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https://doi.org/10.11588/diglit.979#0076
68 UIERTBS CAPITEL.
pierre, cubique, , dont la base soit bien horizontale. Au fond de
cette cavité soit érigé un style1, dont le sommet coincide à son cen-
tre. . La, plus légère attention fait voir que l'ombre de ce.sommet
décrira chaque jour dans.le fond un , arc de cercle semblable au
parallèle diurne, décrit par le soleil., Il sera donc facile d'y dé-
crire l'équateur et les deux tropiques. . On pourra les diviser cha-
cun en douze parties égales, et, en faisant passer par les. divisions
semblables de lignes courbes; elles seront: les lignes horaires, et
diviseront,, en douze parties égales, la trace du style et la journée
entière depuis le lever du soleil jusqu'à son coucher«
»J'ai toujours parlé de la division de la journée ou du jour
naturel en douze parties égales. En effet, je dois observer ici que
tel fut toujours l'usage des Grecs et même des Romains. Le disque
qu'on attribue à Aristarque de Samos, n'étoit probablement que
a projection,de ces lignes, sur un .plan tangent à la convexité
hémisphérique; car ce. problème n'éxcedoit certainement pas la
capacité des géomètres de ce temps. 11 est probable aussi, que
la Scaphé (*) n'étoit autre, chose que la même projection faite
dans une cavité moindre que l'hémisphère. Elle ne, pouvoit don-
ner que peu d'heures avant'et après midi« u. s. vc.
Zu Athen sieht man noch einige andere Sonnenuhren, welche
der.von Stuart mitgetheilten ähnlich sind Es gibt auch eine sphä-
rische , beim Lord Besborough zu Roehampton , . und ein sehr ge-
schmackvolles Exemplar befindet sich im Britischen Museum, an-
geblich aus Kleinasien hierhergebracht. Die Sonnenuhr des Phädrus,
(*) Die Scaphe Aristarchs war nach dieser Vermuthung auf einer
Stele oder einem Fussgéstell in Relief ausgeführt an einem
silbernen Trinkgefäss Griechischer Arbeit, welches, im Jahre
1759 im Hafen von Antium gefunden, von Paciaudl Monu-
menta Peloponnesia, T. I. S. 68. bekannt gemacht worden
ist. Ein Theil des Gegenstandes dieses Reliefs besteht in
einer männlichen und weiblichen Figur, welche mit Auf-
merksamkeit eine nicht eben tiefe sphärische Sonnenuhr
betrachten, und nach Winekelmann Pylades, und die Electra
bei dem Gericht über Orestes vorstellen sollen; die Sonnen-
uhr soll nämlich eine Anspielung auf die. Tbatsacbe haben,
dass die Rechtsverhandlungen in den Athenischen Gerichts-
höfen mittelst einer Clepsydra auf eine gewisse Zeitdauer
eingeschränkt wurden. Mommi, ant. ined. No. 151. Milli.n,
Gallerie niythol. Taf.CLXXI.
pierre, cubique, , dont la base soit bien horizontale. Au fond de
cette cavité soit érigé un style1, dont le sommet coincide à son cen-
tre. . La, plus légère attention fait voir que l'ombre de ce.sommet
décrira chaque jour dans.le fond un , arc de cercle semblable au
parallèle diurne, décrit par le soleil., Il sera donc facile d'y dé-
crire l'équateur et les deux tropiques. . On pourra les diviser cha-
cun en douze parties égales, et, en faisant passer par les. divisions
semblables de lignes courbes; elles seront: les lignes horaires, et
diviseront,, en douze parties égales, la trace du style et la journée
entière depuis le lever du soleil jusqu'à son coucher«
»J'ai toujours parlé de la division de la journée ou du jour
naturel en douze parties égales. En effet, je dois observer ici que
tel fut toujours l'usage des Grecs et même des Romains. Le disque
qu'on attribue à Aristarque de Samos, n'étoit probablement que
a projection,de ces lignes, sur un .plan tangent à la convexité
hémisphérique; car ce. problème n'éxcedoit certainement pas la
capacité des géomètres de ce temps. 11 est probable aussi, que
la Scaphé (*) n'étoit autre, chose que la même projection faite
dans une cavité moindre que l'hémisphère. Elle ne, pouvoit don-
ner que peu d'heures avant'et après midi« u. s. vc.
Zu Athen sieht man noch einige andere Sonnenuhren, welche
der.von Stuart mitgetheilten ähnlich sind Es gibt auch eine sphä-
rische , beim Lord Besborough zu Roehampton , . und ein sehr ge-
schmackvolles Exemplar befindet sich im Britischen Museum, an-
geblich aus Kleinasien hierhergebracht. Die Sonnenuhr des Phädrus,
(*) Die Scaphe Aristarchs war nach dieser Vermuthung auf einer
Stele oder einem Fussgéstell in Relief ausgeführt an einem
silbernen Trinkgefäss Griechischer Arbeit, welches, im Jahre
1759 im Hafen von Antium gefunden, von Paciaudl Monu-
menta Peloponnesia, T. I. S. 68. bekannt gemacht worden
ist. Ein Theil des Gegenstandes dieses Reliefs besteht in
einer männlichen und weiblichen Figur, welche mit Auf-
merksamkeit eine nicht eben tiefe sphärische Sonnenuhr
betrachten, und nach Winekelmann Pylades, und die Electra
bei dem Gericht über Orestes vorstellen sollen; die Sonnen-
uhr soll nämlich eine Anspielung auf die. Tbatsacbe haben,
dass die Rechtsverhandlungen in den Athenischen Gerichts-
höfen mittelst einer Clepsydra auf eine gewisse Zeitdauer
eingeschränkt wurden. Mommi, ant. ined. No. 151. Milli.n,
Gallerie niythol. Taf.CLXXI.