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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0024
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LE GRELOT

le mysticisme et leGiraudisme ! à bas ces bou-
tiques infectes où, au lieu de faire drs- mères
de familles on fabrique des piliers de confes-
sionnaux, où l'histoire «aintc et le catéchisme,
Bernadette et l'Eau de Lourdes tiennent lieu de
littérature, de sciences et d'arts.

Il ne s'agit pas de faire de nos filles des
femmes savantes ou des précieuses ridicules,
mais il n'est que temps de débarrasser leur
cerveau de toutes les sottises cléricales dont
Gustave Droz nous donne un si joli échantillon
dans le Cahier bleu de Mlle Cïbot.

Nous ne voulons ni hommes - femmes ni
femmes-hommes.

Il nous faut des femmes-femmes!

Une JésHitière militaire.

Le Révérend Père Général Henrion, com-
mandant de l'Ecole nationale de Saint-Cyr,
nous la baille belle avec son Règlement.

Jamais ces messieurs de la rue ne Vaugi-
rard n'ont rien élucubré de plus jésuitique.

Au lieu de dresser nos futurs officiers à r, re
la guerre, on leur enseigne à servir la me.-se
en douze temps, à se confesser... en tous
temps et à communier aux quatre-temps.

Il ya dans ce Règlement plus ie cinquante
lignes consacrées à la tenue des élèves à la
chapelle.

« L'exercice autour du paillasson » est un
chef-d'œuvre que déflorerait l'analyse : il faut
lire dans le texte.

Et ce joli paragraphe, qu'on jurerait avoir
été écrit par l'ex-intelligent M. Jacob, de la
rue de Jérusalem :

« Il est du devoir des élèves de la première di-
vision de signaler à Vautorité les faits et gestes
des élèves de la seconde division. »

C'est du propre, cette invite au mouchar-
disme ! L'Ecole de Saint-Cyr a l'air d'un Con-
servatoire de sergents de ville.

Police et religion mêlées.

Allons, monsieur le ministre de la guerre,
un coup de plumeau farr... amineux et nous
sonnerons en votre honneur une brillante
fanFarre 1

Echo du bal des cuisinière ,.

— Qu'as-tu donc. Joséphine 1 tu as l'air
toute chose ce soir !

— Ah! ma pauvre Victoire, ne m'en parle
pas ! Je vais encore être obligée de changer de
place.

— Ça ne vaut donc rien, la cambuse?

— Si, mais mon amour-propre me défend
d'y rester... . monsieur me trpmpe avec ma-
dame !

Anvers..... et contre tous !

Ecriteau placé devant le palais des singes
du jardin zoologique d'Anvers :

defense aux bonnes

de s'approcher des singes
sans être accompagnées de leurs maîtresses.
Il parait que les bonnes d'Anvers ont la
Tertu fragile, sais-tu!

Idiot!

— Savez-vous quel est le quartier de Paris
où il y a le plus d'oiseaux ?

_'i

— C'est dans le quartier Ceint des nids!

Entre Mollusques.

Saint-Genest. — Ah! mon cher! la drôle
de chose qui m'est arrivée hier en mangeant
des huîtres 1...

Magnard. — Est-ce que l'une d'elles vous
aurait reconnu?

montretotjt.

L'hydre de l'anarchie vient de faire son
apparition sous le beau ciel de Montpellier.
Les tètes sont, cette fois, celles des élèves du
lycée, plus folles que les scènes les plus extra-
vagantes du deuxième acte de Monsieur.

Tous les journaux, surtout les conserva-
teurs, à court de nouvelles, s'emparent de ce
fait, le grossissent démesurément, et voient
en lui » un grave symptôme de tendances
révolutionnaires s'infiltrant jusque dans le
cœur de la jeunesse (sic). »

L'agence Havas, elle-même, s'en est mêlée,
~ de quoi ne se mêle-t-elle pas * — et télé-
graphie ;

« De graves scènes de désordre ont eu lieu.
La police a dû intervenir pour rétablir le cal-
me. Soixante élevés ont été provisoirement
renvoyés dans leurs familles.

« La révolte serait attribuée à la trop grande
sévérité du censeur. »

Ainsi, le censeur étant trop sévère, on se
montre plus rigoureux encore. Le censeur
ayant tort, ce sont les élèves qu'on renvoie.
Voilà un système de compensation d'un nou-
veau genre que j'espère bien voir étendre à la
scène politique et à celle du Palais-Royal, où
il obtiendra, j'en suis sûr, un immense succès.

Enfin, ceci nous présage, de plus, de beaux
jours pour l'avenir de l'homœopathie. Nous en
acceptons l'augure.

