Le charivari (11.1842)

Le°ice ni LavergD
(> c°mme Ie bergerT
a^si cette diffé
volontiers surso e
)nce et il tient an r

înt à tout pv„ La"
Ul' XcePté

!0nce' et hissons dor

rature le pseud
11 en politjqa ™e

Pans et candidat»,
me M" %nan,iau;é
orna.t sa boutonné

1 maire toulousain)

e Lavergne comait.
lesgrisettes;Apoll
ombre. C'était unevit
s et de rendez-vous, è
nps là, M. de Laver-
ibiade.

ue faire quand on e,|
e la haute poliUq®,',
gne-OBignanjquaai

issa chef du cabinet df
•s. Alors, dans les graï.
le Journal général fa
1 Encyclopédie usuelk
blia tout, et il ne resta
lême un souvenir, la

^qu'ils se ressemblent;
Mallac à la place de IL
tlessé quelquefois, mais
3 plaignit sa patrie, qui
rivant de ses appointe-
hances de l'élection,
•nce de Lavergne n'ayant
[u un autre à être nom-
, ce serait différent : on

le Gers queM.de Laver-
tôt qu'un autre? Je n'en
3 le sait pas lui-même

ition, le télégraphe, fqui
i allait courant partout,
reinté, épuisé, échiné,
laut de ses zig zag ces
>nce de Lavergne a été
Le public fit comme 11

rut immédiatement cto
. chrysalide de la candi-
ction.

paires de bottes vernit;
incipes ; d'autres lui rt-
;s selon toutes les règles
ax-ci lui expédièrent iW
s comme la conscience
ndirent une collection de
nés les plus parleo»

mit en quête d'un IoS1'
eux et riche, taillé suri,
nel. Il le choisit aucen-
er élégant, avec remis"1

;dia un erratum, et cet"
a été élu à Lombez.s"

ispéré sur les fournit®®
ut 5 ces fournitures étai®
i chose avait une ri®*

ait au télégraphe, '
lépense. N'être pas P
trop de deux. Il nîa
as ; ce moyen, M. e
[La tuitt à la


\ ï 7 .

Chez Bander "R. du Croissant, 1£>

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I in n . 4 Ânbcvt C'

Eu voilà un genre agréable ! monsieur s'amuse à lire le soir et il s'endort; quancl il se
réveille il preud son livre; a quatre heures il revient de son bureau,il me demande son
volume, et il pretend que rien ne m'amuse .