Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Le charivari — 60.1891

DOI Heft:
Décembre
DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.23885#1367
Überblick
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
LE CHARIVARI

nentde l’usage des apéritifs, chaque jour la maison
Picon reçoit d’innombrables lettres de défenseurs

spontanés offrant de prouver, fidèles appréciateurs
du célèbre Amer, qu’ils lui doivent, au contraire,
une santé et un appétit de plus en plus florissants.

Bien naïfs, ceux qui s’émeuvent ainsi des bizarr e-
ries de la science excentrique!

Il paraît que le directeur d’une Banque du clergé.f
vient de se brûler la cervelle.

C’est singulier l La Providence refuse donc de
protéger ceux qui cherchent à réunir des fonds en
son honneur ?

On prétend que M. Boulanger, le nouveau direc-
teur de la Compagnie des Omnibus, rencontre de
sérieuses difficultés dans l’accomplissement des
réformes qu’il projette.

C’est ça qui ne nous surprend pas !

Il n’y a pas de société plus enracinée dans la rou-
tine que celle des Omnibus, à laquelle il faut arra-
cher de vive force la moindre amélioration.

Mais s’il en est ainsi, pourquoi le Conseil muni-
cipal n’userait-il pas du droit de déchéance dont il
est investi ?

C’était un artiste d’une réelle valeur que ce pauvre
Emile Bayard, qui vient de mourir en Egypte.

Il y avait quelque trente ans qu’il travaillait avec
acharnement. Il avait débuté par des illustrations
dans un journal qui suivait les péripéties de la
guerre d’Italie, et auquel de Neuville collaborait
aussi, dans les prix les plus doux.

Puis la vogue vint, et la célébrité aussi. Dans les
derniers temps, la moindre illustration de Bayard
était payée cinq cents francs, sinon mille.

Autres temps, autres tarifs. C'était dix francs
jadis !

Depuis longtemps il se sentait touché à fond.

La dernière fois que je le rencontrai, avant son

départ, il était très découragé, très épuisé
ü

lomme je lui parlais de ses travaux :

— Ce que je devrais dessiner, fit-il en hochant la
tète, c’est un modèle de tombeau pour moi.

Il ne pensait pas dire si vrai, hélas!

Une veuve cause avec une de ses amies intimes.
Et dans un épanchement sincère :

— C’est drôle! Il me semble que, quand je trom-
pais mon premier, ça m’amusait plus qu’à présent.

Jean Ralph.

LA VELOUTINE

est une poudre de riz préparée au bismuth, par consé -
quent d’une action salutairé sur la peau, â laquelle elle
donne la beauté et la fraîcheur de la jeunesse.

Ch. Fay, inventeur, 9, rue de la Paix

(Se méfier des imitations et contrefaçons)

Manufacture de chaussures ferlin Maubon et C®, à
Nancy. — Usine à vapeur rue de Strasbourg, 47. Chaus-
sures pour hommes, femmes et enfants. — Chaussures
militaires brevetées, s. g. d.

Tjmvoyez mandat-poste de 1 francs à Bourdin et Cie,
Ci Levallois-

■Perret, et vous recevrez franco

1° Une boîte Cire hongroise en pâte, pour meubles
et parquets cirés et vernis. Donnant le plus beau
brillant et ayant la plus grande durée ;

2° Une boîte Pâte anglaise, pour polir et nettoyer
les cuivres, l’argenterie et le nickel ;

3° Une boîte Pâte américaine, pour nettoyer et en-
tretenir les fourneaux, le fer, l’acier, etc.;

4° Un étui Encre-Poudre Ewig, pour faire son
encre soi-même, à la minute.

Le Directeur-Gérant, Pierre Véron.

Paris. — Alcan-Lévy, imj rimeur breveté, 24, ru® Chauchat.

StADllÜT Argenture sur bijoux et métaux
IHIKullU (3e arrondissem.) Spécialité p. petits

bronzes et ornements tous genres, beau matériel,
9 ouvriers en tout temps. Bénéf. 7000. Px 20000.
JPetitjean, 12, rue Montmartre, 12,40e année.


V*


%


BIVTERS

3XT. SAILLARD

du HAVRE

EBTBEP0Tül:Rus Danguy F'S -Sever

ROUEN

Les Srs de N.et S . SAILLARD : BDNOÜF & C«

Bitters. Nous n’avons pas 2 quai, de bittors,
la différence ne réside que dans la couleur,
nous ïa varions au gré de la consommation,

Extrait de Grenadine. — La dose d’extrait pour transformer

.t. 7Q centüit.; 11

suffit pour opérer cette transformation do l'ajouter a froid au sirop

100 litres sirop simple en sirop de Grenadine est de 2 lit.

jour opérer cette transformation do l'ajouter à
simple et de bien remuer le tout afin d’obtenir un mélange complet.