X

Amigues se plaint. Bt il y a de quoi,

jugez-en:

Qu'il s'agisse de la suppression des (écoles
congréganistes. de l'organisation de l'enaot-

gnement secondaire des filles ou de la com-
position du conseil universitaire, toujours et
partout on rencontre, chez nos républicains,
l'idée fixe d'éliminer le piètre et, par là,
d'écarter Dieu.

Amigues n'a pas complètement raison. Je
connais d'infâmes radicaux, absolument
athées, qui ont, au contraire, l'idée d'écarter
Dieu pour arriver à éliminer le prêtre.

X

NANCY. — Le Progrès de l'Est, journal
républicain, s'indigne d'un des choix faits par
M. Lepère dans le dernier mouvement admi-
nistratif. Il parait qu'un des sous-préfets ré-
cemment nommés n'a d'autres litres à ce
poste élevé que d'avoir fait cinq ans de cor-
rection dans la 4» compagnie de discipline en
Afrique.

Nous ne pouvons vérifier la nouvelle ci-
dessus. Mais si elle est ex icte, elle ne nous
étonne nullement. M. Lepère aura voulu dé-
montrer l'excellence des compagnies de cor-
rection, voila tout.

X

Madrid, 23 janvier.

Le Libéral assure que le ministre des colo-
nies demandera bientôt, en même temps qu'il
présentera le budget de Cuba, l'autorisation
de faire un emprunt de 60 millions de piastres
pour payer tous les emprunts antérieurs.

Malheureusement, la défiance innée dans
les deux hémisphères vis-à-vis du gouverne-
ment espagnol, a, depuis longtemps, donné
aux capitalistes l'autorisation de ne pas sous-
crire.

X

Paris-Journal trouve extraordinaire que
Coquelin quitte la scène pour devenir homme
politique. (Est-ce vrai ?)

Pour nous, nous ne voyons là dedans rien
d'inconvenant.

Assez d'hommes politiques sont devenus
mauvais comédiens pour que, par une juste
réciproque, il soit permis à un bon comédien
de devenir mauvais homme politique.

X

Le même journal, en avouant implicitement
qu'il a des collaborateurs à l'œil, se plaint
amèrement que ceux-ci ne puissent recevoir
le journal de leur cœur au siège de l'adminis-
tration où ils sont employés sans y être mal
nolés, de ipso facto.

Voilà, en effet, une chose atroce, dont l'his-
toire n'offre aucun exemple.

Sans même remonter avant l'invention de
l'imprimerie, reportons-nous en à cette épo-
que bénie du Seize-Mai.

Alors, nul ne l'ignore, on n'attachait aucune
importance aux opinions politiques des em-
ployés du gouvernement.

Qu'ils n'eussent aucune opinion, c'était tout
ce qu'on leur demandait.

Mais ces républicains sont d'une intolérance 1

X

Décidément, c'est une mine que ce Paris-
Journal. J'y retrouve encore ceci :

Je relisais dernièrement l'Histoire de la
Société française pendant la Révolution, des de
Concourt. Le chapitre des théâtres y est bien
curieux, bien amusant, bien édifiant aussi.
Au théâtre de la rue d'Arras, où notre colla-
borateur Loustalot conduisait l'autre jour les
lecteurs du i'(iris-Journal, on ne fait pas
mieux que ia Journée du Vatican ou Is Mariage
du Pape, tomédie-parttde en trois actes, avec ses
agréments, dans laquelle le pape, ivre et liber-
tin, dansait un fandago, à la dernière scène,
avec la duchesse de Polignac, après avoir
accepté la Constitution. Dans cette œuvre
pleine « d'agréments, » ce pape converti a la
philosophie conseillait le mariage aux prêtres
et les invitait, d'après une jolie expression
des clubs du temps que je recommande aux
nôtres, car elle est b.... naturaliste: « à pul-
luler légalement. »

J'en conviens, ceci est atroce. Moins que les
actes réels des Borgia, cependant. Pour ma
part, j'ai un goût fort vif pour ces sortes de
farces allégoriques, même, — que dis-je, sur-
tout, — outrées.

Si jamais la censure des théâtres disparait,
je m'empresserai de faire représenter le Con-
seil secret d'Alexandre VI, où le père Borgia,
sirottant du lacryma-christi avec ses camériers
et ses cardinaux, éclatera de rire chaque fois
qu'il en regardera un en face, et proposera, le
plus sérieusement du monde, qu'après sa mort
on l'eaterre civilement.

