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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0099
LE GRELOT
nais, allez, vous êtes M. John Lemoine ; vous
me demandez une correspondance, et puis
quand je vous la donnerai, vous me la refu-
serez. Merci, je n'aime pas à être humilié.
Il y a des gens qui prétendent qu'on devrait
pouvoir être légalement le mari de plusieurs
femmes.
Moi, je ne suis pas de cet avis-là, d'abord,
parce qu'une femme, c'est déjà bien gentil, ça
donne une belle-mère ; qu'est-ce que ça serait
si on en avait plusieurs ?
Certains bals et concerts en plein air ont
commencé leurs exercices. D'un temps pa-
reil !!...
Rien ne m'ôtera de l'idée que les directeurs
reçoivent de l'argent des pharmaciens.
La dame aux six petites «haises est venue
nous rendre visite pour nous prier d'informer
le public que son concierge est un vrai support
de safran, que c'est un très méchant homme
qui bat son enfant, et qu'elle est constamment
réveillée en cerveau, qu'elle a des colichemardes
atroces, à force d'entendre les cris de ce pau-
vre petit, qui rugit comme un lion dans sa
théière.
r —0—
Le docteur X... a la prétention de tuer ses
malades, et il s'en vante...'
— Vous avez tort de l'avouer, lui disait un
de ses amis, cela vous porte préjudice.
— Au contraire, répondit le docteur, j'en
tire profit.
— Et comment?
— Quand il y a un malade quelque paî t, les
héritiers viennent tous me chercher.
L'or est une chimère, disait-on, devant un
bébé.
— Pas du tout, s'écria-t-il, Lanre, c'est la
modiste à maman.
—o—
— Eh ! bien, madame Bidasson, savez-vous
comment va ce pauvre monsieur Moutonnet
aujourd'hui ?
— Oh ! je crois qu'il ne va guère bien.
— Vous avez eu de ses nouvelles ?
— Non, mais j'ai vu sa belle-mère qui riait
avec la concierge.
—o—
Le temps c'est de l'argent, bien plus en pro-
vince qu'à Paris, car à Paris il ne coûte que
trois sous, et en province il en coûte quatre.
—o—
Soyons régence :
— Quelle différence y a-t-il entre une femme
et une pendule?
— Comment, encore rien trouvé! C'est bien
simple pourtant : c'est qu'une pendule vous
rappelle les heures, tandis qu'un» femme
tous les fait oublier.
sulpice.
Outre l'attraction irrésistible de son magnifique
jardin, le théâtre des Folies-Bergère en offre une
multitude d'autres au public parisien, provincial
et étranger. En voici la nomenclature : DALVI-
NI, jongleur japonais d'une prestesse prodigieuse.
LEONATI, le vélocipédiste qui opère sur son
bicycle l'ascension d'unespirale. SHEDLE CLAIR,
trapéziste aérien, Les GRIFFLIT. Les 2 Clowns
gymnastes, qui obtinrent, il y a quèlques mois,
un vif succès d'hilarité. Puis, bientôt la, famille
PRICE, troupe de clocheteurs. Puis la SERENA-
DA, de Grévin et Hervé.
Au Théâtre des Folies-Bergère, succès toujours
croissant de La-la-Kaïra, dite la belle quarte-
ronne aux quenottes d'acier. Du gros et lourd ca-
non chargé par la culasse, qu'elle supporte allè-
grement, les jambes en l'air, la tête en bas, et en
mordant tout simplement ses lanières suspensives ;
le coup part chaque soir à dix heures presque
précises... — Avis aux artilleurs.
JARDIN MABIXLE
Tous les soirs Concert et Bal. Partie Musicale
de 9 h. à 10. L. MAYEUR, Chef d'Orchestre. Mer-
credi et Samedi Grande fête. Salon Couvert en
cas de mauvais temps.
Trni.is d'excursion de l'aris u Nancy et de
Belfort ù I>aris.
Nous apprenons que, le samedi 5 juin prochain,
la Compagnie des chemins de fer de l'Est mettra
en marche deux trains d'excursion à pris très
réduits, composés de 2" et de 3" classes.
L'un de ces trains, de Paris à Nancy, permet-
tra aux voyageurs d'aller passer quatre jours à
Nancy.
