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Le charivari — 60.1891

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https://doi.org/10.11588/diglit.23885#1390
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CROQUIS — PAR PIF


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LA MEGERE A APPRIVOISER

— Pas de potin, ou plus de galet'e

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- C’est la première fois que mon client se pré-
sente devant vous... J'espère que le tribunal vou-
dra bien lui faire la risette de Bérenger 1

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LA SURETE A PARIS

avant^^§'®^.pnenant^quelques autres précautions


M. de Freycinet, ayant enfin, comme acadé-
micien, une épée au côté, se décide à passer des
revues en costume de général.


■Ÿ :iJ SU

— Dégoûtant, le journal que vous m’avez vendu
là!...

— C’est vous qui êtes un vieux pornographe !
Pourquoi l’avez-vous acheté V



— Mon cher, un assassin n'a [qu’à sonner... il
se jette sur vous... J’ai mis une [chaîne chez moi!

— Moi, je ne crains rien... C’est toujours ma
belle-mère qui va ouvrir la porte.

W-c -


— Vous n’allez pas me faire payer, je suppose!

— Et pourquoi ça?

— Je suis le sénateur chargé du rapport des
droits sur le guano.

I '

Encore un nouveau crime!
C’est effrayant !

Mais on a découvert...
L’assassin?

Non... le couteau !

• 7 / /


— Mais je ne suis pas libre demain... tu sais
bien ; mon' mari...

— 11 sera coffré; je l’ai dénoncé comme l’auteur
du crime du boulevard du Temple.

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l’agriculture fin de siècle
cilarrue-bicyclette à l’usage des laboureurs.



LES DERNIÈRES A L’OPÉRA

N’ayant plus rien à attendre de la direction qui
finit, les danseuses ne lèvent plus la jambe et les
chanteurs ne chantent plus qu’à demi-voix.

-À /*=SN

i

— Maman, pourquoi papa a dit comme ça que
tu allais lui donner pour ses étrennes une poupée
qu’il ne demandait pas ?
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