Le charivari (11.1842)

e-St-Jiartln,

ictes, dont un
et Lubize.

in a mis partout
charmes? parlez,faiJ
yers et Lubize en 0Dli

dramaturges ! en vén|j

is jamais pen-é qu'il »
de vertu dans les cœu
iramatique.

; vous >avez h quel poil,
i pratiquait |a pastorale
s'entendait le mieilî|
gras pâturages; ,1 étai|
t, cultivait la m disette a-
ne se nourrissait gu^
tge à la pie. (Caslana
cet assemblage de venu
lignes et d'innocence,il
loue, Claudine et uni
si complètement inodo-

a empêchî MM. Lubize
épris Claudine en sous-
ertu sied Lien à la Porte-
drame si pur, si naïf, et
lue, près de lui, la Du-
ser hardiment pour une
e.

nous délivrera dfiUSi-
•«iiats et des Savoyards?
leurs et des marmottes;
ous, chin chous ! C'est

:e de chon vieux père;
lion vieux père la chasse

ne elle est d'une com-
lablit décrotieur et com-
jmens, coupe les chats,
des voyageurs aux dili-

>lté s'approche de Clau-
|lette. Claudine reconnaît
et reconnaît, la jambe;
reconnaît sou séducteur,
)ur son agrément.
;on dont ses bottes sont
i service, en qualité de
i de l'orthographe de soi

secrétaire, qui n'est autre
! que Claudine, qui n'est
. vertu reçoit sa petite lé-

! a un moment où Clan-
père occupé à s'arracher

i son se est représenté pH

un elfet neuf et saisissant,
la reprise du Df»''rW'
et singulièrement rance,
serleur et Claudine fl

Comiques»

ludeville en 3 actes.

jrodigue qui jette 1
„t elle use s, rondes1
e qui, dans son le-tainj
user son cousin E> j
)inent d'épouser, t-do"»

prodigalités ; elle e> P

iromener, ce quil «ll
w(te à ht 4P

LES RUES DE PAUIS

jliei Bauyr x Pf-Tl. du Croissant 1G.

Imp. d Au 1)cil a

— Pourrenez - vous m'indiquer la Rue 511 Denis ?

— La. première a jauclre , la troisième adroite, ensuite à jauclie : "Vous prenez
le petit passade, vous traversez laplace, a droite et a j anche et toujours tout droit