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Le charivari — 60.1891

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Décembre
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https://doi.org/10.11588/diglit.23885#1362
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CROQUIS

PAR PAF

’Op.

PUBLICITÉ FIN DE SIÈCLE

j L'humilité drôlement pratiquée\ par ceux au
M’enseignent.

LE CÉLESTF«-EMPIRË

taien'a

c d'amour
; celle-là? J

1er a écrit

é, et

is quina

— On vous a arrêté pour avoir injurié les mi-
nistres. Dans quel but? Quel sujet de plainte
aviez-vous contre eux?

— P ucun, mon commissaire; je comptais seu-
5 lement qu’on ferait des souscriptions en ma fa-
' veur.

leur façon de s’appuyer sur la loi

3

,• 7^ Que veux-tu pour ton petit Noël, Toto? Des
J°uJoux ou des bonbons ?

fZe veux... des joujoux... en sucre et en ço-

— Vous demandez un billet pour la Chambre,
vous, un marchand de jouets? Quel intérêt?

— Je cherche un nouveau type de pantin pour
les étrennes.

— Comment! tu vas au bain parce vent-là?

— C’est pas pour mcn plaisir; mais je dois me
présenter tout à l’heure à mcn nouveau direc-
teur. Alors,Jtu comprends...

APRÈS LES SYNDICATS CORPORATIFS, LES VEILLEURS
DE NUIT DE M. G. BERRY

Toujours la marche progressive... vers le
moyen-âge.

— Plus de chance que nous, celle-là! Mainte-
nue. sans limite d’âge, au cadre d’activité...

UNE SÉPARATION QUI S’IMPOSE

— Les fêtes deNoëi, puis les étrennes...C’est le
moment de s’abriter des rigueurs de la saison ;
en route pour Monaco!

— Tu as entendu? On vient d’adjuger son lit à
onze cents francs.

— Mazette ! Elle était donc dedans?
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