PÀB&l^DE ü LIQUEURS SUPERIEURS!

U SIKS à CHARENTON (Saint}
Maison MAMC5ÎA.WO

ABSINTHE SUPÉRIEURE

Bîp8ôssft<©g Soirs Concotm

mhmi P4STHLEPJI CENTRALE « PARIS


1TIAIB FOûKIII

CURAÇAO, AN 1SETTE, CHERRY BRANDY, etc.

Dépôt unique: 2, rue Auber,PARIS

Membre du Jury de l’Exposition de 1889.

BRASSERIE DU CONGRES

PARIS ~ 43,

Restaurant de 1er Ordre
BOULEVARD DES CAPUCBNES

PARIS

Cet etablissement, situé en plein mouvement mondain, entre l’Opéra et la Madeleine et dont le
succès toujours croissant a obligé son propriétaire, M. VIVIER, de s’agrandir, vient de s’adjoindre un
restaurant dont les JPrix modérés, la Carte variée, les Vins de Chois, en font une maison
de 1er ordre. La renommee de sa bière attire tous les jours chez lui une foule d’amateurs.


AUX ROCHES NOIRES

EENRI GARAI ON, Propriétaire

CAFE-RESTAURANT

Place Saint-Georges

Ü|ttraction6

PARIS

OUV««T.

fSUlT

** Salons

et Cabinets particuliers


Paris GARE SAINT-LAZARE Paris

GRAND RESTAURANT

de la G ARE de l'OUEST

Communication directe avec l’intérieur de la Gare

Coin de la COURduHAVRE et Rue d’AMSTERDAM, 11
Cuisine et Vins renommés — Prix modérés.

Un service spécial et gratuit est organisé pour
prise des bi llets et I'en r egist r e m ent des bagages

MÉDAILLE D'OR, exposition 1889

IIULAliERIE HÊDÉ

MAISON FONDÉE EN -1700

U fin hspertut* «t U plu ufiiem Boulangerie de Puris.

&vl1q8 2Daa?idasi Br

452, Rue Montmartre, PARIS

Spécialité depains deluxe
pour RESTAURANTS «t HOTEL»

TtLEPBOHE oorretpoodaBt jour et nuit pour les livraiseu A demis1«

RESTAURANT & CAVES RENOMMÉES
Msea L AVENUE

Gare Montparnasse, l,r. du Départ, Paris

HOTEL DE FRANCE ET DE BRETAGNE

G-ETJFFAZ FILS, Propriétaire

SALONS - CABINETS — J AUBIN.

PLUS

da

COPAHU

IN J ECTION PEYRARD d


• Notifié 4SI ffuérlcons. » — Cbu l’iiveateur E. Payrard. place do Cauitole. à Toulouse, «t dau tootei Je* PhinuciHL

Fondée en 1843

LA FRANCE

INDUSTRIELLE

journal (Hebdomadaire illustré

ORGASE des CHAMBRES BE COMMERCE

EXPOSITIONS & CONCOURS

Résumant les principaux Événements j
Industriels, Scientiûques, Agricoles
Comme roi a ux, Artis tique s & Fin an ciers
(Paris. 24 fr») ...

ABONNEMENTS ! Départements )2Bfr. Par ^

Union Postale
L’important Tirage de cette Publication de
luxe en a fait un organe de publicité industrielle |
üe premier ordre.

ANNONCES : 3 fr. 50 la Ligne; RÉCLAMES : 7fr.lt Ligne I

DECOUVERTE RÉCOMPENSÉE

PAR LA SOCIETE D’ENCOURAGEMENT POUR L’INDUSTRIE

Deux Médailles à l’Exposition internationale Paris 1875

ENCRE-FOUDRE EWIG

JRoixr* faire son Encre soi-mem©

Dissoute à la minute dans l’eau froide, noire, limpide, inaltérable, végétale, inoffensive, ne tachant pas le linge, n’oxydant
pas les plumes, ne moisissant jamais, durée indéfinie.

Présentée sous un petit volume, commode à porter sur soi, l’Encre-Poudre Ewig- est indispensable aux
ecclésiastiques, aux médecins, aux officiers ministériels, aux militaires, aux marins, ainsi qu’à toutes les personnes qui
voyagent. Cette poudre peut rendre de grands services aux fabricants de gants pour noircir les coutures des gants noirs,
oit seule et mieux additionnée d’une décoction de campêche, avec un soupçon de soude au lieu de l’eau.

