JEAN GOUJON ET LA SALLE DES CARIATIDES
189-
d’Albertini : Opusculum de mirabilibus novæ et veteris Urbis Romæ
(1310), de Fulvius : Antiquaria Urbis (1513, nouvelle édition très-
refondue en 1527), de Marliani : Antiqua Romæ topographia (1534),
renseignent très bien sur ce point. En 1544, commença la publi-
cation des gravures éditées par Lafreri, en 1550 la rédaction du
CARIATIDES, ü ’ A P R È S UNE PLANCHE DU « Y IT R U V E » DE C A P O R A L I
catalogue des statues de Rome par Aldroandi, qui parut en 1550
sous ce titre : Belle statue anticlie che per lutta Roma si veggono.
album est à la Bibliothèque Nationale (Cabinet des estampes, Fb, 18a, réserve).
Il faut dire que la reproduction photographique, si utile qu’elle soit, affaiblit
souvent l’accent des dessins ou donne une impression de monotonie qui n’est
pas exacte. Par exemple, les dessins sont tantôt à la plume, tantôt au crayon,,
tantôt à la sanguine ; le procédé et le style en sont souvent différents.
189-
d’Albertini : Opusculum de mirabilibus novæ et veteris Urbis Romæ
(1310), de Fulvius : Antiquaria Urbis (1513, nouvelle édition très-
refondue en 1527), de Marliani : Antiqua Romæ topographia (1534),
renseignent très bien sur ce point. En 1544, commença la publi-
cation des gravures éditées par Lafreri, en 1550 la rédaction du
CARIATIDES, ü ’ A P R È S UNE PLANCHE DU « Y IT R U V E » DE C A P O R A L I
catalogue des statues de Rome par Aldroandi, qui parut en 1550
sous ce titre : Belle statue anticlie che per lutta Roma si veggono.
album est à la Bibliothèque Nationale (Cabinet des estampes, Fb, 18a, réserve).
Il faut dire que la reproduction photographique, si utile qu’elle soit, affaiblit
souvent l’accent des dessins ou donne une impression de monotonie qui n’est
pas exacte. Par exemple, les dessins sont tantôt à la plume, tantôt au crayon,,
tantôt à la sanguine ; le procédé et le style en sont souvent différents.