X

Où diable la gaité va-t-elle se nicher ? La
République française elle-même se met à dis-
traire ses lecteurs, en les entretenant des
députés excentriques :

Sous Louis-Philippe, nous citerons M. Au-
guis, qui poursuivait de ses amendements
hostiles les animaux du Jardin des plantes.
Sous le prétexte qu'ils mangeaient trop si coû-
taient trop cher à la France, il demandait à
chaque session q\on les fit empailler, «at-

tagaaner

tendu, disait-il, que ce serait une dépense une
fois faite. »

Il y avait aussi M. Lherbette, lequel avait
pris pour spécialité de défendre les femmes de
lettres contre la tyrannie de leurs époux.

Et M. de Remilly qui, si longtemps, réclama
l'impôt sur les chiens.

Et M. Chapuis-Montlaville, particulièrement
connu par l'âpreté^ l'obstination et, disons-le,
la bouffonnerie avec laquelle il ne cessait de
demander des économies à la chambre.

Un jour, c'était à propos du mariage du duc
d'Orléans, il s'écria : « Cent, trente mille francs
d'épingles ! J'ai une tante qui en dépense
pour douze sous par an, et qui en perd consi-
dérablement ! »

Nous citerons encore pour mémoire, sous
Louis-Philippe :

Heurtault qui, riche de 200,000 livres de
rente, affectait le déguenillement pour exciter
l'admiration de son austérité chez les hommes
de son parti.

Et Fulchiron, auteur méconnu de tragédies
nombreuses, grand faiseur de pataquès et de
calembours.

Un jour, en 1840, pendant que M. Mauguin
était à la tribune et parlait du siège d'Hérat,
M. Fulchiron s'écria : « Le siège des rats a
excité les souris de la Chambre. » Dupin n'en
dormit pas de huit jours I...

Les abonnés de la République n'en dormi-
ront pas non plus. Faire rire ces gens graves,
qui ne demandent qu'à béatement pontifier
et dormir, on n'est pas maladroit à ce point !

Henry Vaudémont.

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Semaine Théâtrale

La semaine théâtrale pourrait se résumer
par un formidable... attehoum!

La grippe a fait irruption sur toutes nos
scènes lyriques et dramatiques et transformé
en sons d'ophicléïde hors de service les ut dièze
et les tirades en mi bémol qu'évaporaient hier
encore les organes les plus enchanteurs de nos
meilleurs artistes. Elle a sévi avec tant de ri-
gueur que Baron lui-môme a été atteint. Son
gosier rendant alors des sons presque hu-
mains, par suite de cette transformation de
voix, l'excellent artiste a jugé prudent de s'é-
clipser pendant quelques jours pour ne pas
compromettre sa réputation.

Que fco» lecteurs se rassurent, Baron est ac-
tuellement rétabli et parle aussi indistincte-
ment qu'auparavant.

La conséquence de cette véritable épidémie
a été la remise à huitaine ou à quinzaine de
toutes les pièces nouvelles annoncées : Pé-
trarque, à l'Opéra-Populaire ; le Nabab, au
Vaudeville ; Jean de Nivelle, à l'Opéra-Comique;
l'Inquisition, au Théâtre-des-Nations ; Turenne,
à l'Ambigu, etc., etc.

Nous ne nous plaindrons certes pas de ce
court répit et nous bénirions môme volontiers
la grippe, si la misérable n'avait cru devoir
élire également domicile dans nos bureaux.

En attendant la débâcle qui ne peut tarder
à se produire dans toutes ces fosses vocales et
nasales embâclées, profitons de nos loisirs pour
liquider notre arriéré et dire un mot à nos
lecteurs des deux pièces récentes, dont les né-
cessités de notre mise en page nous avaient
contraint d'ajourner le compte-rendu : les
Voltigeurs de la 32", à la Renaissance et le Fils
de Coralie, au Gymnase.

L'opérette de la Renaissance a plus d'un
point de ressemblance avec celle des Polies-
Dramatiques.

Mais nous devons constater qu'elle nous a
paru néanmoins bien inférieure à celle-ci.

C'est la même chanson, mais ce ne sont pas
les mêmes airs. Librettistes et musicien ont
fait preuve d'une remarquable mémoire. Trop
de réminiscences, messieurs, trop de rémi-
niscences.

il y i néanmoins de fort jolis morceaux dans
la partition de M. Planquette, il serait injuste
de le méconnaître. Ira-t-on les entendre long-
temps? j'en doute, et pour nous résumer, nous
dirions volontiers, nous servant d'une expres-
sion militaire — de circonstance — que si la

20' demi-brigade de M. Cantin a à sa tête un
tambour-ma'jor, les Voltigeurs de la 32', de
M. Koning, ne nous paraissent avoir à la leur
qu'un... caporal-tambour.

***

Le Fils de Coralie, au Gymnase, eût pu, si
l'auteur l'avait voulu, être un très-grand

succès.