L'autre, de Belfort à Paris, permettra de venir
passer cinq jours à Paris aux voyageurs partant
soit de Belfort, soit de l'une des localités suivan-
tes : Lure, Vesoul, Vaivre, Port-d'Atelier, Jussey,
la Ferté-Bourbonne, Chalindrey, Langres, Chau-
mont, Bricon, Bar-sur-Aube, Vendeuvre, Troyes
et Romilly.
Vovage circulaire en Jiuis.xr et dan.x le Urnnd-
Uuclié de Uade.
Les touristes qui désirent visiter une partie de
la Suisse et du Grand-Duché de Bade, trouve-
ront à la gare des chemins de fer de l'Est au bu-
reau central, rue Basse-du-Rempart, n° 50, et à
l'agence des chemins de fer anglais, boulevard
des Italiens, n° 4, des billets à prix réduits, va-
lables pendant un mois, avec arrêt facultatif :
En France et en Suisse : dans toutes les villes
du parcours en déposant un billet aux gares;
Dans le Grand-Duché de Bade : dans les prin-
cipales villes du parcours désignées sur les bil-
lets;
En Alsace : à Strasbourg.
Cet attrayant voyage peut s'effectuer en pre-
mière pour 176 fr, 65, et en seconde classe pour
132 fr., en partant par la ligne de Paris à Belfort
et à Bàle (via Mulhouse ou Délie), et en revenant
par celle de Strasbourg à Nancy et à Paris, ou
bien dans le sens inverse.
Rien de bien nouveau dans la tenue du mar-
ché des rentes. Le :! 0/0 va vers 86, l'amortis-
sable vers 88 et le !3 0/0 qui s'est déjà établi de
nouveau sur les cours de 119 peuvent bien
aller à 120, et cela d'ici à peu de temps.
L'Italien, lui est aussi en route pour 87.
Dire que ce fonds, au lendemain du 10 mai 1877,
était tombé à 63.
Depuis qu'on ne craint plus que les cléri-
caux nous brouillent avec l'Europe, ce fonds
a gagné 24 francs.
Pendant cette même période de trois ans,
nos rentes ont gagné, le 3 0/0, 21 fr., le o 0/0
17 francs.
Que diable doivent penser de tout cela ceux
des réactionnaires de 1848 et 1849, qui sont
morts avant 1870, si dans les cieux leur
demeure dernière, le père Eternel leur a per-
mis de savoir qu'après une guerre étrangère,
suivie d'une invasion et d'une occupation du
pays pendant plus de trois ans, le tout agré-
menté de.six mois de guerre civile, et d'une
augmentation de 10 milliards au capital de la
dette, et de voir le 3 0/0 à 86, et le 5 0/0 de la
rente à 120 fr.
• Ils doivent n'y rien comprendre, et ce n'est
pas assurément ceux des réactionnaires de nos
pères qui de temps en temps vont les rejoin-
dre qui sont capables de leur ouvrir l'intelli-
gence sur ce point.
La période des assemblées générales tire à
sa fin. Toutes les sociétés qui sont dans une
bonne situation ont profité de l'effet produit
par les renseignements qu'on a su mettre à
cet occasion sous les yeux des actionnaires.
Tout au contraire, les sociétés qui sont en
mauvais état souffrent terriblement des consé-
quences de ces communications, exemple : le
Crédit mobilier.
Les Chemins français voient de nouveau
beaucoup d'achats leur arriver du côté de
l'étranger.
Tubal Caik.
Habile. — Tous les soirs concert et bal. — Partie
musicale de 9 à 10 h. — LéonMayeur, chef d'or-
chestre. — Mercredis et Samedis, grandes fêtes
de nuit. — Salon couvert en cas de mauvais
temps.
Hippodrome (avenue de l'Aima). — Tous les soirs
à 8 h. 1/2- — Représentations supplémentaires
à 3 h., les Jeudis, Dimanches et fêtes.
Concert Hesselicvro (Champs-Elysées). — Tous
les soirs à 8 h., concert. — Prosper Artus, chef
d'orchestre. — Entrée 1 fr. . t&
I<'olicM-BcrjS;èrc. — Toiis les soirs à 8 h. Spectacle
varié.—Ballets pantomines, Gymnastes, Clowns,
Equiljbristes,' Excentricités.
Sl.nlin- de la rue Hlanrlie. — Tous les soirs,
patinage, Ballet, pantomine. — Orchestre 50 mu-
siciens. — Entrée : 1 fr.
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Tous les soirs bal.
