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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 10.1880

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https://doi.org/10.11588/diglit.6814#0103
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LE GRELOT

heures du soir, sans paraître aucunement fa-
tigué.

Ceci, comme audacieuse allégation dépasse
de beaucoup les bornes permises.

Quoi ! l'on voudrait nous faire croire qu'après
avoir, durant douze jours, circulé dans un
wagon où sont accumulées toutes les plus
iucommodes commodités de l'existance, mangé
de pantagruéliques festins auxquels l'étiquette
le contraint de faire honneur, et subi les in-
terminables harangues qui font un supplice
de toute réception officielle, on voudrait nous
faire croire que le souverain est rentré chez
lui sain de corps et sauf d'esprit.

Pour le corps c'en est trop! Et nous infli-
geons, à l'auteur de cet audacieux mensonge,
le plus sanglant des démentis.

Henry Vaudémont.

Semaine Théâtrale

C'est en vain que saint Médard a. cette
année encore, ouvert tous ses réservoirs sur
le dos des Parisiens, donnant ainsi aux direc-
teur de nos théâtres la quasi certitude que la
canicule ne serait point pour eux un temps
de chien. Insensibles à ces prévenances ils
s'empressent à qui mieux mieux d'ouvrir leurs
portes à leurs artistes et de les fermer au nez
des spectateurs. Les Bouffes-Parisiens, les Va-
riétés, l'Odéon, les Nouveautés, les Folies-Dra-
matiques ont fermé le V juin ; la Renaissance
et le Palais-Royal, l'Athénée en feront autant
le IS, enliu le "premier juillet, le Gymnase, le
Vaudeville et l'Opéra-Comique apposeront sur
leurs portes la bande traditionnelle « Clôture
annuelle », lamentable comme une apposition
de scellés.

Je sais bien qu'il restera la Chambre ; mais
sera-ce suffisant pour distraire deux millions
de Parisiens? Tous ceux qui ont contemplé
nos honorables dans l'exercice de leurs fonc-
tions se joindront à moi pour répondre néga-
tivement.

Tout ce désarroi, tout ce décampement géné-
ral, réduit, singulièrement notre texte et nous
n'avons à mentionner, pour cette dernière
quinzaine, qu'une pièce nouvelle et quelques
reprises.

Les Mouchards, représentés sur la scène de
l'Ambigu, sont dus à la collaboration de deux
hommes d'esprit, MM. Moinaux et Paul Par-
fait ; c'est assez dire que malgré leur préten-
tion au tragique, ces mouchards sont plus
amusants que larmoyants et que la pièce
appartient plutôt à la comédie qu'au drame.
D;tns une succession rapide de tableaux,
MM. Moinaux et Parfait font défiler devant le
spectateur toute la collection des types que
les restaurateurs de 181o à I80U avaient em-
bauchés et-racolés-dans tous les mondes,
pour forcer nos pères à déclarer que Louis
XVIII et Charles X étaient d'eux grands rois,
et que le régime auquel ils soumettaient la
France, durant cetie période quinquennale,
était un régime essentiellement réconfortant.

Il y a, dans cette pièce de jolis débats, des
scènes bien venues et qui ont été applaudies.
Les décors sont brossés avec soin et d'une
rigoureuse exactitude. L'interprétation est
bonne.

En présence de ce succès, la direction de
l'Ambigu fait annoncer que ce théâtre ne fer-
mera point cet été.

Je ne vois aucun motif pour m'in^crire en
faux contre l'assertion de mon estimable con-
frère M. Bougeard.

La Porte St-Martin a remplacé sur son affi-
che les Elrawjlcurs de Paris par la Me Miaule,
l'un des drames les plus larmoyants du réper-
toire d'Anicet Bourgeois et Michel Massou.