La Doîte cLe 1 litre . 1 fr. »

— 10 — 4 fr. 50

— 25 — 10 fr. *

— 50 — 18 fr. »

— 100 — 35 fr. »

Envoi Franco dans toute la France

DEPOT GENERAL:

Paris — 92, Rue JFiiclieliexi, 92 -- Paris

Ailministration&Rédaction:34,ryeIiaJ3î^e,PÂRIS

COTILLON

Aux ENFANTS

PARIS — Passage Jouffroy — PARIS

ACCESSOIRES pour la DANSE. — Envol du Cataloguo
Vantu «t Location oour Paris et la Province.

Afin d'aider à la répression d» la
fraude, ci-contre le fac-similé des
seules bouteilles dans lesquelles
sont enfermés et scellés les Rhums
authentiques des plantations
Saint-James.

Le territoire de Saint-James
(Antilles), est célèbre par ses sites
merveilleux, la variété de ses
beautés agrestes, et la richesse de
sa végétation.

C’est sur les flancs de ses Mornes
(montagnes), que sont situées les
admirables plantations de S*-J AM ES.

Les rhums issus de ces Plantations, doivent
à la nature seule, leur indiscutable supériorité.
11 y a là, une loi supérieure, une question de
crû, comme pour les grands vins et les Rhums St-James
tirent de ces terres merveilleuses, au sol et au sous-sol si
extraordinairement riches cette nervosité, cette plénitude de
parfum et d’arôme, qui les ont rendus si justement
célèbres dans le monde entier.

[Spécialité pr Cerclas,Hôtels,Cafés,Paquebots.--

Restaurants.—FORCE LA INES _____-H2?

P* —---— nnc Hiornic numcl

LE HAVRE
ORFÈVRERIE CHBlSTOFLE.SeulRoprégenUnl

DEMANDEZ

LE

Nouveau Fume-Cigares&Cigareïtes

CH A SSE- CIGARES

le MYSTÉRIEUX

BREVETE S. G. D. G.

Médaille d’°r Exp.üniv.,Parisl889

or -rnnitn/c ( dans les Maisons spéciales d’Articles Dr Fumeurs
O t / ri U U V t ( et dans les principaux Débits de Tabacs.

DBS jÏAUX JMikAralbs
(VOSGES)

VITTEL

GOUTTE, ÜKAVELLE
DIABETE,VESSIE
ESTOMAC

COLIQUES HÉPATIQUES
CONSTIPATION

__ CONGESTIONS, FOIE

Etablissement ouvert du 25 Mai au 25 Septembre.

Grande SoliïCB
Source Salée

% c

VIENT DE PARAITRE

LE CHEQUE BARRÉ

ÉTUDE D’ÉCONOMIE SOCIALE

Pas6 Ernest GRILLON

Banque, Escompte, baissé de l’intérêt, Systê*
me financier Anglais, Crédit gratuit.

Les affirmations de cet ouvrage sont l’objet
de vives discussions dans le monde politique et
financier; celles relatives aux bénéfices com-
merciaux sont acceptées, il est utile pour tous
connaître.

1 Vol. in-8. franco ê fr.
SUILLAUMIN&G0, Éditeurs, 14, r. Richelieu,PARIS

LE GRAND HOTEL

UMELLES

CD. DUBONNET, PROPRIÉTAIRE. — ENTIÈREMENT RESTAURÉ. — ASCENSEUR. - BAINS

..

$*•;;;;».

ii»»*1'

TÉLÉ

ghapuK

dire0

Littéral1

FIEBB*

Rédacteur

politique

BURE

iîU rédaction et^

Hue de la ^

HUES

.0ertarf» comme 1
jîune attrayante

LiUJLk
OFFERTES AUX AB
IliOSNRïBNT D’UN

intermédiaire,

[E PETIT

PARAISSANT

;^ê$ de texte et de

PATRE \

- ces dix ouvr

iprix de 3 fr. ï

H üilTDOLD. Cass
iliet- Georges !
SiL Paradoxes féno
idle Monténégro. •
jiiî.La Pointe au i

- L Datyl. Le
L'Homme toi

J de recevoir /

aie I franc 50,

mu

OFFERTES a TOU!

!b<eufs £

EETOU'

Sets

Pein

*»rjf.Se. fais

cei>t. ; la

"■“««s les (

Plus 2 francs'

Ha Nc

un

ea.pt

1 se fais.

C “‘-lia

ftncs les c

% 2 L

V. ^CTEUï

le

K?0’*

Mo

Vfee ■


L. flus°fr.
Bildbeschreibung
Für diese Seite sind hier keine Informationen vorhanden.

Spalte temporär ausblenden
 
Annotationen