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VOYAGE CIRCULAIRE EN SUISSE
(Jura bernois et Oberland bernois)
Les compagnies des chemins de fer de l'Est et
de Paris-Lyon-Méditerranée ont organisé, comme
l'année dernière, un voyage circulaire qui permet
aux touristes de visiter 1 Est de la France et la
Suisse (Oberland bernois), ainsi que les sites si
pittoresques du Jura bernois ; elles délivrent pour
cette excursion des billets à prix réduits, valables
pendant un mois, avec arrêt facultatif, sur les
lignes de l'Est et de Lyon, à toutes les stations j
du parcours, et dans fes villes suivantes : Mul- i
house, Bàle, Olten, Lucerne, Alpnach, Brienz
(Giessbach),Interlaken.Thoune. Berne. Neuchâtel. j
Cette attrayante excursion peut s'effectuer indil- ;
féremment en partant par la ligne de l'Est et en I
revenant à Paris par celle de Lyon, ou bien dans
le sens inverse.
On délivre des billets à Paris (jusqu'au 30 sep-
tembre inclus) : aux "ares des chemins de fer de
l'Est et de Lyon ; au bureau central des chemins
de fer de l'Est, 50, rue Basse-du-Rempart; aux
bureaux de la compagnie de Lvon : 88, rue Saint-
Lazare ; 11, rue des Petites-Ecuries ; 6. rue de
Rambuteau ; 6, rue Coq-Héron ; 45, rue de Ren-
nes; et à l'agence des chemins de fer anglais, 4,
boulevard des Italiens.
CHEMINS DE FER DE L'OUEST
A l'occasion des fêtes qui doivent avoir lieu au
Mans (Exposition des Beaux-Arts et de l'Indus-
trie. Concours régional et Concours hippique.
Courses de chevaux et grand Concours musical),
la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, dé-
livrera les 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13. 19, 20, 26, 27,
28 juin, 3, 4, 10 et 11 juillet 1880, des billets (aller
et retour) de Paris au Mans, aux prix réduits de :
31 francs 50 centimes en 1'" classe.
23 francs 50 centimes en 2° classe.
17 francs 50 centimes en 3* classe.
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Un traitement dont la réputation s'appuie sur 19 ans d'existence, qui est journellement or-
donné par d'illustres médecins de France et de l'étranger, qui a permis de réunir un tel
nombre d'attestations de guérisons, que deux jours'suffisent à peine pour en prendre connais-
sance, qui n'a jamais provoqué le plus léger accident, qui n'exige aucun régime particulier,
qui peut être suivi partout, même en voyage, et qui est à la portée des plus petites bourses ;
ce traitement sans rival, seul curatif de l'asthme, mérite bien la confiance que le public lui
accorde. — Des vieillards âgés de plu- de 90 ans lui doivent leur guérison. — Consultations
par correspondance; renseignements gratuits.
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quand je vous la donnerai, vous me la refu-
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pouvoir être légalement le mari de plusieurs
femmes.
Moi, je ne suis pas de cet avis-là, d'abord,
parce qu'une femme, c'est déjà bien gentil, ça
donne une belle-mère ; qu'est-ce que ça serait
si on en avait plusieurs ?
Certains bals et concerts en plein air ont
commencé leurs exercices. D'un temps pa-
reil !!...
Rien ne m'ôtera de l'idée que les directeurs
reçoivent de l'argent des pharmaciens.
La dame aux six petites «haises est venue
nous rendre visite pour nous prier d'informer
le public que son concierge est un vrai support
de safran, que c'est un très méchant homme
qui bat son enfant, et qu'elle est constamment
réveillée en cerveau, qu'elle a des colichemardes
atroces, à force d'entendre les cris de ce pau-
vre petit, qui rugit comme un lion dans sa
théière.
r —0—
Le docteur X... a la prétention de tuer ses
malades, et il s'en vante...'
— Vous avez tort de l'avouer, lui disait un
de ses amis, cela vous porte préjudice.
— Au contraire, répondit le docteur, j'en
tire profit.
— Et comment?
— Quand il y a un malade quelque paî t, les
héritiers viennent tous me chercher.
L'or est une chimère, disait-on, devant un
bébé.
— Pas du tout, s'écria-t-il, Lanre, c'est la
modiste à maman.
—o—
— Eh ! bien, madame Bidasson, savez-vous
comment va ce pauvre monsieur Moutonnet
aujourd'hui ?
— Oh ! je crois qu'il ne va guère bien.
— Vous avez eu de ses nouvelles ?
— Non, mais j'ai vu sa belle-mère qui riait
avec la concierge.
