UNE LETTRE DE MICHEL-ANGE
La lettre dont je veux
parler fut publiée par Mich.
Gualandi, en 1844b Ecrite
en latin, ce qui est une excep-
tion peut-être unique dans la
correspondance assez volu-
mineuse qui nous reste de
Michel-Ange, cette particu-
larité s'explique par le fait
qu’elle était adressée à un
homme d’Eglise. Il est pos-
sible aussi que le Buonar-
roti, pour cette affaire où il
s’agissait d’éducation, ait mis
quelque coquetterie à manier, de façon assez médiocre d’ailleurs, la
langue latine. M. Gaetano Milanesi n’a pas recueilli cettepièce dans
sa monumentale édition des lettres de Michel-Ange1 2. Perdue dans
1. Dans sa Nuova raccolta di lettere sulla pittura, scultura ed architettura,
etc. Bologne, J844, in-8° et in-12, t. I, p. 24-27.
2. Le lettere di Michelangelo Buonarroti., publ. per cura di G. Milanesi.
Florence, 1875, in-4°, t. IV,
La lettre dont je veux
parler fut publiée par Mich.
Gualandi, en 1844b Ecrite
en latin, ce qui est une excep-
tion peut-être unique dans la
correspondance assez volu-
mineuse qui nous reste de
Michel-Ange, cette particu-
larité s'explique par le fait
qu’elle était adressée à un
homme d’Eglise. Il est pos-
sible aussi que le Buonar-
roti, pour cette affaire où il
s’agissait d’éducation, ait mis
quelque coquetterie à manier, de façon assez médiocre d’ailleurs, la
langue latine. M. Gaetano Milanesi n’a pas recueilli cettepièce dans
sa monumentale édition des lettres de Michel-Ange1 2. Perdue dans
1. Dans sa Nuova raccolta di lettere sulla pittura, scultura ed architettura,
etc. Bologne, J844, in-8° et in-12, t. I, p. 24-27.
2. Le lettere di Michelangelo Buonarroti., publ. per cura di G. Milanesi.
Florence, 1875, in-4°, t. IV,