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Le charivari — 11.1842

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Novembre (No. 305-334)
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son prétendu dédaigné qu'ils sont venus chercher un
refuge.

Hurtaut ne connaît pas Amélie, celle-ci ne connaît
pas Ilurlaut. Mais peu ît peu Amélie prend de l'amitié
pour ce capitaine, dont elle ne sait pas le nom. Sa
franchise, son caractère loyal, son courage éprouvé, ga-
gnent le cœur de la jeune tille. D'un autre côté le comte
Denneville perd à chaque instant dans son i sprit. Le
comte est fort léger et non moins ignorant.

Enfin au milieu du déjeuner survient uu orage. Le ca
pitaine prend sa hache et court au danger; le comte est
tremblant et veut qu'on le débarque k l'instant.

Pendant l'orage, Amélie surprend une lettre adressée
au comte et qui révèle à la jeune fille que le comle l'a
enlevée pour gagner un pari. Le capitaine Hurtaut a re-
connu, dans Amélie, celle qui lui était destinée; mais il
li croit la femme du comte et renferme sa douleur.

Amélie, déjà fort bien disposée en faveur du capitaine,
l'aime tout à fait lorsqu'elle apprend son nom, et....
vous devinez le reste.

L'étoffe de ce vaudeville a été bien souvent retournée
sur le théâtre; mais ce reproche ne serait pas capital si
les incidenset les péripéties soutenaient un peu plus la
curiosité. On sait dès le commencement tout ce qui va
se passer : rien de neuf, rien d'imprévu. Malgré cela, les
deux premiers tiers de la pièce sont amusans; les scènes
et le dialogue sont faits avec esprit et ne manquent pas
d'observation. C'est une réussite due en grande partie au
jeu des acteurs.

Tisserand, Luguet et Mlle Nathalie ont parfaitement
joué, sans oublier Rébar'l, qui fait rire dans un petit rôle
de marin.

La

OABILLOXî.

junte de Barcelone montre une impitoyable sévérité
contre les floueurs. On conçoit que notre geut officielle
crient à l'anarchie.

— Nous lisons dans un journal que quelques-uns des
canons destiné-; aux l'orl• ficaiion» de Paris viennent d'être
esravés au polygone. Pourvu que plus tard nous ne
>oyons pas destinés, nous autres, à en apprécier la por-
tée.

On assure qu en li.-ant la fameuse lettre-Faindacs
laquelle on proclame la profonde misère de la Liste-Civile^
MM. Rothschild, Roy et marquis d'Aligre sont allés im-
méiliatemi'iii se faire inscrire au nombre des indigens de
leur arrondissement.

— Sans doute aussi l\x-reine d'E-patrne, la malheu-
reuse Christine, qui u'a emporté que quarante à cinquan-
te misérables millions, va réclamer la soupe et le bouillon
a titre de pauvresse.

Le gérant, léopold panaier.

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d'allemand à 7 h. l[2. (Professeur, M. Siébecker ;et d'un cours
d anglais à 8 h. l[2. (Professeur, M. Baldwin.)

— Le Dictionnaire des racines cl dérivés de la langue
française offre aux personnes curieuses de posséder les 40,000
mots les plus usités le seul procédé pour les rattacher à trois
ou quatre mille racines, lesquelles, une Ibis gravées dans la
mémoire, y retiennent tous les autres mots et dispensent d'une
étude spéciale pour chacun.

11 présente l'application au langage des principes de cln«i<;
cation des sciences naturelles, et la collection des faits sur i '
quels sont fondées les lois générales et particulières de la f,,,"'
mation et de la dérivation des mots.

— L'Almanach des Filles el des Campagnes, oui r,„
brasse dans son cadre les diverses spécialités de chacun ,1
autres Almanaehs et dont les articles sont toujours emnrei,
il un grand intérêt d'actualité, de curiosité et d'utilité se I i
remarquer, cette année, par une prodigieuse variété de iinti!'
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santé publication.

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lieux, contiennent le récit de la vie de Marie-Caoelleen w'isnn
une discussion rapide de son procès et environ cent cinauant
lettres choisies dans sa correspondance.

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Bibliothèque élémentaire et morale que tous les pères de (ami »
et instituteurs peuvent avec fruit mettre dans les mains dis
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rités civiles, est également adoptée dans beaucoup deré"impns
pour l'instruction et la moralisalion des soldats. Le nombre (le»
volumes parus s'élève déjà à 10 et comprend, en outre des livres
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et i vol. de Petits Contes. Chaque volume est orné de 10 à là
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odéon.— École des Maris—Phèdre—Falstaff.

variétés. — lre rep. d'Halifax—Farine.

gymnase. — Davis, — Docteur,— l'Hôtel,—Belle Amélie.

palais-royal.—Mathilde—Jonathas—l'Omelette—le Loup.

porte-st-mautin. — Mathildc.

ambigu.—Gaétano—Trafalgar.

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e mirlt's dénis, les entretenir lilnnclies tt saines, en arrêter les douleurs cl la
«rie, et donner à l'haleine une odeur suave. La supériorité de celte Kau est re-
connue depuis un si giand nombre d'années, qu'il suffit de rappeler qu'elle se
fabriqueseulementrueC q-Ileron,5.

AVIS.

Le CHOCOLAT MENIER, comme tout produit avantageusement con-
nu, a excité la cupidité des contrefacteurs; sa forme particulière, ses
enveloppes, ont été copiées, et les médailles dont il est revêtu otitétc
remplacées par des dessins auxquels ou s'est efforcé de donner»
même apparence. Je dois prémunir le public contre celle fraude. Mon nom est sur les ta-
blettes du chocolat menieR aussi bien que sur les étiquettes, et l'elTigie des médailles qui J
figurent est le fac-similé de celles qui m'ont été décernées à trois reprises différents par le
uoi et la société i>'e.ncouhacement. Ces récompenses honorables m'autorisent à faire dis-
tinguer le chocolat menieR de tous les autres. L'heureuse combinaison des appareils que je
possède dans mon usine de noisiel, et l'économie d'un moteur hydraulique, m'ont mis
même de donner à cette fabrication un développement qu'elle n'avait jamais atteint. Ce cho-
colat, par le seul fait de ses qualités et de son prix modéré, obtient
aujourd'hui un débit annuel de plus de 500 milliers, et s'est acquis '

une réputation méritée. Dépôt principal, passage choiseul, 2t, et
chez MM. les oharmaciens et épiciers de Paris et de toute la France.

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II FA

CE FUT l
Ç

Lu lettre circul
far M. Michel
mic, section de

Monsieur,

J'ai Ion;
Et l'on
Courtisa
Quêter
Disant l
Disant i
Partout
Suivant
Partout, p
Suivant

Ce couplet rést
mes mésaventure
peler, parce que 1
la suile d'une dép
•le parlie de ma n
la mère Michel t
"tût je suis connu
dais.

Vous savez qu'i
candidaturi, à pi
liièreàmcs ort il

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Un 1

Eli bien ! inonf
su's résolu maint
'wdèiniques cett
cette rate iné
suite des élection
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Pourrais tout au |
Pasà 'a foiSj attei
'"ullanément. Pe
'fe P°ur un trotl
s'' y aura de qt
efains de devei
Quoi qu'il en g
1.B'o ^ypodrome;
Sl0n> tantôt à la s
,es «eaux-Arts,
passée de moi
.u,là comme je s
ec'ifs me convie
Rendent que je
Mitut est en
111 ('e ma courst
devant,
tout en co
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