Je ne puis que mentionner le succès de
cette reprise et engager mes lecteurs à se
rendre chez M. Clèves. Si la pièce leur est déjà
familière ils auront la ressource de se livrer
à une étude approfondie sur le degré de sen-
sibilité des femmes, et rien n'est'plus amu-
sant à notre avis que le spectacle de ces char-
mants visages inondés de larmes. Il y a là
des effets de mouchoirs qui valent le dépla-
cement. Toutes pleurent, geignent et sanglo-
tent; les sensibles par tempérament, les
rouées pour avoir un motif plausible de faire
sécher leurs larmes dans un chaud baiser,
filles savent bien, les jolies mignonnes, que
leurs larmes appellent toujours nos caresses
et que lorsque la femme "est toute mouillée
l'homme est bien près de devenir humide à
son tour.

Aux Folies-Dramatiques, des artistes réunis
en société ont repris a leurs risques — mais
sans perte, je le crois — les Vacances de Beau-
tendon, l'amusant vaudeville de MM. Emile
Abraham et Orangé, qui tint pendant cent re-
présentations l'affiche du théâtre Ctuny, l'été
dernier.

Je ne serais pas surpris qu'il en fût de môme
celte année. La pièce est toujours amusante et
l'interprétation ne laisse rien à désirer.

M. Leroy a commencé la série de ses repré-
sentations lyriques au théâtre du Château-
d'Eau, en remontant l'une des plus jolies
partitions d'A.' Adam: Si j'étais Roi. Le public
a fait un excellent accueil à cette tentative
artistique et a chaleureusement applaudi la
plupart des artistes que M. Leroy a su grouper
autour de lui.

î! ne serait donc pas impossible qu'après la
fermeture de la Renaissance et de l'Opéra-
Comique, les amateurs de musique ne se
donnassent rendez-vous au Château-d'Eau.

Jules ne i.a Vkrdkie.

Rien de plus gai, de plus charmant, de plus cha-
toyant, déplus divertissant que le nouveau Ballet
des Folies-Bergère: La Serénaoa. livret de Gré-
vin très bien réglé par Gredelue, musique d'HERVÉ
et décors de Cornil. Mlles Garbagnati, Brambilla,
L6vy et Pauline y sont délicieuses en manolas et
en alguazils ; les deux Girard en taureau et en
matador sont désopilants au possible. — Bref,
c'est un grand succès de p'us à l'actif de M. Léon
Sari.

GRELOTS-FINANCE

La journée du 14 juin 1880 aura vu le b 0/0 ,
se coter à 120.

Ce cours parfaitement prévu depuis long-
temps n'a déterminé que fort pou de réali-
sations.

Non-seulement on compte le conserver mais
môme le dépasser très largement, peut être de
2 fr. avant la liquidation de fin de mois.

120 fr. sera bientôt un cours de baisse pour
les acheteurs qui depuis qu'ils croient la
conversion ajournée à l'an de grâce 1882,
voient le cours de 423 fr.

Le 3 0/0 coupon détaché reste au dessus de
86 et le 3 0/0 amortissable va vers 89.

Le cours coté il y a deux ans, à la première
apparition de ce fonds à la cote officielle,n'était
donc pas si exlravagant.

Les fonds étrangers dont le service d'intérêts
se fait régulièrement sont aussi tous en
grande hausse, surtout les fonds Austro-Hon-
grois et les fonds Russes.

Le 'maintien de la République ne leur fait
pas plus peur qu'aux rentes françaises.

Le Crédit Foncier et la banque d'Escompte
ont monté à la suite d'un procès» qu'ils n'ont
gagné ni l'un ni l'autre, mais qu'ils n'ont pas
perdu davantage.

TJuc valeur de crédit qui fait aussi des mer-
veilles, c'est le Crédit Mobfftier Espagnol.

Il ne faut pas s'en étonner, en môme temps
qu'il est Espagnol, ce crédit là est auSsi
Pereire. î

On a aussi fortement poussé la Banque de
Paris et les valeurs-de Chemins de fer.

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