Le poème de Pentaoue.
187
P. S. IX, 5.
L. 76.
K. 63.
âr penti neb lier sem er %aml %er2 iu heh en yut^
Quiconque vient à tomber, or venait une flamme de feu.
(er) ubet ha-u-f Un àn s en lier %eper ha em (ua)uu-fi lier
à brûler ses membres. Étant ceux qui à l'état de s'arrêter dans leur course, à l'état
P. S. IX, 5.
L. 77.
K. 64.
seni ta em ya-t senb er yefte^-a1 Un àn lion-â (%emui)8
de se prosterner sur leur ventre devant moi. Etait Ma Majesté à s'emparer
s
1 Xam «tomber». V. ei-dessus. Le papyrus met a tort : ^—
<2 ^jj I kau, dans le papyrus, remplace yer, du texte monumental : c'est une con-
1 f[] "1 Q\, heshes «brûler». Brugsch en rapproche ca.oj£, flamma (?). Le papyrus offre une forme
jonction.
3 ra i
de phrase un peu différente : tus heshes er ubet hau-seu «elle donnait un feu pour brûler ses membres».
J-g f^) ^l «flamme, feu». Cf. flamma (Brugsch, Dict.). Cf. owç, çhokê, radere.
fl
, yut «flamme, feu». Cf. Ti\çt, incendium.
* '^]'^^^^ -A- ^n Peut l'établir ce mot dans Louqsor, sans crainte de se tromper : les
deux premières lettres seules manquent, uauu «marcher rapidement». Souvent il est écrit simplement :
T ^ T J\ ua. Cf. ovei, cursus.
5 Sen-to er ya-t-sen, mot-à-mot : «sentir la terre sur leur ventre» : locution bien connue pour : se
prosterner à terre. Le papyrus donne seulement : «Us furent à devenir sentant la terre devant S. M.»
il
6 ^ |' *en ^ace>>- V* louqsor, 1. 64.
7 En .réunissant ce qui subsiste dans les différents textes, on peut reconstituer la phrase entière :
ï\ n—^l-^tx^^^^^
AAAAAA AAAAAA ' I 1
«Ceux qui s'arrêtaient dans leur course, se prosternaient devant moi
8
1 jj ® f t s_0 Xem'ui- Je bs jj xem et non se/.emi comme Brugsch : ce signe ne paraît pas,
quant à présent, devoir être considéré comme une variante de 1 s. xem «posséder, prendre». Cf. Com.,
potestas. — (A rapprocher <ô V\ © «domaine rural». Cf. cTcom., proedium, vyco.u., hortus. j. E.)
11 24*
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Quiconque vient à tomber, or venait une flamme de feu.
(er) ubet ha-u-f Un àn s en lier %eper ha em (ua)uu-fi lier
à brûler ses membres. Étant ceux qui à l'état de s'arrêter dans leur course, à l'état
P. S. IX, 5.
L. 77.
K. 64.
seni ta em ya-t senb er yefte^-a1 Un àn lion-â (%emui)8
de se prosterner sur leur ventre devant moi. Etait Ma Majesté à s'emparer
s
1 Xam «tomber». V. ei-dessus. Le papyrus met a tort : ^—
<2 ^jj I kau, dans le papyrus, remplace yer, du texte monumental : c'est une con-
1 f[] "1 Q\, heshes «brûler». Brugsch en rapproche ca.oj£, flamma (?). Le papyrus offre une forme
jonction.
3 ra i
de phrase un peu différente : tus heshes er ubet hau-seu «elle donnait un feu pour brûler ses membres».
J-g f^) ^l «flamme, feu». Cf. flamma (Brugsch, Dict.). Cf. owç, çhokê, radere.
fl
, yut «flamme, feu». Cf. Ti\çt, incendium.
* '^]'^^^^ -A- ^n Peut l'établir ce mot dans Louqsor, sans crainte de se tromper : les
deux premières lettres seules manquent, uauu «marcher rapidement». Souvent il est écrit simplement :
T ^ T J\ ua. Cf. ovei, cursus.
5 Sen-to er ya-t-sen, mot-à-mot : «sentir la terre sur leur ventre» : locution bien connue pour : se
prosterner à terre. Le papyrus donne seulement : «Us furent à devenir sentant la terre devant S. M.»
il
6 ^ |' *en ^ace>>- V* louqsor, 1. 64.
7 En .réunissant ce qui subsiste dans les différents textes, on peut reconstituer la phrase entière :
ï\ n—^l-^tx^^^^^
AAAAAA AAAAAA ' I 1
«Ceux qui s'arrêtaient dans leur course, se prosternaient devant moi
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1 jj ® f t s_0 Xem'ui- Je bs jj xem et non se/.emi comme Brugsch : ce signe ne paraît pas,
quant à présent, devoir être considéré comme une variante de 1 s. xem «posséder, prendre». Cf. Com.,
potestas. — (A rapprocher <ô V\ © «domaine rural». Cf. cTcom., proedium, vyco.u., hortus. j. E.)
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