Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Le charivari — 60.1891

DOI Heft:
Janvier
DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.23885#0067
Überblick
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext

— Que cle fleurs d’oranger!

— De quoi se refaire une virginité,
ma chère !

— Enfin, qu’est-ce qui vous charme le
dus, dans ce pays enchanteur : La na-
ure? Le jeu? Le théâtre? Les courses?...

— Non... L’absence de politique.

— C’est singulier !... Crôi riez-vous que —Voilà'qui repose desjin-
mon médecin s’opposait à ce que je sanités des cafés-concerts,
vinsse ici!

— Parbleu! Il savait que vousy’1senez
rapidement guéri.

LE ÇUE

L (loi de CMH£AUX Pt. a\u/Y\ dL tôt**
dü. ta^rCu£djLs

L'EPATEUR.

K

Solo pe CamoN

SaAM cUuXL jt<nM ^
CcrtAce/jL

LE AiER-VEUX

Lrc (M. (LtiMt tjLyn pj; ;

! U7VC , (tluX,... ÏClH .

HORS CONCOURS
(jLateaA. ûrttoVwW^-J

UNE SCÈNE D’OPÉRA-COMIQUE JOUÉE AU
NATUREL

Fidèle au stand, le général, mais — Vous ne devez pas faire de bril-

nc tire jamais. Adore simplement le lantes affaires dans ce pays?

crépitement des fusils,qui lui rappelle — Quelquefois... Comme objets de

ses campagnes. curiosité.

bourgeoisie Plus une place dans les liô-

— Tu as vraiment gagné deux mille • • • • Madame ne serait pas de

francs ? 1 Œuvre de 1 Hospitalité de nuit ?

— Oui, ma chérie, et sans que per-
sonne me fasse la moue comme quand
je gagne quinze sous aux Beauminet.
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen