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par
CROQUIS
PAR PAF
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TA POLITIQUE DU BULGARE STAMBOULOFF
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— C’est raide! On me condamne pour avoir soi-
disant martyrisé mon chien que je corrigeais!
— Ah! s’il s’était agi de votre enfant, on aurait
certainement été plus indulgent.
'U
V*
Après le Théâirophône, le Chambropkone, qui
permet aux députés d’assister, sans se déranger,
aux séances du matin.
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■V
T
$3)
Le travail dans les prisons, suivant le vœu du
Conseil général de la Seine
i;m I
m
U”—u
— Comment ! mon enfant, vous voulez que l’Etat
vous donne une subvention pour vous mettre
dans vos meubles?
— Bédame!... Moi aussi je suis mineure, et on a
bien donné 50,000 francs à ceux qui se sont
établis.
1'AMêH IJ
Picon I !
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PIUSOW ;
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_T'~ Veinards! Ni cadeaux ni visites à faire au
Nouvel An.
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m
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m
— Vos éirennes? Mais je vous les ai données
la semaine dernière...
— Pour 1892, en effet. Mais je viens pour 1893 ;
on a l’habitude de s’y prendre un peu d’avance.
V,
Délicieux, l’Amer Picon
» i;
m
— Mon chéri, désormais, il me faudra vingt-
cinq louis de plus par mois.
— Mais...
— C’est l’époque du renouvellement des traités
de commerce; j’en profite.
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llll/H I
— Que de chaînes de sûreté! Tuas donc bien
peur des voleurs?
— Non, mon chéri ; c’est pour te donner le
temps de filer par l’escalier de service si mon
mari rentrait.
— Eh bien, Lucie, ça t’amuse, le théâtrophone?
Que viens-tu d’entendre?
« — Cochon de souffleur qui ne m’envoie pas ma
réplique ! »
&
ZÈLE FIN D’ANNÉE
— Concierge, vous eussiez pu me remettre cette
lettre demain...
— C’est peut-être une bonne nouvelle; la belle-
mère de môssieu était si mal !...
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— Non, mon chéri ; c’est pour te donner le
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Que viens-tu d’entendre?
« — Cochon de souffleur qui ne m’envoie pas ma
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