—o—
Le temps c'est de l'argent, bien plus en pro-
vince qu'à Paris, car à Paris il ne coûte que
trois sous, et en province il en coûte quatre.
—o—
Soyons régence :
— Quelle différence y a-t-il entre une femme
et une pendule?
— Comment, encore rien trouvé! C'est bien
simple pourtant : c'est qu'une pendule vous
rappelle les heures, tandis qu'un» femme
tous les fait oublier.
sulpice.
Outre l'attraction irrésistible de son magnifique
jardin, le théâtre des Folies-Bergère en offre une
multitude d'autres au public parisien, provincial
et étranger. En voici la nomenclature : DALVI-
NI, jongleur japonais d'une prestesse prodigieuse.
LEONATI, le vélocipédiste qui opère sur son
bicycle l'ascension d'unespirale. SHEDLE CLAIR,
trapéziste aérien, Les GRIFFLIT. Les 2 Clowns
gymnastes, qui obtinrent, il y a quèlques mois,
un vif succès d'hilarité. Puis, bientôt la, famille
PRICE, troupe de clocheteurs. Puis la SERENA-
DA, de Grévin et Hervé.
Au Théâtre des Folies-Bergère, succès toujours
croissant de La-la-Kaïra, dite la belle quarte-
ronne aux quenottes d'acier. Du gros et lourd ca-
non chargé par la culasse, qu'elle supporte allè-
grement, les jambes en l'air, la tête en bas, et en
mordant tout simplement ses lanières suspensives ;
le coup part chaque soir à dix heures presque
précises... — Avis aux artilleurs.
JARDIN MABIXLE
Tous les soirs Concert et Bal. Partie Musicale
de 9 h. à 10. L. MAYEUR, Chef d'Orchestre. Mer-
credi et Samedi Grande fête. Salon Couvert en
cas de mauvais temps.
Trni.is d'excursion de l'aris u Nancy et de
Belfort ù I>aris.
Nous apprenons que, le samedi 5 juin prochain,
la Compagnie des chemins de fer de l'Est mettra
en marche deux trains d'excursion à pris très
réduits, composés de 2" et de 3" classes.
L'un de ces trains, de Paris à Nancy, permet-
tra aux voyageurs d'aller passer quatre jours à
Nancy.
L'autre, de Belfort à Paris, permettra de venir
passer cinq jours à Paris aux voyageurs partant
soit de Belfort, soit de l'une des localités suivan-
tes : Lure, Vesoul, Vaivre, Port-d'Atelier, Jussey,
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Les touristes qui désirent visiter une partie de
la Suisse et du Grand-Duché de Bade, trouve-
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des Italiens, n° 4, des billets à prix réduits, va-
lables pendant un mois, avec arrêt facultatif :
En France et en Suisse : dans toutes les villes
du parcours en déposant un billet aux gares;
Dans le Grand-Duché de Bade : dans les prin-
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Cet attrayant voyage peut s'effectuer en pre-
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132 fr., en partant par la ligne de Paris à Belfort
et à Bàle (via Mulhouse ou Délie), et en revenant
par celle de Strasbourg à Nancy et à Paris, ou
bien dans le sens inverse.
Rien de bien nouveau dans la tenue du mar-
ché des rentes. Le :! 0/0 va vers 86, l'amortis-
sable vers 88 et le !3 0/0 qui s'est déjà établi de
nouveau sur les cours de 119 peuvent bien
aller à 120, et cela d'ici à peu de temps.
L'Italien, lui est aussi en route pour 87.
Dire que ce fonds, au lendemain du 10 mai 1877,
était tombé à 63.
Depuis qu'on ne craint plus que les cléri-
caux nous brouillent avec l'Europe, ce fonds
a gagné 24 francs.
Pendant cette même période de trois ans,
nos rentes ont gagné, le 3 0/0, 21 fr., le o 0/0
17 francs.
Que diable doivent penser de tout cela ceux
des réactionnaires de 1848 et 1849, qui sont
morts avant 1870, si dans les cieux leur
demeure dernière, le père Eternel leur a per-
mis de savoir qu'après une guerre étrangère,
suivie d'une invasion et d'une occupation du
pays pendant plus de trois ans, le tout agré-
menté de.six mois de guerre civile, et d'une
augmentation de 10 milliards au capital de la
dette, et de voir le 3 0/0 à 86, et le 5 0/0 de la
rente à 120 fr.
