GUSTAVE MOREAU
(TROISIÈME A R T I C L E 1 jg
IV
OEdipe et le sphinx, ,J as on
et Mérfee, Le Jeune homme et
la Mort, la Jeune fille thrace
portant la tête d'Orphée (Sa-
lons do 1861, 1865, 1866), —
on dirait do quatre cariatides
qui soutiennent un portique
idéal — sont des œuvres en-
gendrées dans un élan unique
et qui suffiraient seules à
désigner un créateur infini-
ment réfléchi. Dans ces quatre
toiles de même dimension,
ou peu s’en faut, et compor-
tant des figures faiblement
au-dessous de la grandeur
naturelle, le métier pictural se trouve poussé à son absolue perfec-
). Voir Gazette des Beaux-Arts, 3e pér., t. XXI, p. îi et 189,
(TROISIÈME A R T I C L E 1 jg
IV
OEdipe et le sphinx, ,J as on
et Mérfee, Le Jeune homme et
la Mort, la Jeune fille thrace
portant la tête d'Orphée (Sa-
lons do 1861, 1865, 1866), —
on dirait do quatre cariatides
qui soutiennent un portique
idéal — sont des œuvres en-
gendrées dans un élan unique
et qui suffiraient seules à
désigner un créateur infini-
ment réfléchi. Dans ces quatre
toiles de même dimension,
ou peu s’en faut, et compor-
tant des figures faiblement
au-dessous de la grandeur
naturelle, le métier pictural se trouve poussé à son absolue perfec-
). Voir Gazette des Beaux-Arts, 3e pér., t. XXI, p. îi et 189,