P II 0 P 0 R T10 N S COM P A R A TIV E S
D B
L’HOMME ET DU CHEVAL
Après le canon hippique
dont j’ai entretenu le lecteur,
j’indiquerai les proportions
comparatives de l’homme et
du cheval, afin d’instruire
l’œil du dessinateur, en m’ap-
prochant le plus près possible
de la vérité; mais, je le ré-
pète, l’ayant déjà dit, en
traitant la question du canon
humain, toutes les mesures
prises sur le vivant ne peu-
vent être et ne sont que des
approximations.
On entendra seulement
par proportions, l’expression
simplifiée des rapports des
différentes régions répon-
dant à l’ensemble le plus
favorable d’un bon fonctionnement vital.
Malgré les recherches sur l’extérieur du cheval ayant pour ori-
gine la mensuration d’un grand nombre de sujets, je n’hésiterais pas à
reconnaître l’insuffisance de ce travail que je déclarerais incomplet,
stérile et péchant par la base, si on s’était occupé seulement de limiter
— 3e pékiode. 49
v.
D B
L’HOMME ET DU CHEVAL
Après le canon hippique
dont j’ai entretenu le lecteur,
j’indiquerai les proportions
comparatives de l’homme et
du cheval, afin d’instruire
l’œil du dessinateur, en m’ap-
prochant le plus près possible
de la vérité; mais, je le ré-
pète, l’ayant déjà dit, en
traitant la question du canon
humain, toutes les mesures
prises sur le vivant ne peu-
vent être et ne sont que des
approximations.
On entendra seulement
par proportions, l’expression
simplifiée des rapports des
différentes régions répon-
dant à l’ensemble le plus
favorable d’un bon fonctionnement vital.
Malgré les recherches sur l’extérieur du cheval ayant pour ori-
gine la mensuration d’un grand nombre de sujets, je n’hésiterais pas à
reconnaître l’insuffisance de ce travail que je déclarerais incomplet,
stérile et péchant par la base, si on s’était occupé seulement de limiter
— 3e pékiode. 49
v.