Cours C
Emploi décoratif de la fleur et de la feuille
de capucine.
La capucine, type de la famille des tropéo-
lées, comprend plus de trente espèces dans
l’Amérique centrale. La plus célèbi’e est la
grande capucine, superbe plante grimpante,
originaire du Pérou, où elle est vivace.
La capucine de nos jardins est annuelle ; ses
tiges s’élèvent à plusieurs mètres et portent de
larges feuilles peltées d’un vert glauque ; ses
fleurs d’une forme et d’une couleur caractéris-
tiques ont une saveur analogue à celle du
cresson.
Les fleurs de capucine servent à garnir la
salade. Les jeunes boutons et les fruits verts
peuvent être confits au vinaigre, en guise de
câpres.
La capucine tubéreuse a été employée comme
un succédané de la pomme de terre, mais sans
grand succès à cause de sa saveur peu agréable.
Symbolisme : Indifférence.
Dessiner la plante d’après nature ; styliser
la feuille et la fleur.
Avec ces éléments composer une rosace dé-
corative en répétant cinq fois le motif autour
du centre.
Au lieu d’employer la fleur vue de profil on
peut répéter la fleur vue en plan tout autour
de la rosace en la recouvrant en partie par les
feuilles, où il y a lieu.
Avec les mêmes éléments composer une frise,
en ménageant un fond particulier dans les cir-
conférences ornées de trois feuilles.
Projections
Dessiner en « plan, élévation et profil »,
un marteau.
On dessinera d’abord l’élévation (vue de
face), puis le plan et la vue de côté après avoir
tracé les axes.
On marquera les traits forts et les cotes se-
ront soigneusement indiquées.
Echelle de reproduction : demi-grandeur.
Il est utile de remarquer que l’on distingue, dans
un marteau : la panne, Vœil et la queue.
La panne est ordinairement plane et large ;
quelquefois elle porte des figures ou des carac-
tères qui doivent être imprimés, par la per-
cussion, sur les matières destinées à les recevoir.
Avant l’invention du balancier, on fabriquait
les monnaies avec le marteau. La panne du
marteau varie avec les besoins de chaque mé-
tier.
L,’œil est un trou rectangulaire qui traverse
toute la masse et reçoit l’extrémité du manche.
Dans un marteau bien établi le centre de
gravité de la masse doit correspondre au centre
de l’œil. Si l’on s’écarte de cette règle il vaut
mieux que le centre de gravité se rapproche de
la panne.
Le manche, la queue, varie de forme selon
l’usage auquel le marteau est destiné.
348 —
Emploi décoratif de la fleur et de la feuille
de capucine.
La capucine, type de la famille des tropéo-
lées, comprend plus de trente espèces dans
l’Amérique centrale. La plus célèbi’e est la
grande capucine, superbe plante grimpante,
originaire du Pérou, où elle est vivace.
La capucine de nos jardins est annuelle ; ses
tiges s’élèvent à plusieurs mètres et portent de
larges feuilles peltées d’un vert glauque ; ses
fleurs d’une forme et d’une couleur caractéris-
tiques ont une saveur analogue à celle du
cresson.
Les fleurs de capucine servent à garnir la
salade. Les jeunes boutons et les fruits verts
peuvent être confits au vinaigre, en guise de
câpres.
La capucine tubéreuse a été employée comme
un succédané de la pomme de terre, mais sans
grand succès à cause de sa saveur peu agréable.
Symbolisme : Indifférence.
Dessiner la plante d’après nature ; styliser
la feuille et la fleur.
Avec ces éléments composer une rosace dé-
corative en répétant cinq fois le motif autour
du centre.
Au lieu d’employer la fleur vue de profil on
peut répéter la fleur vue en plan tout autour
de la rosace en la recouvrant en partie par les
feuilles, où il y a lieu.
Avec les mêmes éléments composer une frise,
en ménageant un fond particulier dans les cir-
conférences ornées de trois feuilles.
Projections
Dessiner en « plan, élévation et profil »,
un marteau.
On dessinera d’abord l’élévation (vue de
face), puis le plan et la vue de côté après avoir
tracé les axes.
On marquera les traits forts et les cotes se-
ront soigneusement indiquées.
Echelle de reproduction : demi-grandeur.
Il est utile de remarquer que l’on distingue, dans
un marteau : la panne, Vœil et la queue.
La panne est ordinairement plane et large ;
quelquefois elle porte des figures ou des carac-
tères qui doivent être imprimés, par la per-
cussion, sur les matières destinées à les recevoir.
Avant l’invention du balancier, on fabriquait
les monnaies avec le marteau. La panne du
marteau varie avec les besoins de chaque mé-
tier.
L,’œil est un trou rectangulaire qui traverse
toute la masse et reçoit l’extrémité du manche.
Dans un marteau bien établi le centre de
gravité de la masse doit correspondre au centre
de l’œil. Si l’on s’écarte de cette règle il vaut
mieux que le centre de gravité se rapproche de
la panne.
Le manche, la queue, varie de forme selon
l’usage auquel le marteau est destiné.
348 —