Le charivari (11.1842)

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*hu't jours. ' ttoit!

eter dans la Tarnï^'1®

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matrone anglaise, S
se met à aimer so
1 P>s mort. En con
nanne qu'faisan lacotl
et le mari ressuscite^

■emble tenter d'employer
e angjuse détaillée pl0)
1 lair de vouloir déjà fa®
lu système britannique »
■utant plus qu'il le

' Par Levassor; si ledit
serait beaucoup.

1 jeté quelques fleurs sut
.rrivons aux Cheuu-U

lendu parler de Pontoise,
araît que, du temps deli
ement possédait en mijjt
me qui dirait un commis-
dicule; cela peut se voii

; sa charge, possède de®
i tuteur ; et, comme elle
ille livres, il veut épouse
sous-lieutenant criminel
le police très laid et m
'est une grâce d'état,
sont fort commodes, mai
des jeunes personnes, qo
res de police deux capilai
eine. Les demoiselles d
■avé.

tes est d'autant plus Mé
i des chevau-légers, qu'»
magique ayant le don il
le porteur. Elle demande
céder cet anneau mervei
; elle-même aimée à perpe

remis cette bague brillant
lie emprunter une somœ
mont-de-piété de l'époque
[ui apporter ce talisman
ie la lune.

>mme par malheur la»
nouvelle lune, l'obscuiii
e quiproquo amène1 au
iter l'autre jeune fille, u
•unes personnes de Pon m
même canton, c est-a

ie malheur, le nouveau ;

c anneau, qu'il n a Pas

au mont-de-piéte de

tr0p mauvais sujet, t»
as deviner ce qui arrive."

t suite àlaïV*^

US FEMMES DE PARIS.


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