bres ou vers la base du sujet pour espa-
cer de plus en plus du côté des lumières.
La patine que retiennent les tonds con-
tribuera aux ombres et produira un
dégradé d’un effet toujours avantageux.
Nous donnons (fig.) le dessin d’un
cadre à photographie qu’on pourra réa-
liser en étain.
La partie gauche du sujet donne le
tracé géométrique, base de la compo-
sition. Une ligne d’axe
divisera d’abord la
feuille par le milieu ; on
limitera ensuite la lar-
geur et la hauteur du
cadre. On tracera le
cercle qui réserve l’es-
pace consacré à la pho-
tographie, puis les cir-
conférences qui enve-
loppent les fleurs de
pervenche ; on divisera
ces petites circonféren-
ces en cinq parties éga-
les correspondantes au
nombre de pétales et à
leur sommet. Pour tra-
cer la tige on décrira,
du centre de la grande
circonférence, des arcs
de cercle parallèles à
cette circonférence ; on
les prolongera, par le
bas, suivant le croquis.
On dessinera enfin les
fleurs et les feuilles.
En exécution, l’on
prendra garde au recou-
vrement des fleurs. Les
pétales recouverts par la
fleur voisine seront indiqués par un très
faible modelé. Le travail achevé, on dé-
coupera le métal à 1 ’intérieur de la grande
circonférence. Nous donnerons la ma-
nière de procéder à cette opération,
(A suivre).
On lira utilement : Karl Robert. Traité pratique des métaux repoussés. Bornemann, Paris.
cer de plus en plus du côté des lumières.
La patine que retiennent les tonds con-
tribuera aux ombres et produira un
dégradé d’un effet toujours avantageux.
Nous donnons (fig.) le dessin d’un
cadre à photographie qu’on pourra réa-
liser en étain.
La partie gauche du sujet donne le
tracé géométrique, base de la compo-
sition. Une ligne d’axe
divisera d’abord la
feuille par le milieu ; on
limitera ensuite la lar-
geur et la hauteur du
cadre. On tracera le
cercle qui réserve l’es-
pace consacré à la pho-
tographie, puis les cir-
conférences qui enve-
loppent les fleurs de
pervenche ; on divisera
ces petites circonféren-
ces en cinq parties éga-
les correspondantes au
nombre de pétales et à
leur sommet. Pour tra-
cer la tige on décrira,
du centre de la grande
circonférence, des arcs
de cercle parallèles à
cette circonférence ; on
les prolongera, par le
bas, suivant le croquis.
On dessinera enfin les
fleurs et les feuilles.
En exécution, l’on
prendra garde au recou-
vrement des fleurs. Les
pétales recouverts par la
fleur voisine seront indiqués par un très
faible modelé. Le travail achevé, on dé-
coupera le métal à 1 ’intérieur de la grande
circonférence. Nous donnerons la ma-
nière de procéder à cette opération,
(A suivre).
On lira utilement : Karl Robert. Traité pratique des métaux repoussés. Bornemann, Paris.