché des Inno-
c ns.—Course au Champ-de-Mars. — Une soirée litté-
raire.—Le Luxembourg.—La Loge du portier.—l'Esta-
minet.—Le Pont des Arts.—Une déclaration.—Le Bou-
Se veMet eïaea; 1SËAU1S1EI5. et

gurgy, jai3ie, emile pages.

levard du Temple.—Les Titis.—L'Ecrivain public.-—Un
Tourlourou. — Les Gamins de Paris. — Une Croisée du
faubourg Saint-Jacques. — Une Leçon de danse. — Le
Mardi-Gras. — Le Pâtissier à la mode.— Le Marchand
de Beignets.— Le Bois. — Les Balayeurs. — Retour du
bal.—Les Alsaciennes;—La Cuisine.—Bcvue au Champ-
de-Mars. — les Matelots parisiens. — Le Dégraisseur. —
Le.Café en plein vent.— Le Foyer d'artistes.—Le Musée
un jour d'étude. —Lés Chiffonniers, — L'Antichambre
d'une grande maison. — Un Bal costumé. — Une Soirée
du quartier latin. —Une Ondée. — Une Promenade. —
Les Environs de Paris.—Une Leçon de musique.—Une
Rencontre au bal.—Le Singe' savant—Soirée travestie.
—Après la contredanse, —Jour du départ de garnison.
— La Cour des Messageries.

Prix : broché. ...... 24 fr.

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rer ni brûler. La simplicité du méca-
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garantie de plusieurs années, sans au-
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{Mi

(La scène se passe dt
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m. GtnzoT, les man
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voyez, je fais mes i
muscade, et revenez v<
, ie candidat. — C'es
mains !

m. guïzot. — Mais c
''°ns un peu déliées. &
Eh bien ! votre candid
Petit commerce élector
•"'e, marche-t-il bien ?

fonds ? Ah ! voyor
iVez reçu pour votre p
quatre routes vieil
Justes du roi en piâtn
'liante volumes, vingt-*
ïous rapporter... k tan
Silr ses doigts.)

candidat. — Soy(
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^'inquiète et m'embarr
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le candidat. — Ce n
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