• Ils doivent n'y rien comprendre, et ce n'est
pas assurément ceux des réactionnaires de nos
pères qui de temps en temps vont les rejoin-
dre qui sont capables de leur ouvrir l'intelli-
gence sur ce point.
La période des assemblées générales tire à
sa fin. Toutes les sociétés qui sont dans une
bonne situation ont profité de l'effet produit
par les renseignements qu'on a su mettre à
cet occasion sous les yeux des actionnaires.
Tout au contraire, les sociétés qui sont en
mauvais état souffrent terriblement des consé-
quences de ces communications, exemple : le
Crédit mobilier.
Les Chemins français voient de nouveau
beaucoup d'achats leur arriver du côté de
l'étranger.
Tubal Caik.
Habile. — Tous les soirs concert et bal. — Partie
musicale de 9 à 10 h. — LéonMayeur, chef d'or-
chestre. — Mercredis et Samedis, grandes fêtes
de nuit. — Salon couvert en cas de mauvais
temps.
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à 8 h. 1/2- — Représentations supplémentaires
à 3 h., les Jeudis, Dimanches et fêtes.
Concert Hesselicvro (Champs-Elysées). — Tous
les soirs à 8 h., concert. — Prosper Artus, chef
d'orchestre. — Entrée 1 fr. . t&
I<'olicM-BcrjS;èrc. — Toiis les soirs à 8 h. Spectacle
varié.—Ballets pantomines, Gymnastes, Clowns,
Equiljbristes,' Excentricités.
Sl.nlin- de la rue Hlanrlie. — Tous les soirs,
patinage, Ballet, pantomine. — Orchestre 50 mu-
siciens. — Entrée : 1 fr.
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Tous les soirs bal.
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REVUE DE LITTÉRATURE MÉDICALE
parait tous les huit jours
Rédacteur en chef : Dr Félix BRÉMONT
Paris: Bfr.; départ.: 6fr.; étranger: 8fr.par an.
Bureaux : 20, passage Saulnier.
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VOYAGE CIRCULAIRE EN SUISSE
(Jura bernois et Oberland bernois)
Les compagnies des chemins de fer de l'Est et
de Paris-Lyon-Méditerranée ont organisé, comme
l'année dernière, un voyage circulaire qui permet
aux touristes de visiter 1 Est de la France et la
Suisse (Oberland bernois), ainsi que les sites si
pittoresques du Jura bernois ; elles délivrent pour
cette excursion des billets à prix réduits, valables
pendant un mois, avec arrêt facultatif, sur les
lignes de l'Est et de Lyon, à toutes les stations j
du parcours, et dans fes villes suivantes : Mul- i
house, Bàle, Olten, Lucerne, Alpnach, Brienz
(Giessbach),Interlaken.Thoune. Berne. Neuchâtel. j
Cette attrayante excursion peut s'effectuer indil- ;
féremment en partant par la ligne de l'Est et en I
revenant à Paris par celle de Lyon, ou bien dans
le sens inverse.
On délivre des billets à Paris (jusqu'au 30 sep-
tembre inclus) : aux "ares des chemins de fer de
l'Est et de Lyon ; au bureau central des chemins
de fer de l'Est, 50, rue Basse-du-Rempart; aux
bureaux de la compagnie de Lvon : 88, rue Saint-
Lazare ; 11, rue des Petites-Ecuries ; 6. rue de
Rambuteau ; 6, rue Coq-Héron ; 45, rue de Ren-
nes; et à l'agence des chemins de fer anglais, 4,
boulevard des Italiens.
CHEMINS DE FER DE L'OUEST
A l'occasion des fêtes qui doivent avoir lieu au
Mans (Exposition des Beaux-Arts et de l'Indus-
trie. Concours régional et Concours hippique.
Courses de chevaux et grand Concours musical),
la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, dé-
livrera les 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13. 19, 20, 26, 27,
28 juin, 3, 4, 10 et 11 juillet 1880, des billets (aller
et retour) de Paris au Mans, aux prix réduits de :
31 francs 50 centimes en 1'" classe.
23 francs 50 centimes en 2° classe.
17 francs 50 centimes en 3* classe.
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qui peut être suivi partout, même en voyage, et qui est à la portée des plus petites bourses ;
ce traitement sans rival, seul curatif de l'asthme, mérite bien la confiance que le public lui
accorde. — Des vieillards âgés de plu- de 90 ans lui doivent leur guérison. — Consultations
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