Les trois premiers actes de la nouvelle co-
médie de M. Albert Delpit semblaient le pro-
mettre : le quatrième acte est venu tout gâter.

Une fois encore, l'auteur, en mettant à la
scène la situation épouvantable que la société
fait aux enfants naturels non-reconnus, s'est
contenté de poser ce problème social sans en
donner une solution. Il s'est réfugié dans un
dénouement banal, qui lui a aliéné une bonus
partie des spectateurs.

Quoi qu'il en soit, le Fils de Coralie est une
œuvre de mérite et qui va permettre à M. Mon-
tigny de clore fructueusement sa carrière di-
rectoriale.

Samedi dernier a eu lieu le 2° bal masqué

de la saison à l'Opéra.

Les affaires ont été incontestablement meil-
leures... au contrôle et dans la salle... La re-
cette a atteint 50,000 francs.

Au premier coup d'archet de Fahrbach et
d'Arban, le marché s'est ouvert avec une
grande animation, au foyer et dans les cou-
loirs.

A deux heures du matin tout le ferme était
vendu1

A partir de ce moment une vive réaction
s'est produite dans les cours et à trois heure»
beaucoup de valeurs quoiqu'admises à la cote
officielle du contrôle, trouvaient difficilement
acquéreurs.

Quelques décorés en ont acheté cependant à
prime dont dix à vingt.... pour se servir de
couverture...

La clôture a été détestable et s'est faite en
grande baisse, et à trois heures et demie, nous
surprenons ce court mais significatif dialogue
qu'échangent sur les marches du grand esca-
lier deux dominos exténués et consternés.

— Fichons-nous le camp, Clara!

— J' te crois! Parbleu!... pas un cavalier
ici... tous des fantassins.

Nous sommes resté plus démonté que le»
deux pauvres filles.

Jules de la Verdrib.

GRELOTS-FINANCE

Les rentes françaises ont continué leur
petit bonhomme de chemin. Le 24 janvier le
3 0/0 a fermé à 81 93, le 3 0/0 amortissable à
83 45, et le S 0/0 à 116 80. Cela fait environ
KO cent, rte hausse pour la semaine, et peut-
être fera-t-on autant de chemin d'ici à la liqui-
dation.

Certaines gens prétendent même que la
coupon de 1 25 à détacher le lor février, pour-
rait bien laisser la rente o 0/0 à 117 fr., ce qui
équivaudrait à une contre hausse de 1 50
d'ici là.

La rente Italienne est au-dessus de 80 fr.
On a aussi poussé les fonds Autrichiens, les
fonds Hongrois, et même les fonds ttusses.

La Russie ayant besoin de quelque chose
comme un petit millard, est bien obligée de
faire un peu monter ses fonds. Elle sait
qu'il faut paraître plus riche qu'elle l'est réel-
lement pour qu'on lui porte encore de l'ar-
gent neuf. Cependant ce qu'il y a de vrai,
c'est que les dépenses ordinaires augmentent
plus vite que les receties. Ce qui est non
moins vrai, c'est que les maisons Rothschild
qui lui ont procuré plus de 2 millards, de 1870
à 1874, ne vèulent plus la chaperonner auprès
du public.

Les fonds Egyptiens ne se tiennent pas trop
mal. Le Khédive ne demande pas mieux que
de, continuer à servir k O/0 aux obligations de
Cucinins de fer, et 4 0/0 à la dette unifiée,
mais, en même temps, il demande qu'on lui
donne quittance pour tout ce qui reste du
pour les fredaines faites par son papa Ismaïl.

Faute de lui donner cette quittance qui doit
le libérer de tous les comptes non clos le
31 décembre 1879, le bon khédive déclare ne
répondre de rien.

Celte manière de régler ses comptes qui
consiste pour les créanciers à donner quittance
sans recevoir la moindre piastre, n'est pas du
tout du goût desdits créanciers.

Valeurs de crédit, valeurs de chemins de
fer et valeurs industrielles se cotent à des
cours un peu plus élevés qu'au milieu du
mois.

En somme, tout serait parfait et pour le
mieux dans le meilleur des mondes financiers
si les deux fameux groupes financiers que
tout le monde connaît voulaient désarmer et
faire la paix.

Tubal Cain.

GRELOTS

Des militaires 1 mais il y en a énormément
eu^France, la preuve, c'est qu'ils se remuent à

Le ministre de la guerre doit adresser pro-
chainement aux troupes, dit-on, des recom-
mandations dans lesquelles il sera dit que :

Les soldats du train devront en faire le moins
possible.

La ligne devra suivre celle de l'honneur.
LWuiéé évitera, place Vendôme, de rompre
la colonne. ■

t —o—

Les moines et les soldats ne s'entendront
jamais :
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